Le liquide se déverse, se mélangeant à cette spirale scintillante. Il mousse par-dessus, grandit.
Sa main si délicate, si douce, attrapa mon sein d'une telle force d'amour que je laissais échapper un gémissement.
Insoutenable. Douloureuse. Cette souffrance m'a tiré en pleine tête. Elle m'a aussi forcé à en créer une autre, celle qui te laisse des traits blancs sur ton pauvre petit corps.
Il salit le noir opaque par des éclaboussures de couleurs. Des petits points de peinture fraîche surplombent cette étendue opaque.
Un nombre de quatre chiffres. Une infinité de chiffre, un nombre si banal, attribué à chaque être humain.
Elles s'entremêlent. Dans leurs cages en verre, elles nous offrent la lumière, au-dessus de nos têtes.
Il se place délicatement sur cette peau fragile, laisse des traces en suivant ses courbes, pose sa signature couleur rouge.
Bain moussant. Amour. Déchirure. Art. Année. Ampoules. Rouge à lèvres.
YOU ARE READING
Aneka
PoetryLe ciel est bleu. L'amour existe. Le rouge s'appelle rouge. Je suis un être humain. Cette histoire doit-elle avoir du sens? Non. En a t-elle? A vous d'en juger. Appelons ça une histoire? Que dire... Je n'en sais rien. J'aime la moutarde, les coqueli...