Chapitre VI

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Cette fois j'étais seule face à cette personne. Aucun échappatoire. Mais une chose avait changer, je n'étais plus celle d'il y a 6ans. Je sais que je peu perdre mon sang froid à tous moment mais je ne dois en aucun cas faiblir face à lui.
Il me tendit mon café en me regardant droit dans les yeux. Ses lèvres le démangeaient, il voulait parler mais ne savait pas comment s'y prendre. Je connaissait que trop bien sont tic.
J'en profita alors pour détourner les talons pendant qu'il était en plein réfléxion.

- Tu fais quoi?
- Aha ! Parce que tu crois que j'allais rester étèrnellement à t'attendre.
- Bah non c'est vrai tu préfères fuir, comme d'habitude.
- Arrête.
- Tu te souviens il y a 2ans? Quand tu es partie?
- Tu ne sais rien alors stop toi tous de suite.
- C'est marrant ça car avant de venir j'ai rendu visite à ton très chère père.

C'était la phrase de trop. Le liquide chaud que contenait mon goblet venait de se renverser sur lui.

- Désoler ma main a bouger toute seule.

Je le laissa en plan, mouillé par mon café et parti chez moi aussi vite que je pu. Je n'en revenais pas, il avait osé rendre visite à mon géniteur, la personne qui a détruie mon monde, qui m'a détruite et que j'ai éffacer de ma vie ainsi que de ma mémoire. J'avais besoin de sortir, prendre l'air. Je ne peu aller voir Yun Shul, je n'es pas la force de travailler.
En rentrant, je pris une douche, mis mon jogging, mon sweat, mes écouteurs et pris soins d'appeler Yun Shul pour le prévenir que je ne viendrais pas. J'écrivis un mot sur le frigo pour dire à Kim que je rentrerais surement tard et qu'il ne fallait pas qu'elle m'attende pour manger.
19h23, je partie de chez moi. Il fallait d'abord que je passe m'acheter des clopes. Ensuite je n'avais aucune idée de ou aller, je marchais là ou mes jambes m'enmenaient. Il y avait plusieurs petits parcs ou je pouvais me poser mais ça me disait rien. Ce qui me plaisait vraiment, c'était d'être en hauteur, pouvoir avoir une vu d'ensemble sur la ville, pouvoir voir les gens sans qu'ils puissent nous voir, sentir l'air frais et se laisser aller au vent peu importe la saison. On était fin Octobre et j'aimais sentir encore les quelques rayons de soleil qui essayaient de perçer malgré la fraicheur qui s'installait. Après une bonne heure de marche je trouva enfin l'endroit idéal avec une vu magnifique sur Séoul. C'est bizarre que je ne sois jamais venu ici ou c'est peu être à cause des escaliers, ça donne pas vraiment envie de monter. Mais je ne pouvais pas louper ça. J'avais enlever mes écouteurs pour que le son sorte directement de mon téléphone. Une cigarette à la main, les yeux fermer, j'étais bien. Je ne pensais à plus rien, ma tête était vide mais apparement pas mon ventre qui criait famine car en effet il est était près de minuit et je n'avais rien manger. Décider à rentrer à la maison après avoir pris un grand bol d'air frais, une superette me fit de l'oeil et pour cause toujours ce satané ventre. Je pris deux trois trucs vite fait et alla payer en caisse, enfin c'était sans compter sur le fait que non je n'avais pas pris mon porte monnais et qu'il me restait que quelques pièces de mon paquet de cigarette. C'est quand même très mal aisant, je savais pas quoi faire. De toute façon il me restait plus qu'à partir et rentrer à la maison.

- Je vais payer cette commande et rajouter ceci s'il vous plaît.
- Je vous remerci mais ne vous donnez pas cette peine.

Wait? Depuis quand y a des gens aussi gentil que ça et tard le soir. Fin ca me gêne vraiment qu'un étranger paye à ma place. Le pire c'est qu'il ne m'a pas écouter, il a payer et est parti. Faut quand même que je le remerci. Je pris alors ce qui avait été payer car n'oubliont pas que j'avais quand même super faim. Enfin bon je parti à sa recherche, il ne devrait pas être loin de toute façon et puis avec sa casquette, son masque et son mentaux en cuire on pouvait facilement le reconnaitre.

- Excusez moi? Monsieur?

Euh il est sérieux? Je veux juste le remercier.

- Ehhhhh ! Ohehhhhh ! Le mec à la casquette !

Il se retourna enfin et se pointa du doigt du style "c'est à moi que tu parles?"
J'arrivais pas du tous à voir son visage mais bon au moins je pouvais en profité pour lui parler, je me rapprocha alors de lui mais je ne fu pas la première à parler.

- T'as un drôle de moyen d'aborder les gens toi.
- Pardon?
- Il est minuit passer et tu cris dans la rue.
- Ahah ! En même temps si vous n'aviez pas essayer de fuir j'en aurais pas fait tout un drame et puis je suis une personne avec des principes alors c'est normal que je cherche à vous remerciez.
- Vous? Tu me vouvoies maintenant? Je pensais qu'on était plus proche que ça. Et pour les remerciements laisse tomber.
- Euh? On se connait?

Il enleva son masque et tous de suite j'ai eu une forte envie de fuir.

- JiYong..
- Ouah je vois que tu es très heureuse de me revoir après m'avoir esquiver toute la journée.

Ehhh merde.

- Qu'est ce que tu fais là?
- C'est plutôt à moi de te poser la question. Tu es plutôt loin de chez toi à une heure si tardive.
- Je marchais simplement. Répond à ton tour.
- J'habite ici et tu as la YG est juste devant toi donc je vois pas pourquoi je ne pourrais pas être là.
- Mhm. Bon il se fait tard. Je rentre. Et merci pour les snakes.

C'est si opressant d'être avec lui et j'ai qu'une envie, rentrer chez moi.

- Non mais je vais pas te laisser partir comme ça.
- Hein!?
- Pas avant que tu m'es expliquer ce qu'il s'est passé ce matin.
- Ca ne te regardes pas.
- Pourtant j'en suis le principal concerner.
- Mhm non, pas vraiment. Tu ne me connaît pas, je ne te connaîs pas et je n'es pas du tous envie de te connaître. Ma vie ne te regardes pas. Ce qui s'est passer je l'es fais sans réfléchir. Alors efface ça de ta mémoire. De toute façon dans quelques jours tu ne seras plus dans le campus. Alors si tu pouvais rester loin de moi ça m'arrangerais.
- Tu as raison tu ne me connaît pas alors tu ne devrais pas me juger. Je suis entouré de rumeurs.
Il reste une semaine avant le défiler. Je ferais en sorte que tu me vois d'une autre façon, à ta façon. Car pour moi, chaques actes a une raison et je ferais en sorte de l'a découvrir.
- Je m'en fiche des rumeurs, je ne veux juste pas apprendre à te connaître.
- Dans ce cas là, si j'échoue tu n'entendras plus parler de moi.
- J'ai hâte de te voir échouer.

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