(4)

47 5 0
                                    

C'est vrai que j'en parle pas souvent,que je garde tout pour moi,mais la mort de mes parents est arrivée s'en que je mis attende,ils étaient juste allés faire les courses,nous nous étions tous ensemble au salon a regardaient la TV,je me souviens encore de ce moment ou nous étions tous présent à l'appel même Heaven qui se faisait de plus en plus rare à la maison,ce jour là nous rions ensemble pour un rien en se remémorant l'ancien temps. Lorsque la nuit fut tomber nous nous inquiétâmes de ne toujours pas voir les parent sauf elle qui m'avait l'air assez sereine.Puis vint le moment ou nous l'avons appris ,cette accident passait au infos:J'ai vu la voiture prendre feu en direct et les gens qui essayer de sortir mes parents mais plus les gens se rapprochaient plus le feu grandissait .Comment vous dire que je n'ai pas versé une larmes,ni mangé,ni parlé pendant plus de deux semaines.La nouvelle ne parvenait pas à passez,je me sentais vide,sans aucunes émotions,mes oncles et tantes les plus proches étaient au courant de mes problèmes au niveau des sentions et émotions que je ne ressent rien absolument rien lorsque j'apprends une mauvaise nouvelle,même quand elles sont bonnes je m'efforce de montré de la joie mais sinon rien.Les cendre enfin se qui resté on étaient enterré à Kinshasa la ville natale de ma mère,j'étais présente physiquement mais spirituellement j'étais ailleurs,les souvenir de mes parents que j'aimais plus que tout au monde me trottaient dans la tête,puis une chose humide a commencé à inondé mon visage,cette chose qu'on appelle larmes,elle coulé sans que je puisse l'arrêter,mes frères et sœurs ont stoppé leur pleures et mon tous regardés sans exception,surement choqués,là dernière fois que j'ai pleuré j'avais 2 ans,Mon grand frère ma pris dans ses bras puis mes émotions ont parlé d'elles même,mon frère était mon repère principal car lui n'était pas non plus expressif niveau sentiment;non par maladie mais par choix,quand je repense à mes parent je repense directement à lui,après l'enterrement il est tombé soudainement malade,sans aucune raison;en moins d'un mois il était mort lui aussi me laissant seule,sans aucun repère,seule avec ses deux enfants,le jour de sa mort j'ai pleurée toutes les larmes de mon corps sans m'arrêter pendant des jours entiers,personnes n'est venu, ni du coté de la famille de mon père ni de celle de ma mère,même Heaven sa propre grande sœur,j'ai enfin compris qu'ils n'était là que pour les biens matériaux de mes parents.

•corrigé•

Depuis je me débrouille pour que mes deux amours puissent ne manquer de rien.Aujourd'hui petit à petit je rescent plus facilement de la tristesse ou de la joie.Donc j'ai commencé à coiffer Déborah,une coiffure simple et rapide parce que dans deux heures je dois aller au travaille.

-Nahomi?

-Quoi?

-Non rien

J'avoue que mon "Quoi?" était assez agressif

-désolé je suis juste un peu fatiguée,vas-y dis moi ce qu'il y a

-J'espère que tatie Myriam elle sera moche a son mariage

-(rire discret)Honey on souhaite pas le malheur des gens d'accord,laisse Dieu s'en charger.


Lorsque j'ai fini je m'aperçoit que dans dix minutes je dois commencer le travaille et que j'habite à vingt minutes du bureau.


-Elie tu prends ta sœur tu lui donne à manger,il y a du riz avec des haricots dans la gamelle sur la table et après tu la lave et tu la couche,ok.Pour toi tu vas voir Juliette,elle te donnera de la nourriture et elle va venir dormir avec vous,et surtout tu n'oublie pas de prier et quand tu sors tu ferme la porte bon bisou et bonne nuit.

Bref je vais pas vous faire un dessin mais j'ai tellement couru même Usain Bolt à coté c'est rien;j'arrive j'ai une minute,j'ai bien dit UNE minute de retard


-Tu es en retards donc tu es virée

-(essayant de reprendre mon souffle)Q.....qu...quoi?

-Tu es virée

-(en me mettant agenou)Maman pardon j'ai besoin de se travaille s'il te plait je travaillerai plus s'il te plait

-Tu es virée et pui je suis pas ta mère,tu crois que moi je suis une p*te comme ta mère?

Les autres employées rien qu'elles rigolaient.

Et la c'est allé tellement vite que je n'est pas compris comment c'est arriver je me reçoit le sceau d'eau salle dans la figure;elles rigolaient,et dans le "Elles" il y'a Myriam.

-Bah alors l'orpheline,on arrive pas à parler,(rire)tu sais hier pendant un instant j'ai eu pitié de toi,tes parents sont morts,se sont suicider moi je dirai,marre de voire ta tete,de déranger mentale,(rire)une fille qui n'a jamais pleurée depuis ses deux ans c'est bizarre quant même(rire)

la seule à qui je me suis confiée c'est Myriam et c'est cette même personne qui utilise mes confession contre moi.

[I]Marche nuptiale:Histoire de familleOù les histoires vivent. Découvrez maintenant