L'histoire de Sa'cha

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Nous entrons dans la bourgade. Dans un coin, je vois une vieille
Femme utilisée un atelier de tannage, tandis une la scierie de la ville fait un énorme bruit. Nous approchons d'une maison où le forgeron fabrique une épée. En nous voyant, il abandonne sa forge pour venir nous accosté Hadvar, son neveu, et moi :

- Bonjour, mon oncle, commence Hadvar.

- Hadvar, vous n'êtes pas en service?

- Chut! Mon oncle, parlons moins fort.

- Dans ce cas, entrez, Sigrid a préparé de quoi mangé.

- Merci beaucoup, mon oncle.

Par la suite, il nous fait entré dans la demeure et nous demande de nous assoire, ce que nous faisons avec plaisir :

- Sigrid! Nous avons des invités!

Cette dernière, monte les escaliers à vive allure pour nous rencontrer.

- Hadvar, comme il est bon de vous revoir. Dit elle en apercevant l'homme à mes côtés.

- Merci, je vous présente Sa'cha, elle m'a sauvé la vie.

- Oh! Dans ce cas, je serais ravie de vous aidez du mieux possible, me dit-elle.

- Mais que s'est-il passé, mon garçon ?

- Vous savez que j'étais affecté aux ordres du général Tulius a Helgen, et nous nous sommes fait attaquer par un dragon!

- Quoi attendez! Vous n'êtes pas soul mon garçon! Demande le forgeron.

- Non! C'est la stricte vérité, mon oncle.

- Oh! Mais vous, questionne-t-il en se tournant vers moi, que faisiez vous là-bas?

- Commençons par le commencement, Je bois une gorgée d'eau avant de débuter le long récit de ma vie. Durant l'an cent quatre-vingt-six de la quatrième ère, je n'avais alors que dix ans, mes parents étaient des marchands. Nous bougions beaucoup, car c'est comme cela avec les caravanes Khajiit. Cependant, les temps étaient dures, nous étions à Cheydinhal au Nord-Est de Cyrodiil, une forte et agréable grande ville. Il y avait beaucoup de monde. Durant une nuit éclairée par les deux lunes, je jouais tranquillement dans ma tente quand j'entendis des cris venant de dehors. Je sortie en vitesse et vit mon père au pied de bandits. Il venait de mourir d'un coup de hache à travers le torse. Ma mère m'avait pris à part. Cachées derrière un rocher, elle me tendit son sac rempli de provisions en tout genre, je le prit sans comprendre puis elle me traina jusqu'au chariot à quelques pas de là. Elle n'avait pas assez d'argent pour deux personnes alors elle prit de quoi se défendre. Même loin du campement assiégé, on voyais s'élever une colonne de fumée. Quand je me réveilla, après quelques jours de voyage, je demanda au cocher où nous étions. Il m'informa que nous avions atteint Bruma et que d'après ces dires,que j'allais aimer cette ville. Je descendit, alors du chariot, en prenant mon sac. Il ne restait pas beaucoup de choses dans ce sac, néanmoins, assez pour vivre au moins une semaine. À la fin de celle ci, je ne faisais que déambuler et, épuisée, je tomba le dos contre un mur de briques. Je vis alors deux personnes une me tendant sa main. Je n'aurais jamais cru qu'ils deviendraient mes parents pendant 15 années, les plus belles de mon existence. Cependant, durant la dernière année, ma mère adoptive mourut d'une maladie nommé ankylose pour cause d'une morsure d'un loup. Quelques jours plus tard, mon père me demanda de retrouver un voleur qui avait volé les amulettes des neuf divins: Akatosh, Dibella, Julianos, Mara, Kynareth, Talos, Stendarr, Arkay, Zenithar. Mon père avait vu le voleur, il l'avait décrit comme étant un bréton, aux cheveux bruns et courts. Je prit des provisions et demanda au cocher de m'enmener à la frontière de Cyrodiil et de Bordeciel. Arrivé à destination, après une semaine, je remercia le cocher et pris ce qui me resta de provisions. Je vit alors la belle contré de Borbeciel éclairée par l'aube. Je rencontra un groupe constitué d'un homme charismatique sur son cheval avec quatre gardes habillés d'une armure en écailles bleues.
J'entama alors conversation :

La Légende d'un DovahOù les histoires vivent. Découvrez maintenant