Le Pacte

Pute

PDV Kenzie

Je marchais dans les couloirs, tous le monde me regardais bizarrement.
Un groupe de mec s'approcha de moi en rigolant.
- Hé Kenzie si t'as d'autres photos comme ça envoi-les moi ! Tiens c'est mon numéro ! Dit un mec du groupe en me tendant un papier que je pris par réflexe.

De quoi parlait-il ?

Je jetais le papier dans une poubelle du couloir.
Je n'avais pas trop faim alors je sorti et m'assis sur un banc de la cours.
Un groupe de filles passèrent devant moi, et l'une d'entre elle fit assez fort pour que je l'entende : "pute !" Je ne comprenais pas pourquoi elle disait ça, j'avais l'impression qu'elle c'était adresser à moi.

Plus tard une fille vint me voir assez énervé.
- T'es vraiment une pute!!! T'es peut-être en manque un mais ne envoie pas de nude à mon mec t'as compris connasse !!!
- Quoi ?!!! T'est qui pour m'insulter ?! Et je n'est pas envoyé de nude à ton mec ! Désolé mais je ne vois pas de quoi tu parles ! Répondis-je.
- Ah bon c'est quoi ça si c'est une nude ?!!!! Dit-elle en me montrant un portable sur lequel il y avait une photo de moi nu ?!!!!!

Quoi ?!!!!

Mais comment cette photo était arrivé sur ce portable ?!

Omg !!!!

Je crois que je venais de comprendre ce qui c'était passé. Mon portable a disparu après que j'ai parlé avec Maddie, et à ce moment-là elle agissait bizarrement avec moi et surtout elle était trop gentille pour être vrai avec moi.

Comment j'avais fait pour tomber dans son piège ?!!!!

Elle avait dû prendre mon portable qui était dans mon sac et envoyer des photos intimes de moi à tous mes contacts ou à certaines personnes du lycée.

Comment avait-elle pu faire ça ?!

Je croyais vraiment qu'elle avait compris que ce n'était pas moi qui l'a menacé par message mais apparemment non. 

Ce n'était vraiment pas moi qui l'avait mennacer par message et je crois qu'elle ne se rendait pas compte de ce qu'elle venait de faire elle venez d'envoyer une photo de moi assez personnel à la moitié du lycée. 

Maintenant je comprenais pourquoi tout le monde me regarder bizarrement.

Une larme s'échappa pas de mes yeux et coula le long de ma joue. Je me levai et commença à aller vers les toilettes.
J'allais vers les toilettes que personne où personne allait car elles étaient assez isolé.
J'entra dans les toilettes et m'enferma je commença à pleuré toutes les larmes de mon corps.

Pourquoi tout ça m'arrivait, je n'avais rien fait de mal...
J'essuya mes larmes.
Il fallait que j'affronte ce moment, même s'il était difficile.
Il fait que je le surmonte.
Je sortit des toilettes.
Je décidais de rentrée chez moi. Le lendemain quand j'arriva au lycée, je me dirigeais vers mon casier, j'entendais des personnes m'insulter sur mon passage.
Je les ignorais, n'allez pas croire que cela ne me faisait rien de me faire insulter, car sa me blessais énormément , je faisais juste semblant d'aller bien.
Quand j'arriva à mon casier, je vis le mot :"pute" écrit de couleur rouge sang sur mon casier.
Des gens m'observait se croyant discret mais en fait ils ne l'étaient pas du tout.
Certains rigolaient d'autres chuchotaient des insultes.
Mais moi j'avais envie de pleurer, je voulais leur crier que ce n'était pas moi qui leur avait envoyé la photo, mais j'ouvris juste mon casier pour prendre mes affaires. J'entra dans ma classe et me mis directement au fond.
Un mec vint s'asseoir à côté de moi.
Pendant le cours il n'arrêtait pas de me toucher au début je ne disais rien mais après quand je lui dis d'arrêter mon prof m'enguela et me dit de me taire et d'arrêter de bavarder.
Alors je poussais la main de mon voisin dès qu'ils essayait de me toucher.
Dès que la sonnerie qui indiquait la fin du cours retentit je me dépêchais de ranger mes affaires est sorti de la classe le plus vite possible.

Quelqu'un me dira dans un coin du couloir où personne n'allait. Quand je vis que c'était mon voisin, le mec qui n'arrêtait pas de me toucher, je commença à avoir peur.
- Lâche-moi ! Lui criais-je. Mais il serra encore plus fort mon poignet.
- Tu ferme ta gueule !
- Tu ne me parle pas comme ça !! M'énervais-je encore plus.
il me donna une claque tellement forte que je faillis tomber par terre.
- Tu vas te calmer toute suite. Maintenant tu te laisse faire et tu tait. Si t'en parles à quelqu'un je te tue de mes propres mains. Dit-il froidement.
Un frisson d'horreur me parcouru.