Caleb

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Ma peau me brûle ma tête est lourde, mes oreilles sifflent, mon corps est couvert de sang...
Du sang ?
La lumière m'éblouie et la chaleur est insupportable, lorsque je me réveille, ma peau est rouge de sang.
Du sang, du sang et encore du sang.

Mais ou suis-je ?
Mes jambes me portent jusqu'à une table où sont disposé un revolver et une batte.
- Fait le bon choix.

Je me retourne, et je crois halluciner
Non ce n'est pas possible, sa ne peux pas être lui.
Mon sang se glace au moment où sont sourire s'élargit.

- Comment est ce possible comment faut tu  pour être vivant ?

- Mais qui te dit que je suis vivant.
Mon sang ne fais qu'un tour, qu'est ce qui m'arrive, je devient fou, je dois être en plein cauchemar, je me pince, me tire les cheveux pour stopper ce cauchemar  qui ne veux pas s'arrêter.

J'essaye de m'enfuir mais c'est impossible, les deux grande porte qui servent d'entrées sont verrouillées

- Tu ne reconnais pas l'endroit ?

Je me fige et examine la pièce, sa y est tout le reviens, les potes, le gangue, les engueulades, les flingues, la drogue et la planque...

- Je suis au Repaire, mais ou sont passer tous les autres ?

- Suis- moi 
Je m'exécute et nous arrivons devant une barrière en bois il est impossible pour moi de la franchir

- C'est eux que tu cherchais ?

Je lève les yeux et malgré la distance, ce qu'il y a au fond est très visible, un  tas de cadavre tous entassé les un sur les autre. C'est eux, eux qui m'on accueillit lorsque je n'avais rien, lorsque je n'étais rien, ils n'ont pas toujours été honnête avec moi, mais il étais là quand j'en avais besoin, c'était eux famille, oui eux pas les gens qui m'on abandonné lorsque j'avais à peine 5 ans.

- Que leur est t'il arrivé c'est toi qui leur a fais ça je te préviens je t'ai déjà tué une fois je peux très bien recommencer.

- J'attend que ça !

Mon poing bien heurter sa joue et une bagarre s'ensuit, il me fait tomber et me tire au sol par les cheveux, j'essaye de me débattre mais il est beaucoup plus fort que dans mon souvenir, j'agite mes bras et heurte quelque chose de dur qui tombe sur le sol dans un fracas quelque mètre plus loin.
Tandis que Gordonne se retourne pour me  frapper une seconde fois, je rend coups pour coups et précipite vers l'arme tombé au sol, il s'avance vers moi mes bras écarté prêt à me saisir, vivre ou mourrir, je l'ai déjà tué je peux recommencer.
Je brandit l'arme et appui sur la détente. 

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⏰ Dernière mise à jour : Aug 15, 2017 ⏰

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