Francis Cabrel *30

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Puisqu'on ne vivra jamais tout les deux

Puisqu'on est fou, puisqu'on est seul,

Puisqu'ils sont si nombreux.

Même la morale parle pour eux.

J'aimerais quand même te dire

Tout ce que j'ai pu écrire

Je l'ai puisé à l'encre de tes yeux.

Je n'avais pas vu que tu portais des chaînes.

A trop vouloir te regarder

J'en oubliais les miennes.

On rêvait de Venise et de Liberté.

J'aimerais quand même te dire

Tout ce que j'ai pu écrire

C'est ton sourire qui me l'a dicté.

Tu viendras longtemps marcher dans mes rêves.

Tu viendras toujours du côté

Où le soleil se lève.

Et si malgré ça j'arrive à t'oublier

J'aimerais quand même te dire

Tout ce que j'ai pu écrire

Aura longtemps le parfum des regrets.

Mais puisqu'on ne vivra jamais tout les deux

Puisqu'on est fou, puisqu'on est seul,

Puisqu'ils sont si nombreux.

Même la moral parle pour eux.

J'aimerais quand même te dire

Tout ce que j'ai pu écrire

Je l'ai puisé à l'encre de tes yeux.

à l'encre de tes yeux

Poèmes diversOù les histoires vivent. Découvrez maintenant