I. Une vie pauvre

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Je me levais tranquillement de ce qui me servait de lit en m'étirant.

Je regardais autour de moi et pensai : rien à changer, j'ai toujours un parquet en bois dès plus ignobles et qui risque de s'effondrer à tout moment, une table et une chaise qui pourrisse au fil du temps. Une petite cuisine et un lavabo qui ont totalement perdu de leurs éclats, une sorte de matelas qui me surélève du sol, mais dormir sur le sol serait, peut être mieux, les murs tachés à cause de leurs anciennetés et de la saleté et enfin les fenêtres; trois pour être exact deux sur un mur et une sur un autre mur, leur état n'était pas trop catastrophique, elles n'étaient pas cassées enfin y avaient juste un bout de verre qui manquait parfois, mais la moitié de la fenêtre était encore là, c'était l'essentielle.

Je m'approchai d'une des fenêtres pour regarder dehors.

Comme d'habitude cette ville n'est pas encore très animée, on doit être le matin, mais l'heure, je ne peux pas être trop sûr.

Il faut dire que dans la ville souterraine si l'on a une montre on ne la garde pas très longtemps avant de cela faire voler et le soleil, nous ne le voyons pas enfin sauf pour de rares personnes qui possèdent un équipement bien spécial.

En pensant à cela, je me retournée doucement vers l'équipement au quels je pensais.

J'ai de la chance de l'avoir quand même, il m'a sauvé la vie quelques fois.

Je m'assis sur la chaise et commençai à m'équiper.

Je ne sais pas vraiment ce qu'est cet équipement mais la police militaire s'en sert pour arrêter les criminels, quand ils ont tenté de m'attraper, je les ai battus assez facilement et j'ai volé leurs équipements. C'est normal d'après ce que j'ai compris les plus nuls de la police militaire sont envoyés pour surveiller la ville souterraine. Ils nous regardent comme si nous étions des boulets à traîner, je suis sûr que dès qu'ils pourront ils nous éradiqueront.

Cet équipement était composé de plusieurs sangles accrochées entre elles qui permettaient un certain maintient lors de l'utilisation, elles étaient sur les jambes et le torse. Ensuite, une ceinture au niveau du bassin où étaient raccrochées des sortes de propulser pour deux petits grappins retenus par des fils en acier qui se rembobinent, ensuite de chaque côté au niveau des cuisses, il y a deux boîtiers assez grands où l'on peut mettre les lames.

Je n'en ai qu'une que je n'utilise quand extrême urgence, car elles sont très résistantes et je ne veux pas la gaspiller. Au niveau du dos, il y a une sorte de ventilateur qui permet au gaz retenu dans les bouteilles de sortir et d'être projetée vers la direction voulue, je manque souvent de gaz donc je l'économise en me projetant comme pour un balancier; toujours pour en cas de problème. Enfin dans les mains deux manettes qui contrôlent la sortirent du gaz les grappins et l'on peut y accrocher les lames.

Après mettre entièrement équipés je me dirigeai vers la fenêtre et l'ouvris en grand, je me mis sur le rebord puis je déclenchai mes grappins et me laissai tomber. À une certaine hauteur, je bloquai mes grappins et les rembobinai et je fus projeté à une vitesse convenable pour éviter d'utiliser du gaz.

Je me déplaçai une bonne demi-heure au moins en cherchant la police militaire mais encore aujourd'hui, ils ne semblaient pas se montrer, je ne pouvais pas voler leurs bouteilles de gaz. Cela va devenir difficile d'utiliser cet équipement si je n'ai plus de gaz et que je me fais poursuivre.

En râlant je décidais de me poser et de continuer ma recherche à pied, je cachai mon équipement qui ferait des curieux, en mettant une cape sur mes épaules et recouvrit ma tête d'une capuche.

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⏰ Dernière mise à jour : Aug 13, 2018 ⏰

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