Leurs corps se mêlaient dans une étreinte passionnée. L'une grognait d'un plaisir explicite, l'autre gémissait sous les délices ressentis. Elles n'étaient pas parties dans des positions, des environnements et des sensations extravagantes. Non, elles étaient là, et ça les comblait amplement.
Leur bouche, leur langue, leurs mains, tout frissonnait, donnait et sentait le plaisir. Leurs lèvres se rencontraient, commençaient un ballet passionné, y joignant leur langue. Les mains, parfois hésitantes, parfois aventureuses, apprivoisaient cette chaire dévêtue. Elles se soufflaient leurs désirs, leurs envies, leur amour, ce qu'elles étaient et pourquoi elles étaient contre ce corps nu.
Parfois, des pauses s'imposaient, mais n'affectaient pas leur affection. Le temps de reprendre leur souffle s'écoulait lentement et rapidement ; leurs mots tendres et amoureux remplissaient et élargissaient les notions d'espace et temps. Elles se sentaient pleines. Elles s'aimaient ; n'était-ce pas l'essentiel ? Elles reprirent leurs tendres et passionnées étreintes ; cette nuit n'était qu'une goutte dans un océan de bonheur.
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Je suis malade, je me suis pété la cheville et le sommeil ne vient pas. Que faire ? Écrire un lemon yuriesque, évidement ! C'est la première fois que j'en écris, un vrai de vrai de lemon, alors, j'espère ne pas trop vous décevoir :') Promis, de véritables écrits arrivent (un jour).
