Chapitre 1 - Le lancement.

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« L'art du succès est de savoir s'entourer des meilleurs » Anonyme

Il est 8 heures du matin, début de week-end, la saison d'hiver vient de s'achever. Les rayons du soleil passe légèrement sous les stores. Ma chambre est toujours dans l'obscurité mais on peut s'y retrouver facilement.  Au milieu, un lit énorme, avec des draps rouges fines. A côté de moi, une latina d'origine colombienne et portoricaine, Valentina dort à point fermé. Le drap rouge étant sur le côté, j'en profite pour « mater » son corps qui est... magnifique, sexy avec un « gros cul bien formé » et une poitrine généreuse. Je repense à la soirée déchaînée qu'on a passer ensemble. 22h30, J'étais allait à un bar à Bastille pour me changer les idées après avoir fait une série de massacre à la tronçonneuse avec mon frère, pour 400 000€ à se séparer 50/50, des gens du nord de l'Europe qui se prenaient pour des voyous, on s'est éclaté. On a coupé chaque individu en morceau, le sang giclé dans tous les sens, « une fontaine de sang » et puis on les a brûlé. Les flammes dévoraient chaque membre à une telle vitesse qu'on pouvait les comparer à des feuilles de papier. Quelques bout os blanchâtres rester.

Le bar, était agité, il y avait une foule de dingue, ambiance orientale, sur la piste de danse les fesses ne s'arrêtaient pas de se déhanché sur des sons du continent américain. Je prends place sur un chaise au comptoir. Une serveuse plutôt pétillante me serre un verre de Jack Daniels. Je prends mon verre, cul sec puis je tourne m'a tête d'une manière un peu sauvage, comme un loup aperçu un gibier et qui se préparer à dévorer sa proie. C'est à ce moment que je l'ai croisé. Cheveux très court qui montre ces oreilles avec de petit piercings, visage naturelle, un regard perçant avec des lèvres pleines , robe avec des fleures de toutes les couleurs. Je m'approche d'elle comme si je l'avais déjà vu. Je l'aborde direct :
-

Hey, tu es plutôt distante pour une soirée agitée.
- Salut, je préfère rester au comptoir avec mon verre pour le moment, (je n'ai pas pu m'empêcher de remarqué son accent latino)
- Tu es une latina ?
Elle rit
- Je n'arrive pas à cacher mon accent
- Tant mieux, j'avais besoin de m'évader sans prendre d'avion
- Le verre n'est pas suffisant...
- C'est pour ça que je suis venu pour prendre la place du verre pour que tu sois satisfait de ta soirée dis-je avec un sourire au lèvre.
Elle rit avec le verre entre ces lèvres
- Tu me donnes envie...
Je fais comme si je n'avais pas entendu ce qu'elle venait dire
- Va sur la piste de danse pour que je vois comment tu bouge ton cul
- Si tu viens avec moi... avec un clin d'œil en se lève de sa chaise, sa robe mes son corps en valeur.

Une chanson latin, plutôt bachata, elle se met de dos à moi et là... Elle se déhanche, c'est mouvement son accord avec la musique. Elle se retourne, me fait signe de la rejoindre sur le « dance floor». Je l'a rejoint. On danse comme des malades. Quand nous avons fini ,on est retourné au comptoir, on a beaucoup bu et rit puis on a sauté dans ma voiture. Je cligne des yeux, une main caresse mes abdominaux descend plus bas, me ramenant au moment présent, sur le lit, elle me regarde intensément avec ces lèvres pulpeuse entrouverte :
- ¿ Qué pasa papi ? ¿ En que piensas ? ( Qu'est ce qui se passe ? A quoi tu pense ?) Avec un son sourire plein de charme
- a anoche, cuando te jodí salvajemente (à hier soir, quand je t'ai baisé sauvagement), en l'a regardant avec un regard plein de desir
En prononcent c'est dernier mot, elle se mordit la lèvres :
- Quiero más papi ! (J'en veux plus!)
Je l'a retourne sur lit et c'est reparti.

Je l'ai donné ce qu'elle voulait...vraiment ce qu'elle voulait, déjà le matin même elle avait des bleus un peu partout sur son corps, alors là...

Cela durer toutes la matinée, une fois terminer, je l'est raccompagné chez elle, on à pris le temps de ce dire à bientôt en échangeant nos numéros. A  la minute même quand elle sort de la voiture, je reçois un message de mon frère m'indiquant qu'il a reçu la « marchandise ». Je l'appelle, après deux sonneries il répond :
- Hey frérot, tu es où ?
- Je suis dehors au quartier
- Ok, il faut que tu viennes à Paris au TCP.
- Ça marche, j'arrive dans 20-30 minutes
- Je me fiche de combien de temps sa va te mettre. Dépêche-toi.
- Ça marche.

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⏰ Dernière mise à jour : Nov 24, 2017 ⏰

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