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Aujourd'hui je me lève fiévreuse, cela doit faire au moins 3 jours que je suis malade, assez pour ne pas traîné les pied dehors, mais ma mère ne le vois pas comme ça, sous l'influence de mon beau père, elle a commençait à devenir une autre personne.
Alors ce jour-ci, elle m'ordonne, d'aller au centre commercial de Lyon pour lui acheter des vêtements qui sera lui plaire ainsi vous comprendraient bien que je vis a Lyon.
Vous vous demandez sûrement si moi je bénéficie des futur nouveau achats de ma mère ? Et bien non, je n'ai le droit à rien, je peux compter sur ma grand sœur, Alia, parti de la maison, il y a deux ans, elle m'envoi quelques colis de vêtements de temps à autre.

Je me dépêche sous la douche et m'habille assez chaudement vu mon état, assez mal.
Je dois sûrement avoir 40C° de fièvre, mais je n'ai pas le choix et je n'ai sûrement pas envie de contrarier ma mère, alors je me dirige vers la porte de la sorti.

...: Et ne prend pas tout ton temps, tu as déjà de la chance que ta mère puisse te laisser aller acheter ses affaires seul.

Je ne lui répond pas et ne le regarde même pas , il ne mérite pas mon temps.

... : Milena ! Respecte Philipe. Pour tout ce qu'il a fait pour toi.

Mi : Désolée, ça ne se reproduira plus.

Oui je suis si faible que ça devant ma mère, je ne peux pas faire comme si j'avais un droit d'exprimer ce que je ressens par peur qu'on me mette a la rue et puis je suis bien trop faible pour épiloguer avec eux.
Cet homme n'a jamais rien fait en ma faveur, il ne m'aime pas et ne m'a jamais considérait comme sa fille, il m'a déjà enfermée pendant toute une journée,une simple bouteille d'eau pour me tenir compagnie...
Si un jour vous avez l'occasion de me croiser dans la rue, vous constaterez que je ne possède aucune marque de ''maltraitance'' si on peut appeler ça comme ça, non bien au contraire je suis une jeune fille de dix sept ans bien en forme, de long cheveux brun, au yeux noisette.
Je suis l'unique enfant que ma mère a encore sous son toit et mon rôle n'est pas de tout repos.

M : Maintenant vas-y.

Mi : Je me sens vraiment mal, maman.

M : Je te donn...

P : Arrête ta comédie et vas-y et reviens vite avant que c'est moi qui vienne te chercher.

Je claque la porte sans qu'il finisse sa phrase, si la purge exister, je l'aurai déjà tuée dans son sommeil ce c** .

Je prend le bus 7 en direction de La Pardieu, il est blindé de monde, cela est affreux, je crois que ma température a augmentée, ma vision semble trouble, mais je n'y m'attarde pas non plus.

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En plein milieu du centre, je zigzag entre les magasins, pour en choisir quelque uns , qui seront satisfaire les goût vestimentaire de ma mère , en sortant d'un des magasin je me sens toute étourdi, je commence a tanguer.

.. : Mademoiselle ? Vous allez bien ?

Mi : Mmh très bien. je rigole

Mon corps ne sais pas ce qu'il fait, mais mon esprit et mon cerveau, savent déjà que par la fièvre qui ne cesse de monter je suis en train de perdre la tête.

... : Oh mais t'est brûlante là il f...

Je ne puis pas écouter la suite de la phrase que cette homme me dit, mais eu juste le temps de tomber dans un long sommeil au style de la belle au bois dormant.

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Je ne sais pas si cela fait quatre jour ou bien une heure que je suis endormi mais tout ce que je sais, c'est que je suis dans une tranquillité, il n'y a personne pour venir détruire ce calme paisible.
Un instant j'y ai bien cru a cette tranquillité éternelle jusqu'à ce que j'entends des voix...

Sa Vie Pour La Sienne Où les histoires vivent. Découvrez maintenant