Notre Histoire Tome 2 [1D Fanfiction]

DA CHAPTER (chapitre 18)

Ce que vous attendes depuis un bout se trouve dans ce chapitre... Bonne lecture :)

Élodie :)

Chapitre 18
-point de vue de Élodie-

La journée était grise, pas de pluie, mais il fessait un peut froid. Tout comme mon coeur, et ma tête. J'avais empêcher Laurianne de regarder les commentaires sur internet, parce que je veux la protéger, mais maintenant que nous nous rapprochons de sa maison, plus la tension monte en moi, Laurianne était déjà si triste et la connaissant, elle vas regarder les choses sur internet, et se blâmer. Ce que je ne veut pas. Si il y a quelqu'un à blâmer, ce n'est pas elle. Ryan avait essayer de nous faire manger, mais a part une pomme, nous n'avions rien manger depuis hier après midi, Laurianne semblait triste, blanche et même malade, et ces yeux injecter de sang a cause des long moments a pleurer trahissait les petits sourire qu'elle nous fessait en nous disant que tout était correcte. Je ne me suis pas regarder dans le miroir, mais j'espère au moins que je suis meilleure actrice qu'elle, je ne veut pas que les gens m'aide, je doit arranger mes propres problème seule. Mon telephone sur la table de la mini cuisine s'ouvrit, m'avertissant que j'avais un message, s'en était un de Logan.

"On annule le truc de cet apres-midi."

J'ai répondu: pourquoi?

"Tu as besoin de ta mère."

Je savais qu'il avait raison. J'ai ranger mon téléphone? Et j'ai été prendre toutes mes choses et je les ai mis dans mon sac a dos et dans ma valise, quand j'ai terminer, j'ai été s'assoir dans la partie salon et j'ai regarder à travers la vitre, jusqu'à temps de reconnaitre mon ancien cartier, je me suis lever, et je suis aller voir Laurianne, elle dormait dans sa couchette et je me sentais mal de la réveiller, parce que qu'aucune de nous deux n'avait beaucoup et bien dormis cette nuit. Elle me regarda un moment perdu et elle fini par comprendre ce que je lui disait et hocha la tête. Maika avait été débarquer environ 25 minutes plus tôt. Quand nous sommes descendues de l'autobus, Laurianne me regarda avec mea bagages intrigué.

Lau: tu fais quoi?

Moi: je vais parler à ma mère.

Lau: bonne chance...

Elle me fit un petit sourire, et elle commença a marcher vers chez elle, je l'ai regarder rentrer chez elle, j'ai tourner ma tête et j'ai regarder attentivement la maison dans la quel avant je vivais. Je sentis quelque chose vibrer dans ma poche, mais ce n'était pas mon téléphone parce que sinon, il aurait fais un bruit. Je me suis souvenue que j'avais le téléphone de Laurianne, je me suis rendu a sa porte et j'i cogner. Marie-pier la soeur de Laurianne m'ouvrit.

Elle: salut!

Moi: j'ai le téléphone de Lau. Tien (je lui au donner) peut tu... La surveiller? Je ne veut pas qu'elle voit les choses....

Elle: ça vas, je m'en occupe, je vais supprimer les applications, elle sera trop lazy pour les réinstaller.

Moi: merci. Elle a de la chance de t'avoir.

Elle: merci à toi aussi.

Et je suis partit, j'ai pris ma valise et mon sac et je me suis essayer à la porte d'entré, par chance elle fut débaré.

??: Richard, déjà?

C'était ma mère, elle devait être dans sa chambre.Je n'ai pas répondu, j'ai laisser mes souliers dans l'entrée avec mes bagages. Et je suis monter en haut, je me suis arrêter devant la porte de la chambre de mes parents, mais j'ai pris mon courage à deux main. Celui-ci sembla se liquéfier et devenir des larmes quand j'ai vu ma mère.

Moi: non... C'est moi.

Elle: Élodie?

Moi: I need my mommy.
(J'ai besoin de ma mère)

Elle mit son livre de coté et ouvrit ces bras grand, et je me suis presque lancer dans ces bras, m'effondrant en larmes dix fois plus que je n'avais jamais pleurer devant des personnes.

