*37*Lizzy rapelle-toi !

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**La soirée**

Je suis sortie du lycée en trombe après avoir remerciée Thomas. Se qui je vous assure ma demander énormément. Il fallait absolument que je m'entraîne. Tans pis pour les cours de cette après midi. Je ne dois pas prendre le risque que l'on me voit en ville. Je me dirige donc vers chez moi au sous sol. Dans une salle d'entraînement au combat, que j'ai fait installé pendant la nuit.
J'attrape une paire de tennis,un top et un leging dans une boîte et me change rapidement. Je jette mes affaires dans le bac puis file m'échauffer. Après une série d'échauffement et une course autour du terrain de 30 minutes je me décide enfin à comencer. Je tape dans des sacs. J'enchaîne crochet, upper cut, it kick et autres. Je me défoule ainsi pendant ai moin 1h puis attrape le bouteille d'eau bois tout en mettant des straps sur mes poings. La corde accroché solidement au plafond me fesait se l'oeil je pars à l'autre bout de la salle et lance le chrono. Je cours de toutes mes forces vers la corde à un mètre d'elle je saute et en vol enlacé la jambe à la corde afin de ne pas tomber. Je ne laisse pas mon corp s'habituer à sette sensation et fonce vers le haut. Une fois en haut je tape une grand coup dans la cloche se qui la fait sonner et arrête le chrono. Mon temps est bon je suis heureuse. Après encore 2 heures d'entraînement j'enlève tout les vêtements pour ne garder que mes sous vêtements. Je jette mes affaires dans la corbeilles à linge salle et remonte vers la cuisine. J'ai une faim de loup. Ma nuditée ne me dérange pas mon cousin ne serra pas gêné de me voir comme sa il connaît mon corp après tout. Je grimpe les escaliers quatre à quatre et j'entends une voix masculine. Sûrement mon cousin. Je me lance donc vers lui:
-Salut cous....
-Salut Princesse sympa ta tenue !
Eh merde ! Putain mais qu'est se que fout Thomas içi ? Merde en plus je suis en sous vêtements mais quelle poisse ! Je suis loin d'être prude, alors au lieu de faire ma petite fille gênée je joue la carte du jemenfoutisme totale. Je lui sourie faussement.
-Salut Thomate, oui j'aime bien aussi surtout quand il fait chaud. Mais bon la ses pas trops le cas donc je vais aller prendre une douche et me changer. Tu est venu pour quoi ? Et ne m'apelle pas princesse.
-De un je suis venu pour prendre des affaires pour johan on va faire une petite soirée ensemble. Et de deux se n'est pas se que tu est? Une princesse.
-pourquoi dit tu sa ?
-Oh ne joue pas l'innocente les filles mon raconté pour ton mensonge!
- Mais enfin quel mensonge, j'ai peur de la suite.
-Ne me prend pas pour un con tu a raconté au fille que tu était fille d'un Tsar non mais n'importe quoi d'ailleurs elle ne t'on pas cru non plus.
-C'était un secret !
-Un mensonge ne peux pas être secret.
Je vis rouge. Elle mon trahis, mes amies. Et il se moque de moi en plus sans tenté de me croire. Ses une tellement grande injustice que sa me fait péter un câble, je ne suis pas moi.
-Puisque tu ne me crois pas pars et ne revient pas! Je ne veux plus te voir ni toi ni Evan ni les filles vous êtes tous des menteurs et des déceptions. Pourquoi vous n'êtes pas capable d'être des amis normaux
-comme si tu avais déjà eu des amis !
-j'en ai eu! J'avais un meilleur ami.
-tu avais, il ses cassé lui aussi ?
Chuchota-t-il d'une voix surnoise. Les larmes viennent et je les repoussent. Je m'interdit de pleurer.
-Non il n'est pas partit il est mort.
-Oh tu vas pleurer? Pauvre chérie, il ri gras. Il ses passé quoi alors ? Il ses bourré la gueule tellement il en avait marre de traîner avec toi. Je sais qu'il est sous l'effet de l'alcool mais sa me blesse comme même. Après tout il ne fait que dite se qu'il pense.
-Non il n'est pas suicidé.
-COMMENT ALORS!?! Il se met à hurler, j'en tremble ! J'ai peur pour la deuxième fois dans ma vie
-JE L'AI TUÉE !je... je l'ai tuée.
Un silence se fait durant lequel je m'écroule par terre. Il reste debout à me regarder choqué puis descend sur les genous. Dans ses yeux je vois une leur que je ne voulais pas voir: la pitié.
-Épargne moi cette pitié !la chambre de Johan est à côté de la cuisine Je me lève epoussete mes genous et décide de me changer pour allez me battre. Dans les escaliers un vertige me prend. Oh non pas maintenant ! Je tangue sur mes jambes et m'appuie sur la rambarde. Une fois en haut je m'accroupie sur le sol et laisse un de ces affreux souvenirs revenir. Je soupçonne savoir duquel il s'agit.


