Précédemment :
Bon vous allez me dire qui est là à la fin ?! Je commence à m'impatienter !
- Regarde. Je ne me cache pas. Tu n'a qu'a lever les yeux pour me voir.
La rose leva alors ses yeux vers ceux de son kidnappeur.
Non... Cette voix... Ce visage... Pourquoi lui..? Je dois rêver ?! Non..?
- PAPA ?!
- Exactement.
- Mais... J-je ne comprend pas !
- Alors laisse-moi bien tout t'expliquer :
<FLASHBACK>
Une nuit d'été, deux personnes, une femme et un homme, mariés, ayant deux enfants majeur, se retrouvèrent en face d'un mur blanc contenant une simple porte entrouverte qu'il n'osait franchir.
- Chérie ! Nous ne pouvons pas y aller ! Et si tu mourrais ? Que vais-je dire à Sakura ?! Et Sasori alors ?! Je devrais leurs dire la vérité ?! Non mais tu vois une femme dire à ses enfants qu'elle et son mari leurs avaient menti pendant des années ?!
- Calme-toi. Personne ne va mourir. Nous sommes que deux car les autres membres ont encore des petits à protéger ! Et encore, eux, ils ont des chances de mourir, mais pas nous ! Les Uchiha nous connaissent bien. Ils veulent juste sûrement régler l'argent qu'ils nous doivent !
- Tu as déjà vu les Uchiha rendre l'argent à qui que ce soit toi ?!Laisse tomber... S'il te plait, je ne le sens vraiment pas et tu sais bien que les femmes ont un sixième sens hors pair !
Ils rirent puis enfin décidèrent d'entrer.
Les deux montèrent plusieurs escaliers avant d'enfin arriver à une pièce totalement en bois avec une seule chaise de la même matière que le plancher.
Il n'y avait pas de lumière, mais on pouvait facilement distinguer deux silhouettes. Une assise sur la chaise en question, et l'autre adossé au mur.
La femme, remarqua alors l'interrupteur positionner dans un coin de la pièce, à 155 cm de la chaise.
Elle l'alluma et une lumière aveuglante presque, illuminait la grande pièce.
- Tien.... Les Haruno...
- Itachi.
S'exclama le père,
- Bien le bonsoir ! Répondit-il en faisant montrer ses beaux yeux ainsi qu'un large sourire. Je présume que vous ne connaissait pas mon frère, Sasuke ? Bien. Présentations sont faîtes alors.
- Va z'y droit au but Itachi.
S'impatienta l'homme.
- Bien, bien, bien...
Le grand Itachi se leva de sa chaise, oubliant son beau sourire ravageur et prit l'arme qu'il avait mit sur une poche de son jean et le mit devant le couple.
- Vous. Vous avez donnés une clé USB à un agent fédéral contenant une enquête sur moi qui pourrait me nuire.
- C'était il y'a dix ans ! Cria la femme.
- Peut-être ! Ou peut-être même plus ! Mais grâce à mes contacts, j'ai pu facilement faire "oublier" cette clé qui était garder en haute sécurité. Le seul problème, c'est que je ne pouvais la prendre ! Elle était surveillée nuit et jours et je ne pouvait m'y approcher de plus de 60 mètres ! Et cette année, une agent la repris disant qu'elle pourrait la déchiffrer ! Ce que cette conne avait réussi !! Et maintenant je dois faire des pieds et des mains pour la récupérer !
- Et qu'attends-tu de nous au juste ?
S'exclama une fois de plus la mère.
- Ce que j'attends de vous ? HA ! Vous me faîtes rire ! Mais rien voyant ! Je ne vous ai fait venir que pour regarder les Télétobies avec vous ! Bien sûr que je vous ai fait venir pour vous tuer !!!
- Et qu'est-ce que cela te rapportera ?! Hein ?! Temps que tu n'a pas la clé USB, tu ne seras pas libre ! Alors nous tuer changera quoi ?! Tu crois vraiment qu--
La femme ne pu continuer son beau discours, qu'elle s'arrêta.
Son mari ne comprenant pas la réaction de sa femme, se tourna vers elle. Il la retrouve dans une marre de sang, entrain de mourir au sol.
Il s'agenouilla en pleurant et sanglotant.
- Je t'avais bien dit que les femmes avaient un sixième sens.
La femme ferma les yeux après avoir adressée un beau sourire à son mari et pencha la tête du côté opposé de lui.
Elle ne respirai plus.
Elle était morte.
- À quoi bon te tuer. Tu ne souffrirais pas. Là au moins tu seras ronger par le doute, la souffrance, le regret et la rancoeur.
Maintenant va. Tu n'a plus rien à faire ici. Et si tu dit un seul petit mot à la police où à qui que se soit, je tuerai tes enfants aussi.
Le père prit sa femme morte dans ses bras et s'en alla.
- Bien jouer Sasuke. Tu as bien visé.
Félicita Itachi.
<FIN FLASHBACK>
À suivre...
