Peur de rien...meme de la mort

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Pdv Faustine :

Deux heure après:

Actuellement je suis dans un bateau que j'ai bien sur volé.
Le vice amiral de tout à l'heure n'a pas arrêté de me fixer.C'etait un peu perturbant je l'avoue...
Dans quelque minutes j'entrerai dans le port de l'île voisine à la mienne.

Me voilà rentrée dans le port.
J'attache bien mon bateau avant d'attraper mon sac et de sauté hors du bateau.
Je alors face à la ville de nuit.
Je ne frissona pas même lorsque le vent froid vient mordre ma peau nu.
Je gardas mon air dur et froid.
Je commençais à peine à avancé dans la ville silencieuse qu'un crit de petite fille retentit.
Cette ville n'ai pas réputé pour être sûr voir même pas du tout.
Alors si un crit de petite fille retentit la nuit c'est mauvais.

Je ne réfléchis pas et me précipite dans la ruelle sombre d'où provient le crit et vois trois hommes face à une enfant d'environ dix ans.
Deux tienne ses mains et le troisième la caresse.

-Eh lâché la tout de suite !

Il se retourne alors sur moi pour voir qui vient les interrompres.

-Tiens on a une bien meilleure prise on dirait...C'est pas pour sa qu'on va te lâcher beauté.

Il ne la lâche pas et elle commence à se débattre en criant.
Elle se prend alors une gifle et il commence a enlevé la fermeture de sa robe.

Il a dépassé les bornes.
Sans qu'il ne me voit venir je lui assène un grand coup qui l'envoie au sol.
Je rattrape la petite qui se sert à moi en pleurant.

-Sale traîné ! Comment as tu oses me touché.

Il sort alors une arme à feu de sa poche.
Il tire alors sur la petite.Mais je me retourne alors vivement et me prend deux balles à sa place.

-Eh vous comment avez vous osez touché à cette enfant !!criais je en leurs faisant face.

Il s'apprêta à tiré mes cette fois je fus plus rapide.
Je sortis mes cartes et les j'étais sur eux.

Elles virent se planté dans leurs trois crâne simultanément.
Ils tombèrent lourdement au sol alors que la petite se serra plus fort à moi.

Je fus alors prise de douleur au niveau du dos.
Mais je fis comme si de rien n'était et ramasse mon sac avant de me lever et de me pressé de sortir de cette Ruel.

-Je sais que tu ne veux sûrement pas parler mais...ou sont t'es parents.

Je continuer à avancer la tête haute et allé vers la fontaine.
Une fois arrivé je remarque que la petite dormais.
Je trompé mes doigts dans l'eau avant de nettoyer sans visage puis ses petits bras et ses jambes.

Puis je restais assise sur le rebord de la fontaine tout en la laissant dormir.
C'est éprouvant pour une enfant aussi jeune.
Peux de tant après je vis beaucoup d'homme avec deux filles arrivé vers nous en criant ou riant.
Je serra légèrement plus le fille près de moi...et elle ouvrit les yeux.

Elle se frotta les yeux et me regarda en se mettant assise sur mes genoux.

-Merci jolie madame.
-Appelle moi Joker.
-Joker ? C'est ton vrai nom ?
-Non.riais-je.
-Moi je veux le vrai ! Silteplait...
-D'accord mais c'est un Secret promet moi de ne rien dire !
-Promis.

Je lui tendis mon petit doigt.
Elle enroula le sien autour et me souris.

-Je suis Faustine Nightmare.
-Enchanté Joker ! Moi c'est...

Une voix nous interrompie alors.

-Emy !!

Un garçon au chapeau de paille se précipita vers nous et alors comme un réflexe je sortis un carte de nul part et je me releva.

-Non non ! C'est un ami !
-Tu sais t'es parents te cherche partout !!
-Bon Joker je vais devoir y allé.

Je la posa au sol et lui tendis ma carte.

-Un souvenir.dis-je avant qu'elle ne demande quoi que se soit.Surtout t'eloigne plus de tes parents ici.C'est pas sur.
-Je te reverrais ?
-Sa m'étonnerai.

Soudain un crit retenti et je souris aussitôt.

-Elle est la !!! Dépêchez vous !!
-Bye Bye !

Je sauta sur la fontaine et arriva sur le toit.

-Chapeau de paille et Joker son ici !!!
-Ouvré le feu !

Ils tirerent alors.
Je fis un geste face à moi et des carte formèrent un mur.
Toute les balles retombèrent et quand ils arrêtent je fis juste un geste vers eux et les cartes se planter entre leurs yeux tous en tombant simultanément.
Seule Smoker qui lui avait rattraper ses cartes tenais encore debout.

-Ne fuis pas.

Je sortis un éventail de carte et le tenu face à moi.

-Je fais se que je veux.

Je jeta mes cartes au sol et ses dernière une fois au sol projeterent un brouillard.

Mon escale sur cette île à était très brève je l'avoue mais j'ai quand même aimé.Mais un problème se dressé face à moi.
Je n'avais aucun vivre et aucun moyen de m'en procurer et j'en ai pour deux jours avant ma prochaine escale.
Mon ventre se mit à crier famine alors que l'aube se levait.

-Je suis pas sorti !