Comment seront ils ?
Comment les vivrais-je ?
A l'ombre d'Yggdrasil ?
Ou bien ne sont ils qu'un doux rêve
Qui s'évanouiras dans le ciel d'or beige
Ces amis qui me paraissent l'accomplissement de toute une vie
Qui seulement naissent
Dans mon creux espritMes vieux jours,
Ces messagers d'amourOù la vieillesse, le plus sage conseiller
Donne toutes raisons de s'émerveiller
Devant le tableau de toute une existence
Miroir de l'âme, reflets de pâles souvenirs
Elle domine l'attirance
Entre la froide chaleur du jour
Et l'activité bouillonnante de la nuitPuisque comme toujours,
Ce sera la tragédie qui donnera de son superbe amour
Celle là, qui me donne envieElle ouvre les yeux sur le sens universel
Comme elle les fermes sur les changements de la machine ronde
Enivrant ceux qui y goûte de sentence d'hydromel
Elle sonne le doux repos de la tombe