**flashback**

Je souris a mon père. A 12 ans je suis officiellement bachelière avec un diplôme de meurtrière avancée. Nous ne sommes que cinq à l'avoir obtenue en Europe et 13 dans le monde. J'en suis très fière d'autant plus que je suis la plus jeune à l'avoir obtenue. Mon père ne m'a pas vraiment soutenue, mais j'espère attiré son attention sur moi avec cette réussite. Il semble fière et sa me plaît. Mon père souris, il semble heureux mais avec lui je ne sais jamais il fausse toujours tout.

-C'est bien ma fille ! Je suis fière de toi.
Je sens un "mais" poindre à l'horizon.
-Mais (qu'est ce que je disais) j'ai peur qu'il y ai toujours un problème...
-Lequel ?
-Je sais que tu est capable de tuer un inconnu sous mon ordre, mais quand est il des amis? J'ai peur que si c'était un ami tu serait parfaitement incapable de le tuer peu importe si je te le supliai. Ai-je tort ?
-Oui. Je suis sur que je serais capable de le ou la tuer sans hésitation.
-D'accord si tu le dit. (Il tend son bras vers la porte. Rentre deux de ses agents soutenant un de mes amis, il a obtenu son bac en même temps que moi. Je frissonne, il est recouvert de blessur.)
-vas-y tue le !
-Mais pourquoi ?!
-Pour mon envie.
-Jamais je ne pourrais faire sa ses mon amis
-Tu vois ? Qu'est se que je te disait ? Tu est trops faible!
Il tira 5 balles dans le corps de mon ami. Une dans chaque jambe, dans chaque épaule et une dans le ventre.
-Voilà maintenant il est déjà mort, tu le sais. Il ne pourra survivre à ses blessures. Soit tu abrège ses souffrances, sois tu le laisse se vider de son sang dans la honte.
Je regarde le corp agonisant de mon ami et le prie mentalement de me comprendre. Mon flingue se lève de lui même. En plein milieux de son front. Je lui dit adieu et parcours mon cerveau. En cours sur le cerveau j'ai appris qu'il y avait un moyens de bloquer toutes émotions de ne plus rien ressentir. Je cherchai se gros bouton mentale avec le panneau douleurs et une fois trouver j'eus peur. J'était persuadée de n'avoir peur de rien et pourtant face à mon ami je ne pouvais que douter, le méritait-il vraiment ? Oui, j'en était persuadée il ne méritait pas une mort longue et douloureuse. Alors j'appuya de toute mes forces sur se bouton sentiment et sur la détente. Tuant mon ami et moi par la même occasions. Je souris voilà je n'avais plus d'ami et n'en aurait plus. Je n'avais plus de parents mon géniteur n'était plus mon père c'était un monstre. Mon envie de vengance coulait dans mes veines. Je tournait donc le fusil vers lui et lui tira dans la jambe lui coupant le muscle. Se n'était pas mortelle mais il lui faudra de la rééducation. Et même avec il marchera en boitant toute sa vie. Seulement mon admiration pour son travail ne pouvais décroître alors je me mis à son service pour que la mort de mon ami ne soit pas veine. Et tua sans pitié.

**fin flashback **

Tandis que le souvenir disparessais je me relevait doucement. La vengeance de mon géniteur fut simple. Il organisa un combat contre moi. Certe j'était plus forte que lui avec sa jambe mais il réussit comme même à m'infliger une longue cicatrice dans le dos de la base du coup au bas des rein. Elle est encore là à vie pour me rapeler que mon père quoi qu'il arrive est toujours supérieur. J'entendis un bruit sourd dans la cuisine et pensa à Thomas. Je descendi donc pour le prendre en flagrant délit de vol mais à la place j'y retrouva Titouan me souriant.
-Désolé ma belle mais ton séjour en Amérique est désormais fini.
-Si tu pense réussir à me vaincre seul tu te trompe.
-oh non! Je ne commetrais pas cette ereur une deuxième fois. Bonne nuit chérie !
Un violent coup à l'arrière de ma tête me fit perdre connaissance.

Je me réveilla dans une salle bétonné avec pour seul lumière une lampe artificielle et aucune connaissance donc de l'heure ni de quoi que se soit. Mon corps est attaché à une table pieds et poings liés. Je tente de bouger mes les attaches en cuir me meurtrissent les poignets. Je continue ma visite de la pièce quand mon regard bute sur un corp au fond de la pièce. Et merde pas lui ! Son visage vieilli sa cicatrice. Sa peaux de bête, sa canne et ses chaussures en cuire italienne.

-Bonjours père !

-Bonjours père !

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I'm DangerousOù les histoires vivent. Découvrez maintenant