Les aventures de Inada déesse de l'amour

Épisode 1

Les aventures de Inada, déesse de l’amour

EPISODE 1

Chevelure lisse et brillante telle une perle noire, des yeux en amande avec un regard malicieux, une bouche gourmande avec des lèvres charnues, Inada, déesse de l’amour, était belle et se savait belle. Son sourire laissait entrevoir des dents d’une blancheur telle qu’on aurait cru qu’elle avait des fragments d’étoiles à la place de ses dents.

Oui Inada était belle et se savait belle.

Lorsqu’elle souriait, de petites fossettes se formaient sur ses joues. Elle avait le visage rieur et l’éclat de son regard hypnotisait la gent masculine

Oui Inada était belle et se savait belle.

Ses cheveux lui descendaient jusqu’aux épaules et ils y émanaient une douce fragrance, une fragrance qui incitait à l’amour et aux plaisirs des sens

Oui inada était belle et se savait belle.

Son cou…

Ah ce cou ! Comment le décrire ? Son cou était longiligne et gracieux comme celui d’une gazelle dans un champ de roses.

Elle avait une poitrine ferme et généreuse, une forme callipyge et elle était de grande taille.

Oui Inada était belle et se savait belle.

Ce soir elle partait à la chasse.

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Sur les rives de l’océan de l’atlantique, une belle et imposante villa trônait fièrement tel un trophée de chasse. A une cinquantaine de mètre de la villa, l’on pouvait apercevoir la mer avec ses vagues déferlantes. Une fraicheur fouettait les résidents de la belle villa.

Assis sur un fauteuil en face de sa piscine privé, Ibrahima Fall, le ventre bedonnant, profitait pleinement des joies que lui offrait la richesse. C’était un homme d’affaires prospère. Il  avait fait fortune dans l’immobilier.

Ibrahima Fall aimait la vie et adorait la compagnie des femmes. Son plaisir était insatiable. Il lui fallait plus de femmes, toujours plus de femmes. Il n’hésitait pas à promettre monts et merveilles à ses victimes. Il n’hésitait surtout pas à offrir beaucoup d’argents à celle avec qui il voulait mettre dans son lit.

Peu de femmes résistaient à l’appel de l’argent. Ne dit-on pas que l’argent était le péché mignon des femmes ?

Ibrahima Fall savait donc utilisait son argent pour arriver à ses fins.

Il observa l’imposante devanture de sa villa et soupira de satisfaction. Ses pensées vagabondèrent un instant et s’arrêtèrent sur Alima.

Ah la belle liane Alima. Une femme avec un joli postérieur qui lui avait causé bien des soucis.

Alima était une femme qui vivait dans une modeste famille éprise de valeurs. Cela fit qu’Alima était très croyante et ne pouvait pas s’offrir à un homme sans être d’abord dans les liens du mariage. Elle était fière, malgré sa pauvreté et avait beaucoup de principes et de valeurs auxquels elle tenait fermement.

La première fois qu’Ibrahima aperçut Alima, il était figé tel un sphinx, incapable de détacher son regard du déhanché lent et langoureux d’Alima. Une jolie bosse se forma sur son pantalon.

Il lui fallait absolument Alima dans son lit.

Ibrahima intima l’ordre à son chauffeur de se diriger vers cette femme au langoureux déhanché. Arrivé à la hauteur de la femme, Ibrahima baissa les vitres de la voiture puis :