PDV de Gwen
je cours le plus vite possible chez Aurélien, je reçois plusieurs appels de mon père car je suis pas en cours mais je ne décroche pas. il va gueulé car je sèche mais je dois voir comment va Aurélien.
j'arrive enfin chez lui, la porte est ouverte et je vois sa mère faire les cents pas.
moi:"excusé moi, madame, je suis une amie d'Aurélien, je venais prendre de ces nouvelles."
la mère d'Aurélien:" il... il est pas la, il... il est partis marcher avec son père, il sera de retour dans quelque heures, revenez plus tard si vous voulez."
moi:" je vais attendre devant si cela ne vous dérange pas."
la mère d'Aurélien:" faite comme vous voulez jeune fille."
on entend quelqu'un descendre et elle se depeche de me faire sortir.
j'ai réussi a voir les jambes de la personne, on aurais dit le pantalon de son père.
la porte ce referme et je ne peux voir que les ombres sur les rideaux des fenêtres.
il y en a 2 et vu qu'elle s'embrassent, elle a du me mentir.
je regarde l'étage et remarque qu'il y a une fenêtre ouverte.
je commence a escaladé en évitant de faire du bruit.
je suis dans la chambre ou j'ai dormis, on avait passé une bonne soirée.
je vois que la chambre d'Aurélien a été retourné. je fais tous l'étage et aucune trace d'Aurélien, il ne reste que le grenier.
j'ouvre la porte doucement et grimpe les dernières marches.
il y a des plaque au fenêtre, je fais glissé mes doigts sur le mur pour trouvé un interrupteurs.
au bout de quelques longues secondes, j'arrive a allumé la lumière.
je le vois, attaché par les poignets, le haut déchiré, je m'approche de lui, il est inconscient.
je m'approche de lui, je l entend respiré avec difficultés.
moi:" Aurélien réveil toi, je vais te sortir de la"
j'entend du bruit, quelqu'un monte. je regarde et vois une armoire dans laquelle je me cache.
je laisse une ouverture qui me permet de regardé.
c est le père de Aurélien, il verse de l'eau sur le visage de son fils puis le frappe.
le père d'aurelien:" Réveille toi petit con, tu devais disparaitre et voila que l on nous appel a cause de ta petite gueule de merde. qu'est ce que tu comprend pas dans le mot indésirable ? tu fait parti du cancer qui ronge notre société, j ai été gentil, maintenant je vais passé a la vitesse supérieur, tu finiras par comprendre."
il commence a le frappé dans le ventre, Aurélien crache du sang a cause des coup, mais cela ne s'arrete pas la, Aurélien ce fais fouette, je refuse de regardé mais j'entend les claquement du fouet sur le dos de mon ami. au bout de plusieurs minutes les coups cesse, je regarde a nouveau.
Aurélien a le dos en sang et son père lui met du sel sur les plaies, aurélien se tord de douleurs.
son père semble s'amusé de la situation. au bout de 2H son père pars enfin, je sort de ma cachette et m approche de aurélien .
PDV d'Aurélien
il va finir par me tué, personne ne viendra m'aidé, je devrais peut être me plié, je tente de me détaché mais je n'y arrive pas.
je sens une main froide sur mon épaule, je tourne la tête et vois gwen, c est impossible, je dois rêver.
moi:" voila que je deviens fou comment peut tu être la ?"
gwen:" je suis la, c est bien moi, je vu ce qu'il te fais, je vais te sortir de la je te le promet."
moi:" Gwen, je n ai plus de force, je suis pas sur de réussir a marcher."
gwen:" je t aiderai"
moi:" merci je sais pas quoi dire."
gwen:" dit rien et attend que je te détache, tu t appuieras sur moi et on partira."
moi:" comment ?"
gwen:" j ai envoyé un message a mon père, ton enfer est fini."
elle arrive a me détaché et je prend appuis sur elle, mes parents sont partis dormir.
Et oui, la nuit est tombé, je décide de faire un détours dans ma chambre pour récupérer tous mon argent.
on arrive dans la rue, il fait totalement noir, seul le téléphone de Gwen nous éclaire.
d un coup, je sens une personne me saisir le bras pour que j ai un nouvel appuis.
gwen:" merci papa"
la fatigue me gagne, je ferme les yeux petit a petit.

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le fumeur et la thug
General Fictionvoilà la rencontre entre un fumeur de produits illégales ( joint, chicha ect...) et une fille qui ne ce laisse pas marcher sur les pieds. il est contre tout violence et elle est pour la violence, tout les sépare mais une chose les lies.