ONE PIECE - La Fille Du Roux (En pause)

Flashback : Maze et Ace-1

Deux ans. Deux ans que la jeune fille brune était revenue chez elle. Deux ans qu'elle ne pouvait plus sortir de l'enceinte de palais sans autorisation spécial. Deux ans qu'elle portait constament un bracelet en granite marin. Deux ans qu'elle ne s'était plus transformée. Et surtout, deux ans qu'elle n'avait plus tué. La princesse bâtarde, maintenant âgée de 16 ans, s'ennuait à mourir dans sa prison dorée. Sa mère était morte depuis maintenant huit ans. Son père n'était pas venue la revoir, sans doute trop rebuté par les actions de sa fille sur Grand Line. Son beau-père la haïssait toujours autant, peut-être même plus actuellement. Jaïnna ne lui adraissait plus la parole et ne dégnait pas lui accorder un regard. Seule Alexia semblait avoir encore un peu d'affection pour elle, mais, trop souvent, cette affection était senctionnée par son père ou sa soeur. Heureusement, cela ne décourageait pas la jeune blonde d'un an son ainnée qui continuait à la distraire quand elle pouvait. Sinon ses seules distractions étaient les évènement au château et les combat d'arrènes qui se déroulait une fois par mois. Lorsque Valandor fut construite, les architèctes s'inspirèrent d'une autre grande ville très connue et très appréciée, Dressrosa. Comme pour cette ville du nouveau monde, la capital d'Anduin possédait de grande parcelle de champs de fleur et une grande arrène où les meilleur combatants du pays ou étrangés à celui-ci s'affrontait sans règles en plusieurs blocs pour remporter un prix d'exeption. Les participants pouvaient être de n'importe quel milieu car dans ce pays, pirates, gens du peuples, voyageurs et même marines se cotoyaient sans se chercher d'embrouilles. C'était la règles principal du pays. Si vous la brisiée, vous finiciez au fond d'une cellule le restant de vos jours et personne, mis à part la royauté, ne pouvait vous en sortir. Cela tombait bien pour notre héroïne car cet après midi, le tournois commençais. Et elle s'y était inscrite incognito. Elle avait réussi à voler la clée de son entrâve à Crowford un mois au part avant et en fit un double. La nuit, quand tout le monde dormais, elle s'éclipsait ni vi ni connu dans la forêt bordant la propriété et s'entaînait. Elle voulait prouver à tous le monde qu'elle n'était pas un dangé et gagné la compétition sans utiliser ses pouvoir était le meilleur moyen d'y parvenir.
Mazehiki pensait à son plan en regardant la ville en bas depuis son balcon. Elle se demandais si tous ces efforts payerait et l'engeandrement un échec pourrait engeandrer. Non, il fallait pratiquer la pensée positive. Tout se passerait bien. Elle èspérait juste ne pas devoir affronter le fameu "Ace au Poing Ardent", le commandant de la seconde flotte du grand Barbe Blanche. Elle craignait de devoir utiliser son fruit pour le vaincre. Cependant, il en était hors de question. Elle ne pouvait pas se le permettre si elle voulait regagner la confiance du peuple et de sa famille.
Soupirant, elle se retourna et partit dans sa chambre enfiler sa robe rouge par dessus son pantalon noire et son t-shirt noir lui aussi. Pour aller le plus vite possible, elle allait devoir se changer très vite. Ses chaussures et sa cape l'attendait déjà, chachés dans l'imposant bâtiment.

-Soeurette, tu viens, on va bientôt y aller. Dit Alexia en ouvrant la porte sans aucune délicatesse.

Sa robe verte pomme mettait ses grands yeux noisette en valeur et s'accordait parfaitement avec ses cheveux de la même couleur que le blé relevé en un chignions complexe.

-Oui j'arrive, laisse moi juste le temps de mettre mes chaussures. Répondit la plus jeune en s'affairant.

-Ah ma petite soeur, faisant la fière combattante mais toujours aussi lente. Soupira la blonde d'une manière exagéré signifiant qu'elle n'était pas sérieuse.

-Ah ma grande soeur, faisant la parfaite princesse mais aussi délicate qu'un cachalot échoué sur la plage. Dit la brune sur le même ton.

-Eh! S'indigna la plus âgée en mettant ses main sur son coeur comme si elle avait été gravement touchée. Si il en ai ainsi de tes remerciments vis à vis de ma grande amabilité en vers toi, je ne chercherais plus à dialoguer avec toi. Continua-t-elle avec une petite voix, le dos de la main droite sur le front, les yeux fermés, simulant un malaise.