(*ok, je sais que c'est moi qui écris, mais je pleure. Dites moi que je ne suis pas la seule qui pleure en lisant ça.*)

Nous sommes rester longtemps, moi dans ces bras, elle me demandait de m'expliquer, mais j'avais tant de misères à respirer que parler serait comme rester vivant sur mars. Au bout d'un moment -long moment- j'ai réussie a lui expliquer. Elle n'a pas rien dis comme: n'écoute pas ce qu'ils disent. Elle m'a seulement dit: tu m'as manquer Élodie, tu m'as manquer.
Ma mère: je t'aime.
Moi: je t'aime aussi maman.

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Plus tard, j'étais assise a la table de la cuisine pendant que ma mère préparait le souper.

Elle: tu reste avec nous pour le souper?

Moi: non désolé, j'ai quelque chose à régler, mais je vais revenir avant de repartir en tourné.

Ma mère: est-ce que ce quelque chose aurait rapport avec un garçon?

Moi: quoi...?

Ma mère: j'ai des sources.

Moi: qui?!

Ma mère: hum!

Moi: bon, pour être honnête avec toi, oui.

Ma mère: alors, vas t'en!
Moi: quoi?

Ma mère: vas y, sauve toi!

Je me suis lever et je l'ai pris dans mes bras. Et je suis aller récupérer mes choses. 25 minutes plus tard, j'étais devant la porte de la maison de la mère de Logan. J'étais aller porter mes choses en vitesse chez moi. J'ai cogner et quelques secondes plus tard, la petite soeur de Logan ouvrit la porte.

Chloé: ÉLODIIIIIIEEE!

Elle me sauta dessus et je l'ai rattraper et garder dans mes bras un moment. Chloé avait 9 ans, mais pesait une plume et j'avais passer beaucoup de temps avec elle a me baigné et a jouer avec elle, et il semblerais qu'elle m'aimait bien et que je l'aimais bien. En levant un peut les yeux, j'ai vu Logan qui descendait les escaliers mais qui c'était arrêter au milieu. Les mains dans ces poches, et son sourire qui fessait que ces yeux étaient plus petits lui donnait des airs angéliques. J'ai déposer Chloé quand sa mère arrivait dans la pièce, elle me salua, et ensuite demanda a sa fille se la suivre pour aller ranger le bordel qu'elle avait fais. Logan c'est mis a rire et il a pris son coton ouater, et comme si nos cerveaux étaient connecté, nous sommes sortit marcher dehors sans rien dire. Au bout d'un silence inconfortable, Logan a finit par parler.

Lui; pour te dire ta vérité, on dirais qu'un camion t'as rouler dessus.

Moi: haha, merci du compliment.

Et nous nous sommes tus, seulement le bruits de nos chaussures qui crissent sur le sol. Puis, il c'est arrêter de marcher.

Moi: quoi?

Lui: j'aime ça.

Moi: quoi?

Lui: que même en t'insultant tu ne réagis pas mal, que ce soit si simple entre nous. Ça fais vraiment différent. Et j'aime le différent.

Moi: j'ai.. J'ai adorer ton cd. Attends. (J'ai chercher dans mon sac pour le trouver, et je lui ai tendus) c'est ma réponse.

Il a pris le CD, et le retourna, parce que j'avais fais exprès de lui donner a l'envers pour qu'il ne vois pas ce que j'avais écris. "I just fucking love you"

Il c'est mis a rire.
Il a lever les yeux vers moi.
Je lui ai sourie naïvement.
Il a fais un pas vers moi.
Je me suis mise a sourire plus.
Il se pencha un peut vers moi.
Mon coeur dansait à une allure folle dans ma cage thoracique .
Il a rit un peut.
Et il m'as embrassé.
Je l'ai embrassé.
Nous nous sommes embrassé.
Ai-je besoin de conjuguer le verbe au complet à tout les temps? Ou de faire un dessin? Non, je ne penses pas, parce que rien n'égalera le moment parfait que nous avons eu.

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OMG
JE SAIS, JE PENSE LA MEME CHOSE QUE VOUS!
Haha :') je n'ai aucune idée si ce chapitre est long ou court car j'écris sur mon ipod...

En tout cas, vous aimez? :)

Élodie :)