Moi : pourquoi tu souris ? Fouad : quand je te vois je suis obligé de sourire [...] t'es tellement belle Moi : parle moi de toi Fouad : ouais, tu veux savoir quoi ? Moi : cette société c'est toi qui l'a fondée ? Fouad : non c'est un héritage familial mon père et son cousin l'avais fondé mais bon affaire de famille son cousin n'avais pas d'héritier donc c'est à moi maintenant Moi : ton père est mort Fouad : oh non il vit paisiblement sa retraite au Maroc et toi pourquoi la France, avant tu étais au states Moi : ouais New York mais bon c'était dans une autre vie tout ça, tu connais les states toi ? Fouad : tu rigoles je kiffe mes États Unis j'ai même une maison à la nouvelle Orléans Moi : ah c'est cool [...] pourquoi moi Fouad y a mille femme dans la boite et puis ta une femme Fouad : je t'ai dis t'es la seule personne que je n'ai jamais réussi à oublier je t'ai vu qu'une seule fois mais ça a suffit pour qu'à chaque fois que je ferme les yeux je te vois toi, c'est vrai il y a pleins de femmes mais elle ne sont pas toi puis elle en veulent tout à mon argent alors que toi tu savais même pas que j'etait le patron, et ma femme cette conne ne vit que pour la société donc qu'elle fasse comme bon lui semble Moi : qui dit que je savais pas Fouad : Iziah je lis en toi comme dans un livre je sais que tu craque pour moi et toi tu vois que je suis sincère avec toi Moi : donc ta femme sait pour nous deux ? Fouad : peut-être bien
Je le crois parce que moi aussi quand je ferme les yeux je le voit, je ne voit que lui, après avoir plusieurs heure de route nous voilà enfin arrivé, c'est un magnifique hôtel, on nous prend nos valises et à l'entrée tout le monde salut Fouad comme si tout le monde le connaissais, dans l'ascenseur il se retourne et rit, je ne dis rien je sais bien ce qu'il pense.
On arrive parvient au dernier étage, l'étage donne sur une grande suite, Il ouvre la porte, je découvre une sublime chambre.
Moi : on dort ensemble ? Fouad : Iziah arrête de paniquer
Il me prend la main.
Fouad : si tu veux pas que je te touche je le ferais pas même si c'est dure, fais moi confiance
J'hoche la tête. Ne dites rien s'il vous plaît, on part se balader dans les rues de la ville, en une soirée j'en ai appris plus qu'en une vie, le soir on a dîner dans un restaurant hyper chic, à table il m'a fais beaucoup rire et il n'a pas cesser de me caresser le bout des doigts, puis arriva la nuit je voulais qu'il se passe rien alors je lui ai dit, ça l'a pas empêché de se blottir contre moi, je voulais le repousser mais c'était agréable de se retrouver dans ces grands bras on a passer la nuit à parler de nos rêves, nos cauchemars, de notre enfance.
Le matin du départ, ce sont ces baisers sur ma peau qui me réveille.
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Il est sûr moi et me serre de toute sa force, aucun mots ne sort de sa bouche, il embrasse juste chaque centimètre de ma peau.
Le week-end se termine comme il a commencer pleins de surprises, quand il arrive devant chez moi, c'est le moment de se dire aurevoir, on est en pleine hésitation, je l'embrasse ? je lui fais la bise ?
Moi : c'était un super week-end, merci Fouad Fouad : non merci à toi de m'avoir fais confiance
Je lui caresse la joue, place mes mains sur son visage et l'embrasse tendrement, il en vient à rougir, c'était si mignon.
