beLIEve

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pour la première fois de ma vie je sèche les cours. Une lettre pour dire que je suis malade et c'est bon. Je sais pas trop pourquoi je reste enferme, je sais que j'ai peur de le revoir, mais je ne pourrais pas séché les cours pour une éternité. Je décide donc d'aller faire un tour pour me vider les idées. Je passe a la bibliothèque lire quelque livres de meurtre, je prend finalement un classique de Agatha Christie. En sortant je passe m'acheter un Starbucks, et je le boit dans un parc. Je n'ai pas totalement enlevé Aaron de ma pensée, mais le fait que je ne l'ai pas vue est plutôt bon signe. Je reçoit un texto d'une amie du collège pour savoir comment j'allais. Je lui répondu que j'avais de la fièvre et que je vomissais. Je n'aime vraiment pas mentir, mais là c'été important. Je lui demanda aussi de passe voir a la fin de la journée si un grand garçons avec des piercings partout sera présent. Mais elle ne répondu plus. Elle devait être rentrée. Mais la peur que Aaron ne sois pas a l'école me terroriser. Alors, je fini ma boisson et commence a rentré avec le pas rapide. Je prend un bus, je place mes écouteurs dans les oreilles, je sort du bus. Il ne me reste plus qu'a traverser un parc et une route pour enfin arriver chez moi deux pâtés de maisons plus tard. Alors je me dépêche. Je traverse le parc, la route, puis je commence a contourner le premier pâté de maison. Mais arrivé au dernier, fallait bien que je tombe sur lui. Mais la c'est un peu différent. Il est dans une allée et il est entrain de ce prendre des coups par un autre homme. Il ne réagit plus. Il va finir par mourir. Je recule pour essayer de partir mais je trébuche sur quelque chose et tombe en arrière, mes écouteurs tombe, et je peu entendre les bruits de torture. Je retourne la tête pour voir ce qui m'avais fait tomber. Un flingue. Le même que la dernière fois. Ma vue ce trouble avec mes larmes quand j'aperçu l'homme ce rapprocher de moi. Par peur je prend l'arme a feu et le point vers lui. Son sourire s'agrandi et il s'approchait de plus en plus de moi. j'ose pas tirer. La voie de Aaron me surgie comme un coup dans la face. Je peut bien entendre qu'il est blessé et qu'il me supplie d'appuyer sur la gâchette. J'essaye de ne plus l'écouter. Mais l'homme lui crie a la figure de ce taire, ce qui me fit sursauter et appuyer sur la petite gâchette qui peut décider de la vie ou la mort d'un être vivant. l'homme s'écroule parterre. Je voie le rouge couler depuis sa poitrine. Aaron essaye de ce lever et de s'approcher vers moi, mais je tombe dans les vapes avant qu'il puisse m'atteindre.