Les voilà partis, dans leur jets privés en direction du Japon. Il y a tant de questions qui ce bousculent dans leur tête, comment ont-ils fait pour devenir les idoles et modèles des adolescentes un et des adolescents, jusque où iront t-ils, comment...
Résumer: Alors que Tomaz commençait à se battre avec Tom, les deux garçons furent arrêtaient et séparaient par Georg et Gustav. C'est à se moment là que la jeune Bill se sent de nouveau impuissante face à la réaction de son frère face aux jumeaux Kaulitz. Puis deux personnage entre en action, l'un d'eux essaye de consolait et de protégeait la chanteuse de son ainé, mais peine perdus car quelques minutes plus tard Billy perdit connaissance.
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Partie 4: La vie et les Bijoux
Alors que Tomaz berçait sa soeur encore inconsciente. Ses parents ainsi que ceux des frères Kaulitz arrivèrent en courant. Son beau-père se précipita sur eux et les prit dans ses bras avant de dire à Tomaz:
Beau-père (affolé): Appelle les secours, j'vais essayait de la réchauffé !! Je savait que ce serait une mauvaise idée de lui faire chantée cette foutue chanson.
Tomaz (encore sous le choc): Je...je...je...je...
Alors que son beau-père réchauffa du mieux qu'il put Billy, sa mère arriva et s'agenouilla auprès de lui, le sera contre elle et lui dit:
Mère: Tomaz, tout va bien se passait...
Tomaz (en colère et en pleure): NON, TOUT NE VA PAS BIEN !!!! TOUT EST DE MA FAUTE, MA SŒUR EST SUR LE POINT DE...DE... !!!!!
Mère: Non, ce n'est pas de ta faute. Maintenant calme toi.
Sa mère le prit une dernière fois dans ses bras avant d'appeler les secours. Quelques minutes plus tard, les secours arrivèrent et ils commencèrent à examinaient Bill, puis un médecin commença à discutait avec le beau-père des jumeaux Kaufman. Soudain, Billy commença à cracher du sang et à suffoquée. Le médecin la réexamina et dit:
Médecin 1: Messieurs,je peux vous parlez ?
Beau-père: Oui.
Médecin: Nous devons l'amenée d'urgence à la clinique. Sinon, elle risque de...de...de ne pas passée la nuit.
Beau-père: Que voulez-vous dire par "elle risque de ne pas passée la nuit".
Médecin 1 (gène): Ce que je veux dire, c'est quelle risque de...de...
Beau-père: Que risque t-elle ?!!!
Médecin 2: Il ne lui arrivera rien, sauf si elle n'est amenait d'urgence à la clinique.
Beau-père: D'accord.
Il regarda le médecin qui l'avait rassuré sur la situation, il se retourna et regarda le visage presque pâle de la jeune Bill, il déposa un baiser sur le front et regarda sa femme et son beau-fils et leurs dit:
Beau-père: J'accompagne Billy à la clinique et je vous préviendrez.
Mère: Tu ne veut pas que l'ont accompagne ?
Beau-père: Non. Je veut restait avec elle, mais je vous promets de vous contactez en cas de pépin.
Tomaz (en pleurs): Et si...et si t'appelle pas ?
Beau-père: Si je ne vous prévient pas, c'est que tout va bien.
Il les regarda une dernière fois, leurs adressa un "au revoir" de la main et entra dans l'ambulance avec les médecins. Et une fois les portes fermées, la sirène de l'ambulance résonna de plus belle. Quelques minutes après, toutes les personnes qui étaient présentent apportèrent leurs soutient à Tomaz et à sa mère, puis ils rentrèrent tous chez eux. Il ne restait plus que Tomaz, sa mère, les deux inconnus, les proches des jumeaux Kaulitz, Georg et Gustav. Dans un moment de rage, Tomaz jeta le plus loin possible le médiator que son père (qui est parti, il à 7 ans) lui avait offert, il atterrit aux pieds de l'inconnu qui avait prit dans ses bras la jeune Bill, celui-ci ramassa le médiator et le regarda avec attention. Sur la petite pièce en plastique, une petite phrase en latin y était gravée. Il regarda avec de nouveau Tomaz et se dit qu'il lui rendrait plus tard. Il fourra le médiator dans la poche de sa veste, rejoint son ami et ses proches et disparut. Georg et Gustav firent de même, chacun rejoint ses proches et disparurent dans une voiture différente. Alors que Tom aidait son frère à se relevait, celui-ci vit quelques choses brillaient sur le sol. Il se releva tant bien que mal, toujours soutenu par son frère et se dirigea vers les objets en question. Une fois près des objets, ce qu'ils virent les laissa bouche bée.
