Il est venu sur sa moto.
Hier, je n'avais pas vu qu'il était si beau.
Pas physiquement mais à l'intérieur de lui-même.
Si attentionné, si patient, si gentil, si lui-même.Moi quand je suis moi, c'est ridicule.
La preuve, il n'arrête pas de sourire avec sur ses pommettes, ses minuscules ridules.
Il est bien dans son corps, ça se voit.
J'aurais donné n'importe quoi pour être si bien, parfois.Mais à ce moment-là, avec lui, j'ai arrêté de jouer mon personnage et j'ai joué Lina.
Celle que je suis au plus profond de moi.
VOUS LISEZ
Lâcher prise #wattys2018
Short StoryLe vent effleure ma peau. Je suis en haut. Le vent effleure ma peau. De ce pont si haut Le vent effleure ma peau. Je fais le grand saut. L'eau effleure ma peau. Maintenant, ma respiration N'émet plus aucune action. ... Pour moi, pour lui, j'ai lâch...