Une envie de disparaître pour mieux te revenir.

Information avant de commencer votre lecture : Cher Lecteur ayant des lacunes avec la langue française, n'étant pas écrivaine, romancière, essayiste, nouvelliste, poète, fabuliste, dramaturge, critiques littéraires, pamphlétaires, etc. J'ai corrigé cette histoire en utilisant les applications suivantes : Languagetool / Cordial / Scribens / Reverso. Il se peut qu'il reste des fautes même en utilisant ses applications. Bonne lecture.

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Quand on se reverra, tu seras là avec ton sourire en me disputant parce que j'aurais été trop long à revenir. Je sais que tu seras soulagé parce que tu arrêteras de faire semblant, que tout va bien, que tu arrêteras de te priver de vivre, tu penseras un peu plus à toi, je serais là pour y veiller. Tu me prendras dans tes bras, j'en profiterais de me gorger de ton odeur, de ton rire, car tu seras gêné, mais aussi inquiet parce que je poserais ma tête dans ton cou tel un chat. Je me laisserai faire, je serai plus gentil, enfin juste avec toi, pas avec les autres, puisqu'eux, je m'en fous, par contre toi non. Je ferai des efforts, du moins, je vais essayer, mais avec toi, je pense qu'il n'aura pas de problème parce qu'avec toi, je me sens moi-même. Tu sais ce que je suis en réalité et moi, je sais aussi ce que tu es. J'aime quand tu n'es rien qu'avec moi, tu montres ta vraie personnalité, une personne calme, intelligente, parfois un peu bête, mais tout aussi mignonne.

Je sais que je t'ai fait souffrir et je m'en excuse, mais je devais partir en te laissant. Pour mieux te revenir. Et maintenant, grâce à ça, je suis devenu plus fort, même si toi, tu l'es plus que moi. Je savais que tu me chercherais, que tu me ramènerais par tous les moyens possibles et imaginables. À chaque fois que je te voyais, j'essayais de te tuer, mais je ne pouvais pas. Mon cœur se serrait à chaque fois à l'idée de te tuer, me frôlait l'esprit, mais qui veux-tu, mon cœur était déjà à toi. Car-telle une lumière, tu m'as sauvé comme je t'ai sauvé lors de nos missions, tel un ange gardien.

Penses-tu que tu me pardonneras d'être parti, sens-toi Naruto ? De t'avoir laissé tout ce temps, de revenir près de toi comme si rien ne s'était passé. Je sais que tu es le nouveau Hokage, c'est pour ça que je reviens vers toi. Car tu feras tout pour que je reste avec toi, est-ce égoïste de faire ça ? Qu'en penses-tu, toi qui m'as sauvé de mes ténèbres.

J'arrive dans ton bureau, tu es surpris de me voir, tu me regardes longuement comme si tu pesais le pour et le contre, comme si j'allais partir. Tu te lèves enfin pour me serrer dans tes bras, tu frissonnes quand je mets ma tête dans ton cou. Ton odeur m'avait manqué. Comment j'ai pu t'abandonner, de vivre sans toi, tu es mon souffle de vie maintenant.

- Me revoilà. Déclarais-je avec douceur.

- T'auras pris ton temps pour revenir. Sas'ke. Me réponds-tu en voix remplie de joie.

Fin.

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Nounouillechan : J'espère que ça vous a plu.

Sasuke arrive dans la pièce : Je peux savoir ce qu'il te prend ?

Nounouillechan étonné de son intervention : De quoi ?

Conscience finit sa lecture : De le faire guimauve !

Nounouillechan se lève et part de la pièce énervée : Jamais content.

Conscience : Eu... Merci d'avoir lu et d'avoir laissé un commentaire.