Ne me touche pas.

Ma naissance

Je m'appelle Hugo et j'ai maintenant presque 15 ans. Ma vie a été plutôt mouvementé jusqu'à présent. Commençant par ma naissance. Ma mère ne pensait pas qu'elle aurait un autre enfant. Il y avait déjà mes deux autres sœurs d'un autre père que le mien. Je sais que ma mère trouvait ça dure d'être seule car je la voyais souvent pleurer. Elle semblait souvent épuisée et triste. Quand elle a su qu'elle était enceinte, Elle était déjà rendue à trente trois ans. Mon père était plutôt un homme instable et elle savait très bien qu'il n'assumerait pas un enfant. Malgré tout, elle décida de me garder quand même. Je pense que l'amour d'une maman passe avant tout. Elle ne pouvait dire non a ce bébé qui poussait dans son ventre. Elle espérait que cet enfant soit un petit garçon car elle avait déjà deux autres filles. Ce que chaque parent souhaite avant tout C'est un bébé en santé. Ma naissance fût précipitée suite D'un accident de voiture que ma mère a eu. Je suis sorti de son ventre suite à une césarienne d'urgence. J'ai su beaucoup plus tard qu'on pouvait accoucher d'un enfant d'une autre manière. Je pensais que j'étais fou ou pas normal. L'infirmière annonça à ma maman que j'étais un beau gros garçon. -Félicitation madame, vous avez un beau gros garçon.Ma tante Huguette m'a dit qu'elle avait pleuré pendant des heures. Elle était tellement contente d'avoir enfin son fils. Je suis finalement né en bonne santé sans trop de dommage. J'ai été suivit quelques temps après cet accouchement pour des vérifications de routine. Le retour à la maison s'est plutôt fait difficilement pour ma mère.Quand on subit une césarienne, il faut soigner une plaie sur son ventre. Elle devait mettre des comprennes et nettoyer sa cicatrice. Ça dût lui faire très mal mais ça l'air selon ma tante Huguette que c'est pas si pire que ça. Tu sais Hugo, quand on voit notre petit bébé, on oublie vite la douleur. Ces paroles ma tante Huguette me les a si souvent répété. MA tante Huguette à été très présente dans notre vie. Elle nous cajolait , nous aimait comme si nous étions ses propres enfants