PDV:Annabeth
Quand j'ai reçu son message c'était un feu d'artifice dans ma tête je ne pensais pas qu'elle aller le faire. Je n'ai pas fait le premier pas car j'avais peur que tout ça soit juste un jeu. Je ne voulais pas qu'elle me laisse. Je ne comprends pas ce qui se passe entre nous. Enfin pour moi ce mois sans lui parler était vraiment dur alors que pourtant on ne se connait pas plus que ça mais c'est comme si une chose nous liez.
Il est 12h30 ça va j'ai le... Quoi il est déjà midi trente. Il faut que je me lave m'habille soit là-bas dans trente minutes. Il faut que je me bouge les fesses ; Je prends une douche rapide. Je me lave les cheveux et fait je ne sais pas quoi avec pour qu'il tienne en hauteur pour ne pas me mouiller le cou. Je prends les premiers habits qui me tombe sous la main. Je regarde l'heure. 12h50. Je suis dans le caca. Je vais être en retard. Je ne sais même pas combien de te temps je vais mettre pour aller au parc.
Je finie de me préparer, prends un bout de pain, mes clés, mon téléphone et je sors de la maison. Je marche le plus vite possible sachant que je suis en retard.
J'ai peur de comment va se passer cette discutions. Si enfaîte elle m'a juste fait venir pour me dire que je ne devais plus rester avec eux. Je n'espère pas parce que je m'entends bien avec tous les autres à part Pheobe mais bon je suis contente qu'elle soit partie sans vouloir être méchante.
Mais surtout je veux connaitre Cassie par cœur savoir à quoi correspond chacune de ses mimiques, de ses gestes ; savoir chacun de ses désirs. Je veux pouvoir lire en elle comme dans un livre ouvert. (Ça fait un peu psychopathe sur les bord). C'est la première fois que je regarde et est attirée par une fille de cette manière mais je peur de ce que cela pourrait représenter. Je me suis beaucoup rapprochée de Adrien pendant ce mois. On se parle tous les jours et on essaye de se voir après les cours. Etre avec lui m'aide à ne pas penser à Cassie. Elle hante chacune de mes pensées.
L'arrivé dans le parc me fait sortir de mes pensées. Je voie Cassie sur un banc vue comment elle bouge les jambes elle doit avoir peur que je ne vienne pas. Elle est vraiment belle. Son visage se tourne vers moi, elle se lève. Je ne sais pas pourquoi mais nous courrons l'une vers l'autre.
Je pose ma tête dans son cou et mes mains sur ses reins. Je suis tellement bien avec ses mains dans mon cou et dans cette position. Je voudrais rester là toute ma vie. Mon souffle dans son cou lui provoque des petits frissons je crois. Je relève ma tête et elle dépose ses lèvres dans mon cou. Un courant électrique parcourt tout mon corps. Je pense qu'elle l'a sentie vue qu'un sourire étire ses lèvres. Elle relève la tête de mon cou et je vois que les traie de son visage se sont durcie comme si elle n'était pas sûr de ce qui aller se passer elle prend ma main et on se dirige vers un banc ou nous nous asseyions.
- Annabeth, je me suis vraiment mal comportée avec toi, je me suis énervée contre toi alors que je n'avais aucune raison. Je suis vraiment désolée. Je me suis beaucoup attachée à toi et tous se temps sans te parler sans pouvoir plonger dans ton magnifique regard ma fait mal mais tout est de ma fautes parce que j'avais peur de revenir vers toi et que tu me rejette et donc je me disais que même si je ne te parlais pas au moins tu étais là parce que j'avais peur de te perdre. J'espère que tu pourras me pardonner.
Je la regarde baisser la tête comme si elle avait honte de ses paroles. Je suis touchée par ses mots. Je lui prends le menton entre mes doigts pour relever sa tête et je plonge mes yeux dans un mélange de bleu et vert. C'est tellement magnifique j'aime trop ses yeux. Je prends la parole pour essayer de la détendre car son visage et tout crisper par la peur.
-Cassie, sache-je ne t'ai jamais fait "la tête". C'est juste que j'avais peur aussi de te perdre qu'enfaîte tu te sois énervée pour que je m'éloigne de toi. Donc je ne voulais pas non plus venir te voir de peur que tu me rejette.
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Pourquoi je t'aime ?
RandomElles seules ne savent pas qu'elles s'aiment. Tous les rapproches Comme tous les opposes