17.

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Le désespoir et la dépendance le consumé de tout son être et à travers ses yeux j'y voyais un mal être imposant.

On se fixa encore un peu, comme si ce jeu enfantin provoqué en nous le désir de connaître les secrets les plus intimes de l'autre.

Mec :" Je m'appelle Riadh."

Moi :" Nassira."

On commençais une discussion par la fin.. ça ne nous choqué absolument pas.

Riadh :" Tu sais, si tu veux hein, mes potes et moi organisons une soirée chez un pote, y'aura pleins de monde, et surtout de quoi oublier tes soucis, si tu vois ce que je veux dire. Alors, hum tu n'as qu'à venir avec moi ?"

Moi :" Avec plaisir."

Bizarrement aucunes décharges, cela semble être un feu vert.

Nous terminons notre clope puis la sonnerie retentit nous obligeant à retourner en cours.

Je l'avoue : Physiquement ce mec était une bombe atomique.

Grand, blond foncé, yeux verts, carrure de rugbyman.

Grand, blond foncé, yeux verts, carrure de rugbyman

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Je retournes ne cours, je dois puer la clope mdr.

J'ai français, je vais pouvoir, si le cours me le permet me défouler sur une feuille.


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