sanguinaire

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Je trancha la tête d'un homme qui s'écroula sur la place de la ville devant une foule énorme de gens qui était terrifié et commencèrent à crié.
Je reste de marbre sous la capuche de ma cape tandis que tous les hommes armés se mette face à moi et pointe leurs canon sur moi.

-Que se passe t'il ici ?!! On nous a prévenu !! crit de marines arrivant derrière moi.

Je me retourne légèrement et voit deux marines.

Je sors un carte de sous ma cape et des qu'il la voit l'un d'eux s'ecrit:

-Retire immédiatement ta cape !!!

Je souris légèrement sous ma capuche.Je vais pouvoir joué.

-Continué à me chercher et vous trouverez peut-être ...
-T'a pas le droit de partir après que se que tu viens de faire à mon frère !!

Je lui lança ma carte qui vint se planter entre ses deux yeux.

-Ne me dit pas se que j'ai le droit de faire et se que je n'ai pas le droit.

Je reste durs en voyant son sang s'étalés partout autour de son corps inerte.

-Ne me provoquer pas. Je ne fais que mon travail.

Une vent violent se lève et des grosse rafale empêche les soldat et les civile de me voir.

Pdv omniscient :
Le vent cesse et là où se trouvé la jeune femme il ne reste plus qu'une carte.

L'un des marines s'approche et ramasse la carte. Sur celle si on peut voir un Joker avec un sourire vicieux.

-Que fait on ?
-Rentrons.

Sur ce les marines laisse la foule et repartent laissant les corps des deux hommes comme si c'était naturel.

Pdv de la jeune fille:

-Tu en a mis du temps Ber. dit elle au jeune homme qui venait de la téléporté dans un bar lugubre.

-J'ai eu un imprévu...
-En fait je m'en fous.

Elle partis à une banquette tous au fond de la pièce envahit de fumé rendant l'endroit encore plus sombre.

Arrivé je m'assis face à l'homme étant mon patron.
Je lui tendis la photo de l'homme que j'avais tué à peine deux minute auparavent.

-J'ai éliminé la cible.
-Je suis content de ton travaille très efficace et rapide ma chère. Eh pour te remercie je te donne un petit cadeau.

Il jeta une bourse plus maigre qu'à l'habitude et me tendis un papier.

-J'ai moins que d'habitude...
-Oui mais tu n'aura plus besoin d'autant d'argent regarde le papier.

Je lis les premières ligne et mon visage devint aussitôt dur et froid.

-C'est une blague !? C'est impossible elle a pourtant suivi le traitement à la lettre !
-Ce sont pourtant les rapports des médecins.Fais lui t'es adieux et revient...

Il n'eut pas le temps de finir sa phrase qu'il reçu son verre en plein visage.
Cet homme gras et répugnant n'avais donc aucun sentiment.

Son expression changea et il attrapa le col de ma cape pour me soulever.

-Ecoute merdeuse ! J'en ai rien à faire de tes problème mais je sais que tu as des dettes envers moi alors ferme la est bosse.

Je lui donna un coup dans l'estomac qui le fit lâché et en même temps se plier de douleurs.

-J'ai emplement remplis ma dette en tâchant mes mains de sang d'innocents alors tu peux les ravalée t'es parole j'en ai rien à foutre de ton argents.

Je tourna les talons et partis directement à l'hôpital.
Je viens de me mettre à dos un pirate et qui plus est qui à une prime.
J'ai gâché toute mes chance de la sauvé.

Je monta directement dans la chambre et résidé ma mère.
Elle me fit un grand sourire chaleureux et j'enleva ma cape. Je tira une chaise et m'assis à côté d'elle croisant les bras et posant la tête sur le lit.
Elle me caressa les cheveux.

-Tu est au courant n'est ce pas ?

Les larmes coulèrent alors par torrent.

-Je ne veux pas te perdre !
-Je suis fier de toi ma fille tu as salit tes mains si blanche pour moi. Je ne t'en remercirait jamais assez.

