JE ME SOUVIENS.....

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Je me souviens encore de cette nuit d'été,
La près du mur tu m'attendais accoster.
Passant et courant pour éviter les gouttes de pluie,
Tu m'arrêtas d'un mouvement brusque afin d'entendre le oui,
Que tu espérais depuis des années comme une preuve tangible,
Pour la continuité de notre relation infaillible.

Ah oui!que de beaux souvenirs de ce lendemain,
Assez amusante où nous nous tendîmes la main,
Marchant dans la rue joyeux comme tout,
Tel deux gamins faisant sans cesse la moue,
Laissant sans voix les beaux parleurs du quartier,
Qui disait que jamais je ne serais ta moitié.

Tes amis ne cessaient de te dire d'abandonner ,
Puisque selon eux cette relation était camoufler,
Et que l'intérêt que je te portais était la cause d'un manque d'amour,
Mais peut importait tu t'étais entiché de moi tel un palais a sa cour.

Un souvenir inoubliable de ce moment ou tu m'as regardé,
Avec tes beaux yeux et tu m'as dit«je ferais tout pour te garder »,
Face à ces mots j'ai cru perdre mes moyens,
Car en somme  toute ils te traitaient de vaurien.
Mais en toi j'ai vu l'homme sincère qui m'aimait,
Puisque le plus important le temps me l'accordait.

J'étais si jeune,la,première fois ou tu m'as embrassé,
Fragile comme j'étais,de mon corps une telle passion s'est degagé,
De la posant ta main derrière ma nuque tu m'as assuré,
Que tes intentions n'étaient pas de me profiter,
Mais de me prouver que toutes ces années d'attente,
Etaient des banalités puisque moi dans ta vie j'étais la composante.

Tu m'as permis de comprendre ce que signifiait le mot amour,
Certes il t'a fallu du temps mais sans pour autant me jouer des tours,
Car dès l'instant que tu as posé tes yeux sur moi
Tu as tout suite compris que j'étais a toi,
Telle la,rivière propre balayant les pierres précieuses,
Et laissant le soleil les illuminés d'une de ces facons délicieuses.

Le souvenir inoubliable des ces innombrables belles nuits,
Dont la plus belle ce fut le jour ou j'étais tel un légume cuit,
Accolée,tête contre ton torse j'utilisais cette vaste partie qui me servait d'oreiller,
Et dont toi tu ne cessais à mes oreilles de chuchoter,
Ces mots tendres ,suaves et douces,
Caressant mon,tympan comme ce bon Makos Dous .

Je ne pourrais oublier ce jour, un midi,😢 ou le soleil battait son plein,🌞
Ton corps étendu par terre, et moi j'étais témoin,😞
D'un de ces jours les,plus funestes que j'ai vécu,
Car assise près de ton corps inerte je ressassais ces beaux monents qu'on a eu,
Où mes soupirs étaient tes soupirs,
Où nous eûmes a partager les plaisirs d'un jour et nos fous rires.😔

Ah oui je me souviens encore de toi.......

Je me souviens Où les histoires vivent. Découvrez maintenant