Point de vue Itachi...
Le couloir est sombre. Je n'y vois presque rien. J'approche lentement, à la aveuglette. J'ai les oreilles qui bourdonnent. C'est terriblement désagréable ! un pas devant l'autre, je marche. Je suis la faible lumière qui vient du dortoir. Le couloir me paraît beaucoup plus long que d'habitude. C'est étrange... J'entends au loin des sons inaudibles. Je n'arrive pas à détecter exactement ce que j'entends. Mais je sais que ce que j'entends vient du dortoir. J'appuie ma main sur le mur, comme pour me guider. J'accélère un peu plus ma vitesse. Je veux comprendre ses bruits sourds. J'avance encore et encore. Je ne comprends toujours pas ce que j'entends. Mais je parviens enfin à reconnaître une voix. Celle de Gaara. Je cours pour le retrouver. Sauf que le dortoir me paraît si loin. J'ai beau avancer, c'est comme si je faisais du surplace. J'entends une autre voix résonner. Une voix qui me fait froid dans le dos. Celle d'Orochimaru ! Alias Peau de serpent. Merde ! Pourquoi cette ordure est avec mon Gaara. J'ai un sal pressentiment. Sans réfléchir, je me mets à courir le plus vite possible. Je passe même proche de me casser la gueule par deux reprises. Au bout de je ne sais pas combien de temps, j'arrive enfin au dortoir à bout de souffle. Je lève les yeux et recule d'un pas, tétanisé par ce que je vois. Gaara est suspendu dans les airs, par des serpents, complètement nu et ensanglanté. Mon corps tremble de tout son être et mon cœur se brise en mille morceaux. Ses lèvres trembles, ses yeux sont à moitié fermés et des larmes coulent le long de ses joues. J'ai envie de vomir. Qu'est-ce qu'il t'a fait Gaara ? Orochimaru s'approche lentement de lui. Il le frappe plusieurs fois dans l'estomac. J'entends les hoquets de douleurs de mon pauvre Gaara. Je veux intervenir, mais mes jambes sont totalement paralysées. Je sers les dents en essayant coûte que coûte de bouger. Je ne peux pas laisser faire ça ! Putain ! Pourquoi mon corps ne m'obéit pas ? Je rage. Stupide jambe, vous allez m'écouter à la fin ! C'est ce que je crois un cours instants, avant de réaliser, que ce ne sont pas mes jambes le problème. Mais mes deux pieds qui sont totalement collé au plancher. Je suis tombé dans le piège de cette merde à la tête blanche, comme un putain de débutant ! Orochimaru est entrain de toucher, de ses sales pattes, le corps de mon tendre chéri, sa main caresse ardemment le sexe de Gaara qui grossit en prenant une couleur rose foncé. Gaara grimasse. Ce n'est clairement pas agréable pour lui. Orochimaru sourit de plus belle en se caressant lui aussi l'entre jambe. Je ne peux pas laisser Gaara comme ça ! J'utilise tout mon énergie pour enfin bouger. Mais mes pieds son toujours bien collés au stupide plancher. Je veux intervenir mais ça met totalement impossible ! Fait chier ! L'enfoiré cesse ses vas et viens du sexe meurtrit de mon pauvre chéri. Il se positionne à l'arrière de Gaara et se met à lui marteler les fesses de violents coups. Gaara crispe le visage, gémit de douleur et ses larmes ont quadruplés. Il souffre incroyablement ! Me rester là, sans pouvoir intervenir ni arrêter se massacre est un supplice ! Je vais vomir mes tripes si ça ne s'arrête pas très bientôt. J'ai la tête qui tourne et mon cœur va exploser. C'est douloureux ! Orochimaru arrête enfin ses coups. Je ne suis pas soulagé pour autant. Que compte t'il lui faire maintenant ? Le corps de Gaara tremble, comme un tremblement de terre niveau 10 sur l'échelle de Richter. Il ne peut plus rien supporté. Orochimaru se caresse encore et encore. Les serpents redescendent de quelques centimètres le corps de Gaara, avant de le pencher vers l'avant. Ses fesses rougeâtres sont maintenant au même niveau que le bassin de cet ignoble être humain. Putain non ! Je tente de toutes mes forces de décoller mes pieds du plancher. Orochimaru me regarde droit dans les yeux. Son sourire me fait frissonner la colonne vertébrale d'effroi.
