Une nouvelle famille ?

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Il entra et entendit des petits bruits de pleurs. Il se dirigea vers c'est bruits et trouva l'adolescent en pleur cacher sous le bureau accroupis.

M.Shinohara: Bah Juzo, qu'est ce qu'il y a ? Tu ne te sens pas bien ?

Juzo: Je... Je vous est entendu tout à l'heure.

Monsieur Shinohara surpris demanda:

M.Shinohara: Vraiment ?

Juzo hocha la tête tristement.

Juzo: Dite moi monsieur Shinohara, c'est vrai que je suis bizarre ?

M.Shinohara: Qui a dit sa ?

Juzo: Oh vous savez monsieur je comprend juste aux regards. Je reconnait le regard de la joie, de la colère, du mécontentement...

Monsieur Shinohara lui coupa la parole en lui demandent:

M.Shinohara: Mais toi, là maintenant, comment tu te sens ?

Juzo: Là maintenant. Je ne sais pas, je ne connaît pas ce sentiment, je le l'ai ressenti que une ou deux fois je crois. Vous vous savez ce que sa peut être ?

Dit il en tournent la tête vers lui.

Dit il en tournent la tête vers lui

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M.Shinohara: Bien sûr. Ce que tu ressent en ce moment c'est de la tristesse.

Juzo: De la tristesse.

Dit il avec les yeux grand ouvert. Puis il baissa la tête en disant tristement:

Juzo: Ah bon.

M.Shinohara: Tu veux peut être en parlé ?

Juzo lui répondit gaiement:

Juzo: Oh non monsieur Shinohara ! C'est vraiment pas la peine. Vous savez, j'ai l'habitude d'être seul alors ça va aller. En plus sa vous fera du travail supplémentaire de vous occupé de moi et sa servirait à rien non vraiment.

M.Shinohara: Bon très bien mais, rappel toi d'une chose, que tous gardé pour soi ne ramène pas toujours de la liberté. Sache le.

Il lui réponda en rient:

Juzo: De la liberté ? J'ai toujours vécus emprisonner.

M.Shinohara: Raison de plus pour en parlé.

Juzo tourna son regard vers le sol en disent:

Juzo: Si vous le dite.

En le regardent ainsi, accroupis sous le bureau et déprimé, monsieur Shinohara eu une idée.

M.Shinohara: J'ai une idée. Et si ont te trouvais une nouvelle famille !!

Dit il en sourient. Juzo le regarda surpris.

Juzo: Une famille ?

M.Shinohara: Bien sûr.

Juzo: Mais j'ai déjà une maman et elle risquerait de me punir si elle savait que je serait parti dans une autre famille.

M.Shinohara: Oublie cette maman là, je ne te parle pas de se genre de maman.

Juzo: Peut être mais...

M.Shinohara: Juzo. Tu n'as jamais rêve d'avoir une famille gentille à t'es côté ?

Juzo: J'en ai déjà une.

Monsieur Shinohara le regarda un instant d'un aire à ne pas le croire.

Juzo: C'est vrai, c'est elle qui m'a appris à parlé, c'est elle qui me donné à manger...

M.Shinohara: Oui oui, c'est aussi elle qui te punissait de façon horrible quand tu ne lui obéissait pas.

Juzo baissa la tête en disent:

Juzo: Vous savez, à force j'y est pris l'habitude.

M.Shinohara: C'est que se n'était pas une bonne maman. Tu ne voudrait pas avoir une maman gentille, qui est toujours à t'es côté quand ça va pas et quand ça va bien ? Tu ne veux pas une maman qui te protège quand tu as peur ? Une maman qui te donne du vrai amour et qui ne te punie pas sans arrêt ? Ou alors quelque fois quand tu fais des petite bêtises mais sans violence ?

Juzo: Bin...

Dit il en hésitent. En sourient, monsieur Shinohara lui tenda la main en lui disent:

M.Shinohara: Vient, on va te trouver une nouvelle famille.

Juzo lui prit la main tout en sortent de sa petite cachette en disent un "Oui" de bonheur. Pendant ce temps, bien caché dans un bâtiment abandonné au fin font de Tokyo. Deux hommes discutèrent.

 Deux hommes discutèrent

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M. Amon: Tu as bien grandit depuis la dernière fois que je t'es vue, et tu as bien changé aussi. Dit moi, tu as quelle âge aujourd'hui ?

Kaneki: C'est un interrogatoire ?

M. Amon: Je veux seulement faire un peu plus connaissance avec mon fils.

Kaneki: Avec votre fils ou avec votre prisonnier ?

M. Amon: Pourquoi me parle tu comme ça ? J'ai dit que je voulait juste faire connaissance avec toi.

Kaneki: Non sans blague. Si vous êtes réellement mon père comme vous le dite, pourquoi n'étiez vous pas là quand j'avait besoin de vous ? Hein ! Pourquoi ?! Dite le moi !

M. Amon: Malheureusement j'était trop occupé par le travail. Je n'est pas pu être là. Je suis vraiment désolé.

Tous en lancent un petit rire, Kaneki dit:

Kaneki: Mais oui, bien sûr. La prochaine fois trouvez vous une réponse qui à plus de sens. En même temps, je vous comprend, qui voudrait s'occupé d'un monstre qu'il à pour fils ?

M. Amon: Ne pense et ne redit jamais ça. Tu n'est pas un monstre.

Kaneki: Vraiment. Pourtant c'est bien vous qui ma nommé comme ça.

Monsieur Amon baissa la tête en regardent le sol sans rien dire.

Kaneki: Pour moi, le nom "Cache œil" est égale à "Monstre".

M. Amon: Je suis vraiment désolé Kaneki. Je suis tellement désolé de t'avoir pour chassé comme je l'ai fait. Je suis désolé de t'avoir blessé tant de fois à cause de c'est stupide missions. Je te promet que s'il devait t'arrivé quelque chose à cause de moi, je ne me le pardonnerait pas. Je te cacherait contre le CCG, même si j'en fait parti, je te protégerait.

Dit il en versant une larme.

Kaneki: C'est gentil mais non merci.

Monsieur Amon leva la tête rapidement lancent un "Hein ?!" de surprise.

Kaneki: Me cachait, contredirait tous mes projets que j'ai créée jusqu'à maintenant.

Marili: Merci d'avoir lu ce deuxième chapitre en espèrent que vous l'avez aimé. Si tel est le cas, n'oublier pas de voter et de me donner votre avis :-)

Amour interditOù les histoires vivent. Découvrez maintenant