Miraculous Ladybug. Unis à Jamais

Chapitre 3

Je devais absolument trouver Adrien , je courais dans les rues. Quand j'arriva vers notre maison. Je fit le tour de la maison en un temps record mais il n'était pas ici. Je courus au parc mais rien. Je repartie dans l'autre sens vers la tour Eiffel mais encore rien. Je prit mon téléphone et l'appela mais aucune réponse.
- Aller décroche !
- Tuuu tuuu tuuu
- Grrr !
Je composa le numéro de Nino.
- Tuuu tuuu.....
- Oui Marinette.
- Adrien est avec toi ? Dis-je d'une voix tendu.
- Non pourquoi ?
- Parce que depuis le combat je ne le retrouve pas.
- Tu es aller voir chez son père ?
- Non.
- Ok et a l'hôpital ?
- Non plus ! Répondis-je.
- Ok alors va voir chez son père , moi je vais voir a l'hôpital.
- D'accord tien moi au courant.
- Pas de problème.
Je raccrocha. Je savais que Nino voulait aller a l'hôpital pour que je puisse me détendre un peu.
Je sonna chez les Agreste , la porte s'ouvrit.
- Marinette !?
- Adrien est ici ?
- Non pourquoi il devrait ?
Je lui expliqua la situation , quand soudain.
- Bip Bip Bip !
- Désolé ! Dis-je a l'intention de Gabriel.
- Oui ?
- Adrien est à l'hôpital !
- Quoi !? M'étranglai-je.
- Viens vite.
Je raccrocha.
- Qu'est-ce qu'il y a ? Me demanda Gabriel d'une voix pressé.
- Adrien est a l'hôpital. Je doit y aller.
Je me retourna mis Gabriel me retint.
- Attend je viens avec toi ! Et on prend ma voiture.
- D'accord.
Je le suivit jusque dans la voiture où il démarra en trombe.
On arriva devant l'hôpital 5 minutes après.
On courra a l'accueil pour demander la chambre.
- Dans quel chambre est Adrien Agreste.
Sentant que c'était pressé elle répondis immédiatement.
- Chambre 209 , 2eme étage , 3eme couloir. On fonça dans l'ascenseur , courra dans les  jusqu'à la porte 209.
Je toqua et on entra. Nino était qui était assit sur un chaise se leva et dit.
- Il ne m'ont pas dit ce qu'il avait.
Gabriel prit une chaise et s'installa vers la tête de son fils. Moi je m'installant près de Nino qui me dit que Alya allait arriver. Puis il sortit pour rejoindre la salle d'attente , je choisi de faire de même pour laisser au célèbre styliste un peu d'intimité.
Je rejoignit Nino en me mordant nerveusement la lèvre. Je m'assis près de lui et attendis. Alya arriva quelques minutes plus tard essoufflée.
- J'ai accourus dès que j'ai vu ton message. Lança-t-elle à Nino encore à bout de souffle.
Nino expliqua comment il l'avait trouver ici et qu'on avait pour l'instant aucune information de son état.
Mon amie s'installa près de moi et demanda.
- Pourquoi ne va pas tu voir Adrien ?
- Car Gabriel est avec lui ! Répondis-je.
- Bon de 1 détend toi tout va bien ce passer , de 2 arrête de te ronger les ongles.
Je hocha la tête mais continua tout de même à me les ronger.
Quelques instant plus tard le père d'Adrien sorti de la pièce. Je sauta de mon siège et courus vers lui.
- Alors ? Demandais-je pleine d'espoir.
- Les infirmiers ont dit qu'il était dans le coma ! Tu peux aller le voir.
Je n'avais jamais vu le célèbre styliste dans cet état : ces yeux était rouge et brillant , ses traits était tirés et ces lèvres formaient un étrange rictus.
Je retourna dans la pièce où l'amour de ma vie reposait. Les infirmiers n'était plus là. J'observa la salle puis mon regard s'arrêta sur une machine. Sur écran vert foncé des lignes plus claire formait des montagnes aux angles aigu. Je reporta mon attention sur Adrien. Son visage était pâle et une blessure ensanglanté traversait son front. Jamais je n'avait autant maudit notre double vie et un vilain. Jamais. Mais ce soir là c'était différent Adrien mon cher Adrien était blessé.
Quand je sortie de mes pensées , j'écouta attentivement mais quelque chose clochait : c'était silencieux , bien trop silencieux. Je tourna la tête vers la machine pour la tension. Mais une ligne , traversait l'écran , elle était droite. Je hoqueta , mon pouls s'accéléra , mon coeur faisait des bonds incroyablement puissant. L'air était étouffant. Je tremblais si violemment que je dû m'assoir sur une chaise. Je commença à pleurer. Je plongea ma tête dans les draps blancs du lit.

Une poignée de minutes plus tard une infirmière entra dans la blanche chambre.
- Oh ! Saleté d'appareil. Bougonna-t-elle.
Je releva la tête.
- Qui à t'il ? Demandais-je.
- La machine pour la tension , bug de temps à autre.
- Quoi ?! Hurlais-je de surprise.
- Vous avez bien entendu mademoiselle.
- Ça veut dire qu'il n'est pas mort ?
- Non ! Désolé pour cette frayeur !
- Ouf ! Je soupira de soulagement. Savez-vous dans combien de temps il pourrait revenir à lui ?
- Dans au minimum un mois. Répondit-elle presque machinalement.
Je sortie de la pièce et annonça à mes amis et à Gabriel que dans un mois au minimum Adrien sortirait de l'hôpital.
Alya prit ma main et chuchota.
- Viens je t'emmène au cinéma ! Ça te changeras les idées.
- Merci !
- De rien les amis c'est fait pour ça !
Nous sortîmes de l'hôpital pour nous diriger vers le bâtiment bleu qu'était le cinéma. Nino nous accompagnait.

Deux heures plus tard

Quand on sortis du ciné. Tout le monde était silencieux. Mais pour briser ce lourd silence Alya demanda.
- Ça vous dit un restaurant ?
Nino répondis qu'il était d'accord. Je hoxha la tête distraitement.
- Marinette , je sais que tu te soucis d'Adrien ! Mais détend toi un peu juste un peu pour nous. D'accord ?
- Désolé ! Et oui d'accord. Répondis-je heureuse du soutien de mon amie.
Une fois au restaurant , Alya commanda 3 menus. Mais je ne mangeait rien. J'avais très peur pour lui. Mon Adrien. Mon chaton.
- Marinette ! Mange un peu.
- Je n'est pas faim.
- Écoute je sais que c'est dur mais tu doit manger. Je t'en prie c'est pour ton bien. Si tu ne mange pas je vais devoir te faire mangé en faisant l'avion comme pour les bébés. Puis comme pour souligner ces paroles elle prit ma cuillère , attrapa quelques pattes au chorizo et fit :
- Vrooo Vrooo.
Ce qui nous fit éclater de rire. Détendu par mes amis je commença à manger en rigolant pour tous comme pour rien. Je me sentais mieux. Mais je pensais à Gabriel , seul chez lui , on aurait dû l'inviter à mangé avec nous. Mais je fut vite tiré de mes pensées par le rire de ma meilleure amie. Son rire était tellement contagieux qu'on rigola à notre tour. Et c'était reparti pour un tour.