Le 10 novembre 2015, mardi, les gens aurait tous dit "comme les autres jour, c'est un jour banal avec la saveur du quotidien".
En vérité, je ne me souviens que d'une partie, une partie de cette journée si formidable.
Il ne manquait réellement rien à ce moment.
Je rigolais avec mes amis.
Le jugement des gens me passait au dessus de la tête, car portant tous les jour un jogging, mes lunettes d'intello avec des bagues, un dégradé au niveau de mes cheveux avec une petite mèches qui passait au dessus de mes verres de lunette, ce qui était totalement ringard, j'avoue.
Je me jugeais donc "moche" et pourtant j'ai été éduqué au Disney et au prince charmant.
Pour moi, on doit respecter chaque choix des gens que l'ont aime, essayer de comprendre ses choix tout en ayant un avis possiblement opposé.
La mort est la pire des choses et même les terroristes ne méritent pas cette peine, et la tolérance et l'égalité sont des valeurs aussi importante que ma propre vie.
Savoir relativiser, et avancer avec les pires choses qui auraient pu nous arriver.
Voilà ma visions de la vie.
Mais nous ne sommes pas là pour juger ici, alors si la moquerie est la seule chose que tu es venu chercher je t'invite à ne pas lire la suite de cette histoire.Reprenons, pendant cette pose repas, après avoir mangé, nous étions dans la cour de recréer.
Mathilde et moi sautions du band en chantant (si on peut appeler ça chanter).
On avait réellement une case en moins.Ilhem: Mathilde, tu viens voir Nicolas ?
Mathilde: Lisi, vient avec nous !
Elle me tirait le corps comme une malade.
Je la repoussa avec mes petits bras dont les os se laissaient apparaître.
Je me suis un peu énervé qu'elle me tire comme une merde pour aller voir un 3ème qui n'était personne pour moi.
Mais au final ce prénommé "Nicolas", c'est lui qui est venu.
Il était assez grand, châtain, portant une veste grise.
Il était accompagné d'un ami a lui dont le prénom était littéralement le même que lui.
Pour les différencier nous avons donné à son pote le surnom de "Jean-François", ce qui allait bien à un homme possédant les même oreilles qu'un éléphant de Disney.Mon arriver en scène fut pathétique, ma présentation encore plus.
Je me présenta au nom de "cacahuète" et mes amis de leur pseudo totalement ridicule ce qui amusa le seule spectateur qui m'impressionnais.C'est vrai que Nicolas me faisait beaucoup d'effet, à tel point que j'en oubliai que Jean-François parlait pour le couper.
Moi: Sinon vous êtes en quel classe ?
Les gens se sont tous arrêté pour me regarder couper la parole au sujet que j'avais moi même demander.
La preuve de mon écoute et de mon "je m'en foutissme" complet.
Et pourtant j'ai quand même réussi à les regarder avec un air de "bah quoi ?!"
Je suis devenu d'un rouge vif au niveau de mes joues ce qui a fait à son tour rougir Nicolas.Je me souviens que pendant cette époque Mathilde possédait des béquilles.
Petit détail peut-être sans importance pour vous mais vous allez comprendre.Après cette discussion où je n'ai presque plus ouvert la bouche depuis cette incident, déjà car dès que quelqu'un a quelque année de plus que moi, je le traite comme un être supérieur qui pourrait me gueuler dessus comme mes parents, et j'avais tellement honte d'avoir poser une question dont la réponse était en train d'être donné.
J'ai du passé pour une conne puissance mille avec cette question.
(En tous cas toujours moins que comment je me suis presenté)
Donc après cette sonnerie nous devions rentrer en cours.
Mathilde c'est limite mis à genoux devant Nicolas pour qu'il lui porte son sac, par jalousie je me suis interposé pour lui porter.
Mathilde a évidemment râler que je lui prenne son sac, mais Nicolas était soulagé, alors j'étais heureuse.Je ne vais pas vous mentir toute l'après-midi n'est qu'un détail qui c'est effacé.
Et pourtant le soir, cher moi, mon téléphone chanta la chanson "I want you to know- Nightcore" pour m'alerter que Ilhem m'appelait.En répondant, j'entendis un bruit de fond, Mathilde hurler et le souffle grave d'un homme.
Ilhem: Lisi !
Moi: Oui ?
Ilhem: Tu es sur Nicolas avoue ?
J'eus un moment de recule, j'avais deviné que Mathilde l'aimait je n'étais pas débile ?
Moi: Mathilde le kiff Ilhem
Il y eu un silence glaçant avant que Mathilde hurle que non tout cela était faux.
Moi: J'avais cru croire.
Ilhem: Donc meuf ?
Je cherchais alors une excuse, comment une meuf comme moi aurait pu intéresser un Nicolas, le beau mec de 3ème qui était aussi rebelle que infidèle ?
Alors je fis la pire connerie...Moi: Nan, mais je kiff Willy😅
Le mensonge que je venais de lâcher avait couper le souffle de mes 3 répondeur.
Ilhem: Nan mais on reprendra cette conversation tout à l'heure.
Elle raccrocha, je tournais autour de ma table du salon qui se situait devant la porte fenêtre qui donnait sur la rue.
Heureusement qu'un un arbre de mon jardin avant cachais la fenêtre des passants.
Je n'étais pas vraiment perturbé, j'étais surtout contente et très flatter qu'une personne tel que lui s'intéresse à une personne comme moi.
Je ne suis pas le genre de fille à plaire.Quelque minutes plus tard mon téléphone se remis à sonné.
C'était encore ilhem et pour vous resumez notre discussion elle m'a demandé si j'aimais Nicolas.
La connaissant je savais qu'elle n'était pas seule, donc j'ai dit que j'aimais Willy.
Ouais c'est assez débile en y repensant car je ne sais pas vraiment si elle était seule.
Ce n'était qu'une hypothèse qui aurait pu être vrai comme fausse.Petit bond dans le futur...
Je viens actuellement de sortir de la piscine...
Fin chapitre.
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Pas une seule larme...
RomanceComment décrire avec des mots un amour aussi puissant que celui-là. Moi quand je t'ai vu pour la première fois, je n'éprouvai pas, et je n'éprouverais jamais le besoin de te détruire. Alors que c'est-il passé dans ta tête pour que nous en arrivions...