Chapitre 8

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Léo sorti de la cuisine, les larmes au bord des yeux comme toujours depuis des mois même si pleuré lui insuportait depuis toujours.

Bellamy

Cela faisait quelques jours que leurs invités étaient arrivés, tout se passait bien, il s'entendait avec tout le monde appart Léo. Elle le repoussait tout le temps et ne voulait même plus qu'il l'approche. Ce matin là Markus l'appela dans son bureau. Ce dernier n'avait pas changé depuis des siècles et ne changerait sûrement jamais. Bellamy adorait la sensation que lui procurait cette pièce, elle sentait bon le pouvoir avec ses meubles en bois rouge foncé verni et les dorures sur les moulures du plafond haut, les long rideaux épais couleur crème brodé de fils d'ors et sur tout le grand portrait de Marcus et la mère de Bellamy. Dans quelque année ce bureaux sera à lui et se sera lui et sa reine qui y seront peint. Kane était assis au bureau, la main sur le front, lisant et relisant une lettre avec un air très préoccupé.

"Marcus tu m'as demandé?" Dit Bellamy inquiet par les traits contrariés de son beau-père

"Oui on a un très gros problème" dit-il en relevant la tête son aire grave était encore plus fort

"Explique moi" dit Bellamy en s'asseyant sur la chaise en face du roi

"La nation des glaces veux un cadeau de paix" souffla Kane

"Un quoi? Ils ont rien à demandé! Ils ont perdu" dit le prince soudainement hors de lui

"Si on leur donne ce qu'il veulent et ils libèrent tout les prisonniers de guerre qu'ils ont caché"

"Que veulent-ils alors" dit le jeune homme résigné

"Léo" souffla Kane désolé

"Mais on ne peut pas lui faire ça!" Dit Bellamy en se levant d'un bon "Elle a tout fait pour nous sauvé d'eux et on va la leur donné comme ça?! Hors de question!" Rugit le Price d'une rage d'une rare violence

"Je ne veux pas la leur donné Bellamy j'y suis obligé" dit Markus encore plus désolé

"Non! On a toujours le choix! Il... il pourrait y avoir une solution... un échappatoire... n'importe quoi? Markus tu sais aussi bien que moi qu'ils vont la tuée et pas de la manière la plus digne. Elle ne mérite pas ça" implora Bellamy

"Il y a peut-être une mais... je ne crois pas qu'elle va lui plaire, connaissant son tempérament..." dit Kane en hésitant

"Dis moi. Je suis sûr que ça lui plaira plus que de se faire torturé à mort"

"Eu... je sais pas... je crois pas..." dit le roi en se grattant la nuque "la seule façon de la protégé ce serait soit elle se marié avec moi soit avec toi"

Bellamy ouvra la bouche sous le choc. Il se laissa tombé lourdement dans le fauteuil en cuire foncé entre les bibliothèques en acajou

"Elle va pas aimé du tout, du tout, du tout"

Léo au même moment

Elle était dans la salle de musique. Une salle magnifique avec des instruments rares et somptueux qui datait d'avant le cataclysme. Elle était assise au piano. Le père de Lincoln lui avait apprit à en joué toute petite. Elle ferma les yeux en se mettant à jouer et à chanter "skinny love" une chanson qu'elle connaissait par cœur depuis toute petite. Elle chantait avec tout son cœur mais passé le premier refrain sa main glissa et fit une fausse note qui la fit tout arrêté.

Quant le destin s'acharne - The 100Où les histoires vivent. Découvrez maintenant