- Maman?
- Oui?
-Est-ce que tu te souviens des tes années de lycée?
-Oui vaguement, pourquoi?
-Tu était dans quel classe ?
-Hummm, je ne sais plus te dire, pourquoi?
-Est-ce que le nom de la classe Terminal E te dit quelque chose?
Le regard de ma mère se fixe en un coup, regardant le sol.
-Heuh Non je ne pense pas pourquoi ?
-Juste pour savoir tu sais... maman tu as l'air bizarre que ce passe t'il ?
-Je t'expliquerais plus tard, dépêche toi de te préparé, tu va être en retard à l'école!
-oui.
Je me dépêche vite remballer le reste de mes affaires, mes cours de quoi manger, et de l'argent, je me demande bien ce qu'il se passe avec maman, elle est vraiment étrange... Je n'ai vraiment pas envie d'aller en cours, en soi apprendre ne me dérange pas, mais... C'est cette classe qui rend malade, c'est lourd, c'est angoissant, c'est lugubre, pourtant on ne peut pas dire que ce n'est pas éclairé, nous avons tout nettoyé de font en comble il fait clair comme dehors. Le plus étrange c'est que dans les autres classes me semble t'il que l'on entends un minimum les oiseaux en pleins mois de septembre... dans cette classe rien, pas même un oiseau en vue, c'est malsain tout ça, je suis sur le chemin du bus et là je croise un camarade.
-Hey, Alex ! Comment vas-tu ?
-Salut Fabio, je vais bien et toi ?
-Hoooooh... Tout peut allée mis à part cette horrible classe, je vais bien tu prends tout le matin ce bus là ?
-Oui généralement quand ma mère ne sait pas m'amener.
-D'accord, sa te dit que l'on déjeune ensemble ce midi ?
-Oui pourquoi pas ?
-Super, dit moi tu aime les mangas non ?
-Oui j'apprécie, pourquoi, et comment le sais-tu ?
-Ho je t'ai observé un petit peut en classe et j'ai vu le bouquin que tu lisait "Assasination Classroom" Très bon choix
-Ah tu t'y connais en mangas toi ? dis-je en riant
-Heh pas trop non, à vrais dire. Il me regarde tout gèné
Le bus vient de se garer, je le regarde une dernière fois en souriant croyant que cette journée allais être normal, malgré la classe immonde que nous habitons, et je rentre pour voyager en direction de l'école.
Et bien cette journée commence déjà brutalement, à peine le bus arrivé à son arrèt, que l'on vois dèjà les embulances se garé dans la cour de l'établisemment, je regarde Fabio qui est à côté de moi du côté de la fenêtre.
-C'est un proffesseur, pas un élève. Me dit Fabio inquiet
-Tu es sûr tu as vu qui s'était?
-Non, mais si s'était un élève, il serais accopagné de plus de professeur là il n'y à que Madame Sandres, la prof d'espagnole qui l'accompagne.
-J'en suis pas si sûr... dis-je perplexe de l'évenement
On descends du bus et nous nous dirigeons vers l'entrée du lycée, personne pour nous accueillir, sans doute trop préoccupé par la personne qui est partie à l'hosto, je ne vois que un couloir sombre sans émotion, limite tout le monde est mort et ne peut plus éprouver la moindre gentillesse. Evidemment venant de la classe Terminal E, que voulez-vous, nous sommes des bons à rien.
- Tu songe à quoi? Me demande Fab
- Tout le monde à une tête d'enterrement... et ils nous regarde tous très mechament, on dirais que c'est de notre faute sérieusement...
-Je ne sais pas mais c'est bizarre, voir de trop, viens on va vers notre classe on verra par la suite...
Fabio et moi nous dirigeons vers notre classe, tout le monde est révolté, la classe entière se questionne sur l'identité de la personne embarquée ce matin aux urgences. Qui est-ce, que c'est t'il passé ?
- Hey vous êtes là vous deux! Vous savez c'est qui la personne qui vient de se faire embarquée? Me demande Amélie
- Hum...Nan du tout en tout cas j'ai eu l'impression que l'on à fait un meurtre sérieusement!
Tout le monde se regarde dans la classe, comme si le fait d'avoir dit le mot "meurtre" nous concernait, nous notre classe, de toute notre vie, jamais et ça pour aucuns d'entre nous, n'avons fait quelque chose qui pourrait apparaître dans nos mœurs. Et puis soudain, Dylan lève la tête désemparé...
- La classe terminale E. Dit- il tout bas
-Elle à quoi la classe, pauvre con! Répond Armand
-Rien de ce qui te concerne!
Armand commence à s'approcher de Dylan, le prends par le col de sa chemise et là sa dégénaire, Armand le frappe au poing et le plante sur le sol de pleint fouet, Mon ami se relève d'un coup et essaye de s'écarter de plus possible mais le rouquin le repprends par le bras et recommance à le taper, de plus en plus fort... Je ne sais rien faire je suis comme figée, soudain j'entends un grattement léger derrière moi, je me retourne et je vois le banc, tout habimé, je vois quelque chose d'écrit sur ce banc, mais je n'arrive pas à avancer... Tellement la baguare à une grande empleur que je reste quand même à ma place, jusqu'au moment où enfin un éducateur arrive pour intérrompre cette violence qui semblais innaretable.
Dylan est un garçon très discret, il ne veut déranger personne, mais lors que l'on commence à un petit peu l'énerver il commence à être hyper sensible et même dans le pire des cas violent, Dylan Mons, un amis qui m'a toujours soutenus, ne m'as jamais quitter et ne m'a jamais laisser de coter, Malheureusement c'était réciproque. En effet quand j'ai connu Dylan, il était une des personnes les plus solitaires que je n'ai jamais rencontrés. Il a 7 ans, je suis arrivée devant le grilles du collègue Ray, une petite école en pleine campagne qui était anciennement un couvent. Les murs vieillissant en briques grises, habillés de haies et de grandes parcelles de pierres une grille rouillées en tout sa totalités et des bonne-sœurs qui se balade un peut partout breff... Un collège purement catholique. Quand je suis rentrée la première fois dans ma classe respective, la première chose que j'ai remarquer c'est le garçon qui est dans le fond de la classe, vêtus de noir, je dois avoué qu'il à fortement attiré mon attention
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Race Against Time
HorrorLe destin est une force de la nature que personne ne peut contrôler... Il peut donner la vie, comme il peut la retirer... Mais aussi crée des rencontres auxquelles on ne s'attends pas, et ainsi mener une aventure dans la quelle nous ne nous s'en so...