Symbiose: nature et pouvoir

Partie sans titre

Mon premier réflexe a été de téléphoner aux urgences etj'allumais la radio, un flash spécial annonçe que ce qui s'étaitpassé pour mes parents était arrivé un peu partout. Le flashterminé, la porte sonna, j'ouvris et un homme formé comme unearmoire à glace rentra et me posa des questions sur ce qui s'étaitproduit. Il était accompagné de cinq copie de lui même. Mesréponses furent brève à ces questions. Ces jumaux s'occupèrent desuite de mon frère et de père jusqu'à ce que l'un butte dans levide et trouva mère allongé.

Une fois qu'ils s'étaient occupés detous le monde, ils partirent mais l'armoire à glace me pris par lamain, me tira et dit:

?-Petit, tu dois me suivreaussi.

Moi-Je ne viendrai point.

Il rit d'un rire gras et puissant,avant de dire:

?-Tu va me suivre fissa petit.

Moi-Je ne crois pas non...

Une flechette dépassait de monestomac, je sourit et sombra dans l'inconscience.

?-Je te l'avais dit, je tel'avais dit. Que tu allais me suivre.

Je me révaillais, une fine et doucemain se posa sur mon front et une voix féminine me sussurra:

?-Ne va pas trop vite. Ne faispas de bruit et suis moi.

J'eus un sursaut et faillis crier maisla main se mis immédiatemment sur ma bouche.

?-Du calme, du calme. Tu risquede réveiller les autres. Me dit-elle. Viens, suis moi.

Elle me faisait signe de la suivre etm'emmena dans la pièce d'à côté où elle s'assit sur un divanavant de commencer:

?-Salut.

Moi-Bonjour?

?-Tu t'appelle comment?

Moi-Onyx et toi?

Rose-Rose. C'est quoi tespouvoirs?

Moi-Je ne sais pas et toi?

Rose-Je suis télékinésiste etpyromancienne.

Moi-Ca peut être puissant commecombinaison, Rose.

Rose-Ah, je ne vois pas trop.Mais tu as quel âge?

Moi-J'ai actuellement dix-neufans et toi?

Rose-J'en ai vingt.

Notre conversation continua ainsi, ettour à tour d'autre nous rejoignis. Dans les trois pièces qui nousétaient accessible, aucune ne possedais de fenêtre ou même deréveil. Il nous était impossible de connaître l'heure ou la date àlaquelle nous étions. Ce qui pourrait être une demi-heure plustard, la derniere se réveilla, se fut une fille du nom de Pensée,elle avait seulement quatre ans. Elle commenca à pleurer et Rose seleva couru vers elle pour la prendre dans ses bras. Nous étions touséparpiller, je continuais de parler avec Rose qui tenait Penséeserrer dans ses bras comme une mère tenant son enfant. Elles étaienttoutes les deux mignonnes comme ça. En y repensant, Rose étaitvraiment magnifique. Elle était plus petite que moi avec unecrinière rousse, tirant vers le rubis. Mais ce qui était le plusfrappant était ses...

Yeux. Des yeux verts profonds etsombre.