Je sentis une de ses larmes s'écraser sur les draps et sur l'une de mes mains.

-Je ne veux pas te quitté non plus...Je n'en ai plus que pour quelque jours...

Je sers les draps et tire dessus alors qu'elle me serre plus fort.

-Je sais...ne t'inquiète pas tu t'en sortiras...tu sera te relevé...
-Je ne veux pas...Je ne veux plus lutter.
-Ne dis pas sa...On a traversé beaucoup trop de chose pour tout lâché au bout de tant de combat.

Elle déposa un baiser tendre sur mon front et je releva la tête et essuya du revers de la main mes larmes.

-Il ne vont pas tarder à te retrouvé...il faut que tu parte.
-Tant que tu sera encore de se monde je ne pourrai pas quitté cette île.
-Mais....tu es en danger...Des qu'ils sauront qui tu es des avis de recherche seront placardé partout sur les murs. Tu sera en danger.
-Je le suis déjà.

Je me releva et remis la chaise à sa place et lui dépose un baiser.
Je sortis une carte de nul part et lui lança juste entre les deux yeux.

La machine à côté d'elle se mit à bipé.

-Adieux....

Je sort de l'hôpital en remet ma cape.
Maintenant je peux partir.
Je part chez moi et prend un sac avec seulement des vêtements et mes dernières et maigre économie.
Puis je sors avant de craquer une allumette et de la Jetté dans la bâtisse entièrement faite de bois.

Je reste quelque minute et part en entendant des gens hurler.

Pdv Smoker:

Nous nous tenons au quartier général de l'île d'Iguoïk (inventé(l'île où se trouve notre héroïne)).
Nous avons était demandé en urgence ici pour je ne sais qu'elle raison.

Nous arrivons dans la cour du grand bâtiment de la marine et je vois cinq ligne de marine.

Se n'est qu'une petite île donc sa paraît normal qu'il n'y est pas beaucoup d'homme mais je pensais qu'il y en aurait plus quand même.
Se qui m'intrigue c'est le fait qu'on ai eu beaucoup de demande d'asile et la majorité venais d'ici.

Le chef de cette bâtisse arrive vers nous.

-Bonjour vice amiral Smoker
-Bonjour.Je vais être direct.Pourquoi avoir réclamé la présence de plus d'hommes ?
-He bien ici nous avons beaucoup de problème.Le taux de mort a beaucoup trop augmenter depuis 7 mois.
-Eh ?
-Aucune de ses mort n'est naturelle.Nous avons affaire à des tueur professionnel.C'est une grande menace pour nous.
-Vous aimeriez que l'on extermine c'est personne ?
-En fait il n'y en a qu'une.
-Alors sa devrait être rapide.
-Detrompé vous.Cela fait 7 mois qu'elle agit et à chaque fois que nous essayons de l'arrêté nous n'arrivons même pas à voir son visage.

Soudain une voix féminine s'éleva.

-Je peux résoudre se problème.Mais attention se sera mon unique faveur envers vous.

Sa voix était rieuse.Je leva alors les yeux et la vit sur le toit du grand bâtiment blanc.
Elle était recouverte de sa cape volant au vents un sac dans les mains.

Elle détacha sa cape et la jeta.
De long cheveux châtain j'aillirent hors de sa capuche et son visage aussi blanc que de la porcelaine ainsi que ses trait fin envouterent la plupart des hommes présents.Mais se qui me piege moi se sont ses yeux ...
Un noisette et l'autre casiment noir....
Ils étaient ... Envoutant...

-Maintenant que vous savez qui je suis venez m'attrapé.
-Qu'elle est ton nom.

Elle nous lança une carte et je l'attrapa.
Sur celle-ci un joker au air moqueur.

-Joker ? Dit elle avec un air rieur.

Peur de rien...meme de la mortOù les histoires vivent. Découvrez maintenant