La pluie qui se déverser sur ma peau a peine couverte, un vent qui pourrais glacer le sang de n'importe qui, mais bizarrement cela ne me fesais rien, car ce que j'avais devant les yeux était la chose la plus horrible que j'ai vécu dans ma vie. Il était la gisant sur le sol immobile, plus j'avance dans sa direction, plus mon coeur se brisé en mille morceaux, mes jambes tremblé et mes pas était de plus en plus lourd, j'avais cette sensation que mes pieds porté des poids de mille kilos chacun, mes bras a moitié mutilé était sur le long de mon corps mon sang se melangé avec la pluie, un voile flou s'était emparé de ma vue je me forca a plissé les yeux ce qui me demandé un effort surhumain, je n'entendis plus le bruit du vent qui frappé mes oreilles, ni le bruit de la pluie qui s'abattais asser fortement sur le sol, c'etait le noir complet dans mon cerveau.
Il était la devant moi , mon corps a moitié détruit par la peur, la rage, la tristesse, je le fixé d'un regard vide. Sans m'en rendre compte je m'était effondré a coté de lui, je serré sa main tout froide et mouillé a cause de la pluie, j'espéré avoir un signe de lui, les secondes passe mais il ne bougé pas, mes larmes ne s'arreté pas, nous restions comme ça quelque minutes, jusqu'a que une dame au visage familiers cria de toute sont âme....
Je me releva en sursaut pris de bouffée de chaleur insupportable qui me donnait l'impression de suffoquer, je mis quelque secondes à me rendre compte que je n'était pas dans mon lit, ni dans ma chambre, mes cheveux sont trempés, des gouttes tombent dans mon cou déja humide, j'ai chaud mon corps est tout collant, je hais cette sensation,. Je décide de me lever mais c'était sans compter sur les vèrtiges qui viennent de faire leur apparition sans prévenir, ma tête se mis a tourner asser violement, la piece s'amuse à danser autour de moi tel un carnaval, la chaleur de mon corps augmente de plus en plus. Un mal de tête suivi cette douleur c'est comme ci on me frappe à coup de batte de baseball, je m'assoit sur le bord du lit qui m'était toujours inconnu, sur les draps bleu claire, on pouvais remarqué la trace mon corps tout fin, de la tête au pieds. Je ne porte pas de haut je suis juste vétu d'un short simple sans motif entièrement noir, que ce soit en hiver ou en été je n'aime pas dormir trop habillé surtout que je fait souvent se genre de cauchemars, donc je me réveille souvent en sueur.
Une fois arriver devant la porte de la chambre, je prend une pose car je ne savais toujours pas ce qui etait dèrriere, je n'ai aucun souvenir de ce que j'ai fais hier, c'est encore une fois un trou noir comme prèsque tout les week-end, je devrais vraiment arreter de toucher à la drogue et à l'alcool, mais d'un coté je me voit pas arreter elle me permet d'oublier mes souvenirs les plus sombres, de ne pas me faire passer pour un homme faible, fragile qui à déja tenter le suicide a plusieurs reprise, ou encore qui s'endors tout les soirs les yeux gonflées a cause des larmes versée sans le vouloir, sans ca je ne sourir jamais ou alors se sont des sourir forcés mais parfois je me sens obligé de faire un sourir a certaine personne, pour leur voilé la face, pour leur faire croire que tout vas bien, que mon deuil est passé depuis des semaines. Mais a qui pourrais-je faire croire ca, derrière chacun de mes sourir se cache des tonnes de larmes et de sang tout droit sortie de mon corps tirée d'un film d'horreur, je reviens a la réalité quand je remarque que depuis le début la chambre était presque plongé dans le noir, je ne supporte plus de dormir dans le noir, car dans ses moments la mes souvenirs remontre plus facilement à la surface. La chambre sombre était simplement accompagné de quelque ligne orange provenant de la fenetre, je n'ai jamais eu la notion du temps, mais je dirais qu'il doit être 7 heures du matin environs.
Quand je me décide a enfin ouvrir la porte ma première impression fue que à première vue la maison n'a pas l'air d'appartenir a un vieux fou, qui garde plusieur enfants pour satisfaire ses besoins personnels, oui je me fais souvent beaucoup de scénario plus fou les uns que les autres c'est une habitude, plus j'avance a pas de souris pour ne pas me faire entendre on sais jamais, plus des petits flash back reviennent dans ma tête :
" Tu vas trop loin Mathieu... "; " Tu peut pas rentré comme ca t'es completement défoncer..."
Malgrès ses petits flash back je n'arrive toujours pas a savoir chez qui je suis, quand je vous dit qu'il faut vraiment que j'arrete la drogue et l'alcool, je m'exaspère moi même ....
Cela fait quelque secondes que je marche comme ci il ne fallait pas que je fasse de bruit sinon ma vie en dépendais, mais un cadre accroché sur le mur blanc du couloir, attira mon attention sur cette photo on peut voir très clairement une mère accompagnée de sont mari ainsi que de leur fils. Ils s'emblaient tous heureux un grand sourir au lèvres, à la seconde ou mes yeux recontre ceux de l'enfant dessus je compris chez qui j'était, se qui m'a le plus étonné était que je n'est pas directement penser a lui, car c'est toujours lui qui me sauve des situation les plus bizarres dans ma vie, quand je dit lui je veut parler de Chung Ho mon meilleur amis, malgrès tout ca je ne suis pas rassuré car normalement il y a toujours du bruits chez lui, aucun bruit ne sors, ce qui commence a me donner des frissons dans le dos.
Je descendit le plus doucement que je puisse mais malgrès sa, il suffit que je pose a peine mes doigts de pieds pour entendre un grincement dès plus bruyant possible, on as l'impression que un géant déscend les escalier alors que je suis très fin, je pèse envirrons 67 kilos, comme des personnes aime me surnom ' la plume', enfin arriver en bas de ses escalier dès plus bruyant que possible, je fais le tour de la maison en espérant trouver chung ho, mais j'ai l'impression de chercher une aiguille dans une botte de foin, il est introuvable, une fois arriver dans le salon je lanca un regard a l'horloge qui indiqué qu'il était 8:08, une pensée me revient en tête nous somme lundi, et mes cours commence a 8:45, il m'as fallut 5 seconde pour réagir à ca, et je mis a courir un peut partout, une fois au deuxieme étage je remis mes affaires d'hier, c'est a dire un jean noir simple troué, avec un pull noir encore une fois, il m'allait pas vraiment car il était trop large mais il m'était précieux, et des basket toute simple, ainsi que pars chance mon sac avec un petit mot dessus ' je suis parti le chercher ce matin pendant que tu dormais, à ta place je savais que tu allait te lever en retard ' sur ceux je me mis a courir pour prendre le bus est prier pour ne pas être en retard.
C'est parti, direction le paradis du diable...
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|| The light in the darkness ~ BxB ||
Teen FictionMathieu à toujours voulu avoir une vie banale, mais la vie en a décidé autrement. Depuis jeune il se fait insulter, martyriser, ou encore des gens lui lance des regards de mort, malgré tout ça il continu de vivre sa vie mais jusqu'à quand vas t'il t...