Mon réveille à trois.

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(En medias Xiumin)

Le jours de la rentré.
Pdv de Sheyla.

Je me suis habituée, à la peur au mensonge, à la trahison.
Cela fait partit de mon entourage que je le veuille ou non.
Les mèsses basses sur mon origine.
Depuis la seconde on me harcèle.
Pourquoi ???
Parce que je n'ai pas de parents !!
Sont-ils si importants pour notre survis ??
Parce que ils nous protègent et nous consoles.
Mais qui est la pour moi !! Qui me prends dans ces bras !!
PERSONNE JUSTEMENT !!
Voilà à quoi se résume ma vie, mon existence sans origine.
Je préférerais ne rien avoir de tout cela et à la place des parents, pas des tombes qui ne sont même pas les leur.
Je suis nouvelle la ou je vais, mais plus pour longtemps.
Domage !!!
Pourquoi ne pas disparaître ??
Sa ne résous rien et je préfère me battre pour ce que je suis.
Parfois, je me sens si seule que je me parle à moi même.
Ma fausse mère me prend pour une folle débarquée de l'azil.
Je dis fausse car belle ne la concerne pas.
Elle est laide de l'intérieur mais aussi pourrit de l'extérieur.
Je ramasse les dernières affaires de ma chambre, éparpillés dans tous les coins.
J'enfile rapidement mes vêtements :

"Sheyla tu vas être en retard !!"Cris-t-elle

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"Sheyla tu vas être en retard !!"
Cris-t-elle.

"Je sais !!" Cris-je encore plus fort.

Cette femme et le démon et la peste incarnée.
Pourquoi ???
Elle m'a privé des dernières forces qu' il me restait.
Elle a tuée mon petit frère sous mes yeux. Elle croyait qu' il était fou qu' il était impossible de le garder. Mais avant qu' il meurt il m'a jeter un regard disant
" Tu vois c'est de t'as faute si cela m'arrive !!"

Elle l'a envoyé de force dans un centre pour fous.
Je ne pensais pas qu'elle irait si loin.
Je me rapelle de ces dernières paroles :
Je ne fais ça que pour votre bien. Se n'est pas ma faute si vous avez perdus vos parents.

Je ferme les yeux pour ne plus y penser, à son visage tiré par les trais du désespoir.
Un dernier avertissement de ma fausse-mère, suffit à me sortir de mes pensées.
Je descends les marches quatre à quatre, bien décidée à ne pas la faire attendre plus longtemps, tel un chien docile envers son maître.
La connaisant, elle pourrait rapidement péter un plomb et me frapper à notre retour.
Je ne veux pas voir ces yeux sans pitiés me regarder, comme si je ne valais même pas ces coups.
Je ne suis pas maso au contraire je déteste la violence.
Mais se que je haie le plus est le regret.

J'entre dans la BMW noir comme le coeur de ma colocataire, finalement elle se complète bien.
Je ne prête absolument pas attention au avertissement et à son discourt abituel.
"Blablablablablablablablablablablablablablablabla ne devient pas comme ton frère blablablablabla."
Les seuls mots que j'enregistre.
Au ça m'a vieille !!!! Je te promet de ne pas devenir une attardé comme toi qui jette les enfants.
Je tourne en boucle cette phrase ressemblant à un disque rouillé.

Nous arrivons enfin devant l'université.

Pourquoi doit elle m'amener je peux me débrouiller, j'ai quand même 19 ans, je suis majeur. En âge d'avoir une voiture. Mais non elle a trop peur que je face des conneries.

La voiture s'arrête dans un crissement de pneux, devant le passage piéton.

"Bon je te depose là, tu peux te débrouiller jusque-là. Tâche de ne pas te faire remarqué dès le premier jours !" Me conseille-t-elle.

Difficile à faire !!!!
Je me détache sans même lui jetter un regard.
Mais pieds se pose lentement sur le bitume.
Il fait chaud malgres le mois d'hiver.





Je ne me rapel pas très bien pourquoi, mais ma tête se balance de gauche a droite comme un pantin désorienté.


Pdv extérieur d'une vielle dame se tenant sur le troroite d'en face.

Une jeune fille sortant d'une voiture noir, vixe le passage piéton avec un regard vide.
Mes vieux yeux derivent entre la voiture rouge qui se rapproche d'elle. Mais je ne peux rien faire pour la prévenir du danger.
La voiture rouge ne s'arrête pas au contraire. Je ne vois pas le conducteur sûrement à cause de la voiture. Pourtant se visage à tuer une personne.
Oui tué !! Car elle ne bouge plus depuis 20 minutes.
Les secours sont là, mais rien. Pas de mouvement. Rien.

Ils tentent le tous pour le tous en la déplaçant dans un brancard.
Mais moi je le sais, j'ai l'habitude c'est comme ça que les personnes chère partent.
C'est le cycle de la vie.
ADIEU voilà les derniers mots que je pouvais prononcé.







La suite au prochain chapitre 😈😈.

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⏰ Dernière mise à jour : May 03, 2018 ⏰

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