Seul, je m'édite sur ces longes prairies
qui fus jadis mon plus belle abris.
Je me rappelle de tous mes bons souvenirs que j'ai passer
mais malheureusement le feu à tous emporter.
Seul, je regarde le monde ne portant maintenant qu'une demie vie
je regarde ces enfants à la peau plisser et au rides définies.
Je suis la biche broutant dans les prés,
je suis destiner à me briser,
je suis le serpent,
je suis détester et chasser par les hommes, les femmes et les enfants.
Seul, je me dit que ce monde fait de feu
n'est pas un monde ou je serait heureux.
Moi l'enfant sauvage,
je reste froid devant ce carnage.
Seul, je peux voir le malheurs des gens autour de moi,
seul, je les vois mourir de faim, de soif et de froid.
Seul, ce soir je mourait,
et avec moi toute mon histoire, ma vie et mes regrets,
d'une vie inachevée,
dans ce monde bafouer.