CHAPITRE 18 : Faux espoir

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Un lundi soir j'étais sur mon téléphone, plus précisément sur snap. J'ai vu que j'avais un snap de Joris:

Joris : [ On fait les flammes? ]

Moi : [ Ouais si tu veux ]

Joris : [ Cool, sinon ça va?]

...

On a parler pendant plus de 1 heure de tout et de n'importe quoi.

Le lendemain j'étais heureuse, genre je pensais que c'était encore possible.

Le soir on a reparlé et c'était tout aussi bien que hier.

Les jours suivant il ne parlait plus, il envoyé qu'une photo par jour pour les flammes c'est tout.

Le mardi de la semaine après que l'on se soit parler durant la nuit j'apprends malheureusement qu'il sort avec quelqu'un.
J'étais effondré mais je ne le montrait pas, je ne voulais pas.
Je n'ai même pas pleurer pour la simple raison que je n'ai plus de larmes, elles ont séchées dans mes yeux.
La haine et la tristesse se sont emparés de moi, mais je le cache, de toutes façons c'était sur qu'on ne pourrait plus être ensemble, j'aurais tellement du écouter les gens qui m'ont dit de l'oublier, les gens qui m'ont dit que je ne sortirai plus avec lui. Ils avaient raison.

Mais le pire de tout, c'est de les voir s'embrassés juste devant toi. A ce moment ton coeur fait extrêmement mal et tu sers le point, mais tu résistes parce qu'il faut pas que tu le montre, tu ne peux pas.

Comme si ça ne suffisait pas Mélanie me dit:

Mélanie : "J'ai l'impression que tu me prend pour un bouche trou"

Moi : "T'es pas sérieuse la?"

Mélanie : "Ben si sinon je te le dirai pas"

Anaïs : "Bon moi jme casse j'aime pas les embrouilles"

Je décide de partir aussi.
Elle me suit.

J'ai juste envie de lui dire de partir et qu'elle a abusé mais je me retiens.

Je vais rejoindre Anaïs.

Le lendemain je commençais à 10h30 comme tout les mercredis. J'étais avec Manon une fille de ma classe. Après , Romane nous a rejoint. Nous sommes aller en cours.

L'après midi j'étais au Geric et quand je suis rentrée, je suis aller sur snap voir les story des gens. La je tombe sur celle de la petite amie de ce con de Joris. Je sers le point pour ne pas éclater en sanglots mais ça m'a frappé au plus profond de moi.

Je fais semblant.

LES AMISOù les histoires vivent. Découvrez maintenant