~Chapitre 1~

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Je glande devant la télé à regarder l'une de ces émission incompréhensible pour femmes au foyer. Non, en faîte, je ne la regarde pas, je me fiche de la tête de ces acteurs tomber si bas. C'est presque pire que la télé-réalité. De ce que j'ai compris, c'est l'ancienne none qui à eu un enfant avec le prêtre (super sexy en passant) mais qui en faîte avais fais semblant pour le garder au près d'elle, qui à finalement été engager comme femme de ménage mais elle est tomber amoureuse de son boss marié, qui à tuez la cousine du père de son amant. En bref, j'attrape ma télécommande et change de chaîne. Aucune chaîne n'est fichue de diffusé un film cool, alors je regarde pour la vingtième fois un épisode des simpson. Le soleil brille, le ciel est bleu et il n'est que midi. Vous vous dîtes qu'une ado comme moi devrais être dehors à s'éclater avec ces potes ? Et bien non. Elle est enfermer chez elle à déprimer parce que sont prince charmant ne l'as toujours pas invité au bal de promo. Pourtant, j'étais sûr... Sûr qu'il allais me le demander ! Je crois que si il le demande à Donna Lims, je péterais un plomb. Depuis quelques temps, cette petite garce lui tourne autour. Je suis sûr qu'elle à des idées derrière la tête. Mais comment lui faire comprendre de pas s'approcher sans me griller ?

«- Ma poulette ! Je suis rentré ! Si tu es en jogging, tu n'auras pas dessert ce soir, je te préviens. » Je grogne en entendant la voie de ma marâtre, Betty.

Mannequin, comme ma mère. Elle est morte quand j'avais cinq ans, anorexique. Tout le monde la prenais en pitié, elle est morte dans la pitié. C'est ce qu'on m'a fais comprendre ; ma mère est morte pitoyablement. Le pire, c'est que Betty est à fond dans les trucs de spiritisme, voyante, coucou l'au-delà... Ce genre de truc. Et elle est obséder par sa beauté. Comme elle ne veut pas d'enfant (pour garder sa ligne), elle se décharge sur moi. Malheureusement, je la déteste un peu (beaucoup). Mon père, qui travaille dans un magazine de mode, comme directeur artistique, c'est marié avec elle seulement un mois après le décès de ma mère, les rumeurs on fusé de toute part.

Elle arrive dans le salon et me regarde comme si elle venais de découvrir un cadavre. Mais non, juste moi sur le canapé avec un pot de glace à la fraise, pur industrielle. Et en jogging, bien sûr, juste pour la faire enrager.

«-Non mais c'est pas vraie ! Mes amie arrivent dans dix minutes, et qu'est ce qu'elle vont penser de toi, et de moi surtout. Va t'habiller !» Des sacs de vêtements l'entoure. Je lui fais un rire amère.

«-Des amie ? Tu parle de ces cure-dents planche à pain de deux mètre squelettique superficiel et obsédé par leur beauté et leur alimentation ? Qui serais prête à te vendre pour le derniers sac chanel ? J'en ai rien à foutre.» Dis-je en mangeant une grosse cuillère de glace.

«-Tes vraiment une sale gosse ! Et puis arrête de bouffer ! Tu vas me faire honte et sa va tomber sur tes hanches !»Elle me prend le pot de glace des mains et le jette dans la poubelle. On sonne à la porte. Elle me regarde longuement, avant qu'elle ne me lève du canapé et me force à aller dans ma chambre. «-Et tu te change si tu veux descendre !» Dit-elle avant de me claquer la porte au nez.

Géniale... Je ne descendrais plus jamais de ma chambre. De la journée en tout cas. Je m'effondre sur mon lit et contemple la photo sur ma table de chevet. Ma photo préférer. Steven et moi au collège, assis sur les marches des escalier menant au terrain de foot, il à poser son bras autour de mon épaule et on sourie tout le deux. Sur le coin, on peut voir un peux du pouce de Willy, ma meilleur amie depuis cette année exactement. Par contre, je connais Steven depuis le CM2. Sinon, jamais j'aurais pus l'approcher avec toute ces filles qui lui tourne autour. Mon téléphone vibre dans la poche de mon jogging. Je le prend et regarde qui c'est. Une énorme photo de Willy avec deux carottes qui sorte de sa bouche comme des défenses, sous son nez et recouvrant ces sourcils, de la crème chantilly. Je décroche et amène l'engin à mon oreille.

S.O.S ;  je veux mon Prince Charmant !Où les histoires vivent. Découvrez maintenant