Ses mains posaient sur mes hanches,
ses lèvres laissant des marques dans mon cou,
c'était un dimanche,
sur des draps acajou,Et son odeur est toujours là,
cette odeur mentholée,
son odeur que je n'oublierai pas,
comme si il ne m'avait jamais abandonné,Son souffle se baladant sur ma peau,
ses doux cheveux que je caressais d'une main ,
il m'avait promis de me sortir de ce chaos,
et pourtant il en était certain,Il s'en est allé,
son odeur fera toujours parti de mes draps,
mon corps se souviendra toujours où il l'a caressé,
mais il n'est bel et bien plus là.