semaine de meurtre

Chapitre 1
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Je me suis très tôt levée le matin ,de très bon humeur et je sais que avec le temps c'est forcé que j'aille à l'école .
En route comme et comme chaque matin, je croises des. vieux hommes aux salades blanches qui parlent de ce que disent les actualités, bah! Les journaux,je me suis approchés à eux pour écouter ce qu'ils disent parce-que les vieux disent des choses qui peuvent t'aider dans ta vie
Ah! Aujourd'hui ils parlaient de meurtre commis par un chauffeur qui à hôté la vie à sa patronne,une dame de cinquantaine d'années c'est horrible et ce qui me gêne le plus le coupable à aussi blessé un des enfants du dame et ose dire <<je l'ai plaqué avant de lui tranché le gorge comme un bête>>,quel méchanceté.
Durant ce semaine là il y avait un sapeur tué ,des mères,pères,cousin,ami,l'homme les as hôté la vie.
Je ne comprends pas comment un être humain peut tuer la chair de son chair .
Je peux dire c'est l'homme contre l'homme,l'homme qui chasse l'homme .
Chapitre 2
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Ce jour là j'étais en retard pour l'école .on avait mathématiques ,j'étais un peu peur parce que notre professeur qui s'appellait Mr diakhaté était très dure ,j'ai frappé à la porte par mon surprise c'est lui qui m'en ouvert la porte .
Babacar:Bonjour !Mr diakhaté .
Mr diakhaté : Bonjour babacar où étais -tu ?
Babacar : j'écoutais les vieux......😥😥😥
Les élèves riaient😂😂😂😂
Mr Diakhaté: Quoi ? tu te fou de moi ou quoi ?? Mais les vieux ils parlaient de quoi ?
-j'étais resté muet 😷😷
Mr diakhaté : tu ne parle pas??
Ok vas cherché un billet d'entré.
Ce jour là j'ai pas fait cours j'étais parti faire l'école buissonnière.
Parce que la seule chose qui me préoccupé en ce moment etait ces morts effreux,que je voulais savoir les causes .Je sais que je vais tous faire pour le savoir .un chemin long mais je vais marché sur toutes les épineux et un jour je goûterai le miel .
Suite chapitre 2
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En rentrant à la maison j'ai croisé un vieux ami d'enfance,il s'appelait Moïse on avait un compte à régler dans le passé et nous voilà enfin croisés dans un chemin où il y'a personne. C'est lui qui m'a provoqué .
Moïse:Regarde moi !cet cafard, je vais te montré de quoi je suis capable.
Babacar: Moïse,je ne veux pas de problème, parce-que j'en ai plein pour l'instant.Au moment où je termine cette phrase il m'a donné un coup de poing .je suis tombé à terre .Il continue à me cogné.un homme est passé dans ce lieu et il nous as vu et interrompu la bagarre. En me relevant, j'avais une grosse pierre dans ma main ,je lui ai jetté dans la tête de Moïse et tout à coup il s'est évanoui baignant dans une rivière de sang😈😈.
Subitement , l'homme prend son index et le mets dans le cou de Moïse.
L'homme : oh ! Mon Dieu il est mort .regard ce que tu as fais.
En entendant ce qu'il viens de dire moi aussi je me suis évanoui.Et une vision m'est apparue,un homme vertu d'habitat noir me disait <<Méfie toi de ce monde.>> il le répétait à plusieurs reprises.
Comment j'ai pu faire ça moi qui voulais savoir les causes des morts de ce pays,me voilà j'ai tué un homme .
Chapitre 3
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J'ai repris conscience dans une chaise roulante ,on a attachés mes deux mains. Trois policiers étaient devant moi, avec des regardes de tueurs.
Babacar : laissez-moi rentrer chez moi.J'ai rien fait c'était juste un accident ...Les larmes aux yeux.....😭😭😭
Policier 1:Merde! Tu as rien fait? 😱😱.Tu as tué mon fils.
Et il ma giflé.
Il s'appelait pascal c'est le père du défunt il est policier.
Oh! Mon Dieu j'ai tué le fils d'un policier sans me rendre compte.
Policier 2:Est-ce-que tu sais que tu vas finir en prison .
Dans ces instants j'étais resté bouche-bée.Ils me torturaient. J'ai entendu des cris. Un homme disait <<où est mon fils.>> c'était mon père Max il était accompagné de ma mère Espérance. Le gardien de l'hôpital les as conduit jusqu'à la chambre ou nous étions les policiers et moi.
Max : Babacar ,regard les problèmes que tu t'es attiré.
Je t'es appris les bonnes manières,mais non de faire mal à ton prochain.
Pascal : je suis le père du défunt.c'est vous le père de cet assassin.
Max: Mon fils n'est pas assassin.
Ma Mère ne pouvais pas parlé, elle pleurait de force.
Pascal : vous le père,c'est vous qui parle d'éducation ici. Si vous avez bien éduqué votre fils ,il n'aurait jamais essayé de tuer le tien.
Espérance : s'il vous plait monsieur laissé mon fils partir..
Le chagrin de mère.
Pascal : Embarquez ce voyou on l'amène à la brigade de police.
Ces policiers ont attachés mes deux mains avec des menottes. Dans la rue tous le monde me regarder .je suis monté dans la voiture.
Oups!! En route pour le brigade des parcelles assainies. Quand on est arrivé, ils m'ont mis dans une cellule, j'étais resté assis la tête baissée.
Espérance : on va te sortir de là mon fils .
Le policier 1 ( pascal) n'était pas là il était parti à l'enterrement de son fils.
Le commissaire a dit à mes parents que mon procès aura lieu dans cinq jours.