Ce Mot :Amour

la rencontre 😆

En courant j'avais accidentellement percuté plusieurs personne dont une fille qui en regardant son uniforme j'ai su qu'elle était dans mon lycée. Elle n'avait pas l'air pressée, je me suis demandé si elle savait qu'elle était en retard, mais je n'avais pas le temps pour m'occuper d'elle parceque je connaissais mon sors, Si jamais mon père l'apprenait, alors je continua de courir. Effectivement j'étais arrivé en retard je ne savais pas l'endroit où se trouvait ma classe, par où passé, à qui m'adresser. J'étais essoufflée et en sueur, j'avais la nausée et mon uniforme ne ressemblait à plus rien. C'est là que j' aperçu de loin une carrure qui me semblait familier, mes la sueur sur mon frond descendait vers mes yeux et je ne voyais presque plus.
J'essayai de me ressaisir pour voir qui c'était. le temps que je me ressaisisse, la personne était déjà à 2 pas de moi.
Alors d'une voix roque la personne devant moi me dit " où étais-tu ? ".
C'est là que je reconnu la voix de mon père.
Je ne savais pas quoi dire alors je baissai les yeux.
Je sentais qu'il était en colère et inquiet à la fois.
Je ne pouvais pas lui dire que j'étais avec carla et lola sinon il m'interdira de les voir. Alors on se rendit au bureau du proviseur pour les explications
Papa : alors depuis quand est ce que tu ne te rend plus en voiture à l'école ?
Moi : eeuuuh... l'an... née der... nière. Sans le regardé
Papa : et pourquoi ?
Moi : .... par...ce...que ...
Papa : parceque quoi ? En rugissant de colère.
Je sursaute et me mis à pleurer. C'était la première fois que mon père me crié dessus.
Papa : à partir de demain tu seras accompagner en voiture et il sera là à la sortie pour te raccompagner à la maison. T'es privé de téléphone. Et je suis sûr que ces deux fille étaient avec toi. Je ne veux plus vous voir ensemble.
Tu dois te concentrer sur tes études. Et j'espère que c'est la première et dernière fois que tu me fasses quitter mon travail pour ce genre de connerie. Entendu ?
Moi : oui... pa.. pa.
Proviseur : ta classe est à l'étage 2. La 1ère 4 tu peux y aller.
En sortant je me rendit aussitôt dans ma classe qui était déjà en cours. Je frappai à la porte puis entrai, j'avais un mot du proviseur que je rendis au professeur de math
Et m'autorisa à m'asseoir. Comme d'habitude je me rendis au fond de la classe pour ne pas me faire remarquer tout au long de l'année. Je me sentais dévisager par tous les élèves.
Prof : tu peux me rappeler ton nom de famille et ton prénom  s'il te plaît ?
Moi : hein !m...moi ?
Prof : oui c'est à toi que je m'adresse.
Moi : je m'appelle zinduna lonz ... euh ( tout le monde me regardait comme si cela ne leur suffisait pas )
... : je ne savais pas que les lonz avait une autre fille.
... : moi non plus.
Une succession de moi non plus se répandit dans la classe.
Prof : silence !!!
... : ils ont caché ton existence aux médias.
Prof : dilane, arrêtes ça tout de suite.
Dilane : on va t'appeler *la fille cachée*
Oh non pour une fois que mon nom de famille m'apportais la poisse.
Sonnerie ....
Prof : terminez l'exercice 4 de votre manuel pour demain. Au revoir.
Je me précipitai aussitôt vers la sortie lorsque quelqu'un m'attrapa le bras c'était ce fils de p*** de dilane qui n'en avait pas fini avec cette histoire.
Dilane : explique moi un peu Comment je n'ai jamais entendu parler de toi ? Est-ce que t'es vraiment une lonz? fais-tu vraiment parti de Cette famille d'intello ?
( je n'avais pas envie de le répondre ni d'expliquer quoi que ce soit à quiconque. Je le lança un regard froid et j'enlevai brutalement mon bras de sa main.
Je couru encore et c'est là que je percuta un garçon c'était un 3 ème année ( la dernière classe avant l'université ) je m'excusai rapidement puis repartis en courant vers la grande grille.
J'avais 5 minutes de retard et c'était mon père qui m'attendait dans la voiture.
... : s'il vous plaît vous avez laissé tomber ceci.
Moi : ... merci
C'était le garçon de tout à l'heure qui me rapporta ma trousse que j'ai fait tomber en le percutant. C'était la première fois que je voyais un mec aussi beau il avait les yeux bleu, le cheveux en désordre mais tellement ordonné, il sentait la fraise et était grand. Je le suivi du regard jusqu'à ce qu'une voix fit détourner mon regard.
... : t'as fini de le mater ?