Orochimaru : Regarde-moi bien déflorer ton beau petit Gaara, Itachi. Regarde-moi bien faire !
En un coup de bassin, il entre d'une traite son sexe dans Gaara qui cri à perdre haleine.
Moi : NON !!
Je me réveille en sursaut. Les larmes coulent le long de mes joues, mon cœur bat à tout rompe, je suis en sueur et je tremble malgré moi. Je regarde le plafond totalement traumatisé, en essayant de reprendre mon souffle. Je me tourne la tête, Gaara dort paisiblement, la tête sur mon épaule, le nez dans mon cou. Il semble bien, comme tous les autres, d'ailleurs. Putain de cauchemar ! De tous les rêves que j'ai pu faire, celui-là était le plus effrayant. Je regarde le cadran. Il est deux heures du matin. Je me sens encore super mal de ce qu'y s'est passé. Et mon subconscient me le fait savoir d'une façon très... Radical et extrêmement déplaisante. J'embrasse le cure chevelus de mon amoureux. Ensuite, je prends le soins de me dégager du lit, sans réveiller Gaara. Putain ! Mes côtes me font terriblement mal ! J'essaie d'avancer jusqu'à la fenêtre du dortoir, sans faire trop de bruit. Je ne veux pas réveiller les autres. Je serre les dents pour ne pas gémir ma douleur. Ce connard ne m'a vraiment pas manqué ! Juste marcher, c'est un calvaire ! Je m'accote sur le rebord de la fenêtre et regarde la lune. Je dois me vider la tête de toutes ses horribles images et calmer mon cerveau qui est beaucoup trop actif à mon goût. La lune est à sa pleine capacité. Elle est radieuse ! J'ouvre doucement la fenêtre. Car mes poumons ont besoin d'un autre air. Le vent frais de l'été me chatouille le visage. C'est agréable. Je prends plusieurs bonnes respirations. Je sens les battements dans ma poitrine diminué la cadence. Je me tourne la tête et regarde Gaara dormir. Il est sur le ventre, la tête enfuit dans l'oreiller. Je souris malgré moi. J'adore le mater dormir. Plus apaisé, je regarde à nouveau l'astre lunaire et me mets à réfléchir quelques instants. Pourquoi cette merde nous cherchait-il ? C'est très étrange. Théoriquement, Le sceau n'est pas toujours sensé révéler notre présence H24 ? Pourtant, À chaque fois que je skippais se saloperie de couvre-feu, Orochimaru se déplaçait lui-même et en moins de deux, il me ramenait, soit en me tirant l'oreille, soit les cheveux, avant de me foutre la raclée pour me corriger. Mais là, c'est Konan qui m'a prévenu. Est-ce que... ? Est-ce possible ? Il y aurait une nouvelle faille dans sa marque ? La première étant le changement de couleur, quand le vieux est endormi. Je m'en suis rendu compte un mois après que nous l'avions hérité. Je m'étais réveiller en pleine nuit. J'ai voulu sortir du dortoir. C'est là que j'avais aperçu la marque rouge sur le front de Gaara. J'ai trouvé sa suspect. Une fois dans la cuisine, j'ai regardé moi-même ma marque. Elle était également rouge. J'ai été vérifié dans la chambre de peau de serpent. Il dormait profondément. Depuis ce temps, il m'est très facile de savoir le cycle de sommeil d'Orochimaru. Je n'en ai jamais parlé aux autres. Mais j'imagine qu'ils l'ont sûrement remarqué, eux aussi. Enfin bref. Je m'égare. Pour revenir sur le fait qu'il nous a pas vue, quand on était dans ce genre de sous-sol, c'est tout de même un mystère assez prodigieux.
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La cité aux nuages rouges perdu
FanfictionLes personnages sont à l'auteur du célèbre manga Naruto et non les miens. Par contre, l'histoire est la mienne. Merci de ne pas plagié. On travaille dure sur nos histoires, alors ne piquez pas les idées des autres. Sur ses belles paroles, je vous so...