" l'homme parfait monte sur le ventetles nuées, il chevauche le soleil et la lune, il se promène de l'Univers. "
De retour une chasse au faucon, le Shôgun sur la route prit plaisir un jour avoir dessiné deux grands artistes du temps, Tani Bunchô et Hokusaï. Bunchô comment ça et Hokusaï lui succéda. Tout d'abord et dessina des fleurs, les oiseaux, des paysages, puis, désireux d'amuser le Shôgun, il couvrir le bas d'une immense bande de papier d'une teinte d'indigo, et par ses élèves se fit apporter des coqs. Il plongea alors les pâttes dans la couleur pourpre, les fit courir sur la teinte bleu, et le Prince étonné eut l'illusion de voir la rivière Tatusta, avec ses rapides, charriant des feuilles d'érable. "
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Ainsi campé dansce jeu d'extravagance et d'illusion, Quel était donc cet artiste sans rival,capable des plus folles improvisations, pour qui tu pouvais être pinceaux, et qui osa dire de lui-même " Après avoir étudié pendant de longues années la peinture des diverses écoles, j'ai pénétré leur secret et j'en ai recueilli tout ce qu'il y a de meilleur. Rien ne m'est inconnu en peinture. J'ai essayé mon pinceau sur tout et je suis parvenu à réussir. " À 75 ans, préférence l'une de ses séries les plus délicates et les plus réussises, lescentsvues du montFuji, Hokusaï nuançait cette appréciation, selon ça complexe nature, avec superbe humilité, sarcasme: " depuis l'âge de 6 ans j'avais la mairie de dessin la forme les objets. Vers l'âge de 50 ans, j'avais publié une infinité de dessin mais tout ce que j'ai produit avant l'âge de 70 ans ne vaut pas la peine d'être compté.
