Une nouvelle guilde [SAO]

Chapitre 1

Mes parents viennent de m'offrir le nerve gear ! J'ai hâte de l'essayer ! Je le monte dans ma chambre, met une tenue légère puis me regarde dans le miroir, pour voir le changement, moi, Lucie Natwi, 14 ans deviendrait une épéiste !

La joie me submergeait à un tel point que je ne pus résister plus longtemps, j'étais loin de me douter de tout... Je détruit le paquet, sors le mystérieux casque, je le branche puis l'enfile sur mon casque. J'étais si exaltée par l'idée d'entrer dans ce monde qui serait si... extraordinaire !
- Link Start !!
De légers cylindres de couleurs apparurent jusqu'à un écran d'affichage :
Pseudo :
Mmm, quel pseudo je vais choisir... Lucie Natwi, Lucina !
Pseudo : Lucina. Êtes vous sûr ?
Oui ou non.
Je m'empressais d'appuyer sur oui puis une lumière aveuglante apparut avant de remarquer que je suis dans un monde virtuel mais tout semble si réel... non, tout étais réel, c'était sa réalité ! J'étais niveau 1 avec une arme de base, je réussit à me procurer un guide avec l'argent de départ ainsi qu'une épée normale. Je me regarde dans une vitre, je ressemblait à ça :

Je vais vers les plaines puis commence à lire le guide, il était fascinant... il expliquait tout en détails, je fus prise par cette lecture si bien que je le dévora en un rien de temps ! Je commençais alors à m'exercer dans le vide lorsque qu'un sanglier lvl 1 apparut, il chargea sur moi. Je pris le livre en l'ouvrant à la page combat mais mon ennemie s'approchait trop vite :
- Roooo et puis zut !
Je balançai mon livre sans réfléchir puis laissai mon instinct guidé mon corps, je sentai toutes mes émotions se transformer en force et mon épée être guidée par le destin... En un rien de temps, l'ennemie qui était là disparut en éclats :
- J'ai... j'ai réussi !!!
Ma joie prenait maintenant le dessus sur l'harmonie d'émotions créer lors de mon attaque... je rêvais depuis si longtemps de ce monde... Trois sangliers se ramenèrent et je les exterminai avec la même dextérité que celui d'avant, j'aimais ce monde... c'était mon monde...
Lvl up 1 à 2
J'avais le choix entre force ou vitesse, je décidais d'alterner en commençant par vitesse. Je continuais cette chasse pendant un long moment jusqu'à avoir bien assimiler les techniques.
- Il est temps que je rentre...
Je vais au menu mais mais... le bouton déconnection a disparu ! Ma joie perdit l'avantage laissant place à une panique puis toutes les émotions retrouvèrent un équilibre :
- De toute façon, je préfère ce monde... mais qui va nourrir mon corps ? Je vais mourir !
J'étais perdu lorsqu'une autre lumière apparut " de la téléportation". Je me retrouvais en compagnie de tout les autres joueurs au centre du village de départ. Une figure imposante se dressa face à nous, nous étions pris par les sentiments et débordé par la situation, que se passait-il donc ? Qu'allait-il nous arriver ?
- Bonjours cher joueurs, je suis Kayaba, le maître du jeu et j'ai procédé à quelques changements initiaux, comme le manque du bouton " déconnexion" mais ce n'est pas tout, chaque mort en définitive !
Quoi ?! Heureusement que mes parents vont me retirer ce casque...
- Si en dehors de ce monde, on cherche à vous retirer votre casque ou le débrancher, ça déclenchera votre mort immédiatement, si vous ne me croyez pas, en voici la preuve.
Des lignes de journaux sur la mort de certains joueurs... nous allions tous crever sans pouvoir sortir de cet enfer... cet aincrad...
- Il existe cependant une solution de vous libérez de ce monde pourtant si merveilleux... finir le jeu en atteignant le 100 ème étage et en le finissant. Je vous ai laisser un petit cadeau dans vos inventaires. Sur ce, bon jeu !
Et il disparut, nous nous empressâmes de regarder nos cadeaux, un simple miroir ? Je regarde chaque trait et chaque courbe de celui ci, un miroir banal... pourtant, en voyant mon reflet, c'est ma tête que j'ai vu, ma tête et pas celle de mon avatar.le monde réel ne cessera jamais de me hanter ? Je vis un garçon qui semble garder plus son calme que les autres, le suivre est à mon avis la solution si je veux survivre ne serais-ce qu'un peu. Il se mit à courir vers l'extérieur de la ville et j'ordonnai à mes jambes de faire pareil, même si elles ont eu un peu de mal :