Mon téléphone venait d'afficher minuit pile, nous sommes le 17 avril 2017.
Voilà que pour mon dix-septième anniversaire, j'étais dans la chambre de celui que j'aime, en Corée, à des milliers de kilomètres de chez moi.
Les hauts parleurs étaient en train de diffuser la douce musique allemande de Cro. Il ouvrit la porte, j'étais assise sur le lit mon téléphone dans les mains. Il est beau. Un sourire se dessina sur mes lèvres en le voyant les mains derrière le dos. Il s'assit près de moi, posant un baiser sur ma joue. Nous étions tous les deux silencieux. Ne parlant pas la même langue, et bien que nous communiquions en anglais sans problème, un simple regard, sourire ou même une caresse étaient suffisants pour se comprendre.
Il dégagea sa main droite de derrière son dos et la tendit vers moi, m'incitant à prendre la petite boîte que celle-ci tenait.
Je me sentis rougir, j'étais heureuse de voir qu'il avait pensé à m'offrir un cadeau, alors que le fait qu'il ait payé l'avion pour que je vienne était déjà le plus beau cadeau qu'il puisse me faire. J'ouvris la boîte de bijoutier et découvris une chaîne en argent, ornée d'une perle. Je le remerciai en l'enlaçant, mes mains se posèrent sur son visage et je déposai mes lèvres sur les siennes. Tout en silence, je lui donnai la chaîne et il me l'attacha autour du cou.
Nous étions toujours assis côte à côte lorsqu'il se leva et me fit comprendre qu'il allait se doucher.La musique continuait à passer, je chantonnais tout en buvant un verre de champagne que ses parents nous avaient laissé pour l'occasion. La porte s'ouvrit une seconde fois, cette fois-ci il entra simplement couvert d'une serviette autour de la taille. J'admirai son torse bien dessiné. Ce n'était pas la première fois que je le voyais ainsi, nous avions déjà dormi ensemble quand il était venu chez moi la première fois qu'on s'est vus, lui en caleçon et moi avec un simple t-shirt et une culotte, mais je ne pouvais m'empêcher de le regarder avec des yeux plein d'admiration et d'envie chaque fois qu'il se trouvait comme ça en face de moi.
"Stop staring at me that way" me lâcha-t-il.
Je rigolai et détournai le regard quelques instants pour qu'il enfile un caleçon.
Il vint s'allonger près de moi et me tira vers le bas, me forçant à faire de même. Je posai mon téléphone sur la table de chevet et me collai à lui. J'étais désormais allongée sur mon flanc gauche, face à lui. Il passa une main dans mes cheveux tout en souriant. Je lui rendis son sourire, j'étais heureuse d'être à ses côtés pour mon anniversaire.Sa main qui se trouvait dans mes cheveux il y a quelques secondes était désormais dans mon dos, sous mon t-shirt. Ses caresses étaient douces et me faisaient du bien. Il descendit au niveau de mes fesses et continua ses caresses. Je décidai de poser ma jambe sur lui, tout en déposant mes lèvres sur les siennes. Nos deux bouches s'ouvrirent pour laisser nos langues se rencontrer. Le baiser se fit de plus en plus intense. Sa main se frottait maintenant à ma partie intime, seule ma culotte séparait sa peau de la mienne.
Je sentis mon souffle qui devenait de plus en plus fort. J'avais envie de lui. Nous nous étions déjà touchés auparavant, mais cela n'allait jamais bien loin car je ne me sentais pas prête. Peut-être que ce soir allait être le grand soir.Sa langue se sépara de la mienne et avec sa main qui était toujours libre, il me releva et utilisa ensuite ses deux mains afin d'enlever mon t-shirt. J'étais désormais en culotte et lui en caleçon. Il me prit par les hanches et me fit, sans un mot, m'assoir à califourchon sur lui. Nos deux parties étaient séparées par nos sous-vêtements, mais je sentais son membre se durcir sous la pression que j'exerçais avec mon corps dessus. Lui était allongé, je décidai de me pencher afin de reprendre notre baiser. Nos deux torses étaient maintenant collés l'un à l'autre, nos langues aussi. Ses mains étaient posées sur mes fesses et me caressaient tandis que les miennes me servaient d'appuis, de chaque côté de sa tête. Je commençai à frotter ma partie contre la sienne, j'aimais cette sensation, nos souffles s'accélérèrent, mais ma culotte désormais humide me dérangeait. Je voulais sentir de la peau contre ma partie et non plus du tissus.
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C'était les seuls mots français qu'il savait dire
FanfictionJe ne saurais donner de description à cette très courte histoire qui m'est venue comme ça, je sais pas si ça va plaire.. Avis aux jeunes filles encore innocentes : à éviter de lire 🤗