Point de vue de Harry:
Je regardais Louis. Nous étions tous les cinq en train de nous faire interviewer pour la dernière fois de la journée. Tous assis sur le canapé, Louis était assis à deux places de moi. Mais je ne pouvais pas le toucher, je ne devais pas le toucher, car nous étions filmés, et car ça nous était interdit. Mais je n'en peux plus de résister. Je veux être avec lui moi. Quand je suis avec lui je suis bien. Mais son assurance me fait peur, il le voit, il aime jouer avec moi, contre moi.
Le journaliste posait des questions auxquelles les autres répondaient. Je n'avais pas envie de parler. Je voulais rester ici à regarder mon Louis. Tout à coup, Louis tourna la tête vers moi. Je me sentis gêné du fait qu'il me surprenne à le regarder comme ça. Je lui adressa un léger sourire timide et baissa la tête pour remettre ma mèche en état, et pour éviter de le regarder dans les yeux. Il sait que je n'aime pas ça. Mais il adore continuer encore et encore. À croire que ça lui plait de me voir comme ça ...
Point de vue de Louis:
Lorsque Harry se secoua les cheveux, je compris que je l'avais encore déstabilisé. Je souris alors. Oh, oui, comme ça me fait rire de le rendre fou. J'aime son côté timide et soumis envers moi. On est vraiment très proches tous les deux, et je sais que si on veut aller plus loin ensembles, on le fera. Mais ce ne sera pas lui qui fera le premier pas. Il est trop timide, parfois je me dis même qu'il a peur de moi. Mais je veux garder ce pouvoir que je possède sur lui. Il m'est trop précieux, il me montre à quel point je peux aller loin avec lui. Je le regardais. Ses cheveux, ses jolies boucles que j'aime tant. Je ne pouvais plus détourner mon regard de ses boucles quand il tourna à nouveau la tête vers moi. Je lui souris, puis comme toujours, il me rendit un léger sourire timide. Ça me fait craquer, il est trop mignon! Il baissa à nouveau la tête et se secoua encore les cheveux. Ce geste m'excita alors d'un seul coup. Je fus obligé de tourner la tête pour éviter de continuer à faire gonfler mon érection. Je fis tout mon possible pour ne plus repenser à lui, mais impossible. Je me concentrait au maximum sur ce se disait l'interviewer. Je finis par réussir à faire dégonfler mon érection.
Point de vue de Harry:
Enfin, l'interview était terminé. Nous nous levions pour prendre une photo. Avant de repartir à l'hôtel, nous étions encore debout pendant que l'interviewer rangeait son matériel. J'étais fatigué et ne fessais pas vraiment attention aux conversations des garçons, quand je sentis une main de poser sur mes fesses. Je me retournais et vit Louis, tout sourire, sa main toujours posée, il me regardait. J'éclata d'un léger rire. Ce jeu était fréquent entre nous, mais cette fois ci, j'avais trouvé ça totalement différent. La façon dont il me regardait était différente, il gardait toujours son assurance et sa supériorité, mais ses yeux me montraient qu'il voulait autre chose. Il retira sa main, puis me chuchota a l'oreille:
"-Arrête de me donner envie de te sauter dessus."
Il avait parlé tout près de mon oreille, et cela me fit frémir. Il me regardait avec insistance. Une irrésistible envie de l'embrasser me traversa le corps, mais je dus me retenir.
Nous jouions souvent à nous chauffer mutuellement, mais la c'était encore plus que d'habitude. Je souris de mon possible, puis il ria. Les garçons nous rejoignirent pour nous dire que la voiture allait partir, et nous les suivirent.
Point de vue de Louis:
Nous arrivions à l'hôtel. Tout le monde est fatigué et nous décidons tous d'aller nous coucher. Mais pas vraiment pour moi, j'ai encore une chose à régler ...
Point de vue de Harry :
Nos chambres distribuées, nous étions un par chambre, et il y avait deux chambres par étage. Zayn était au premier à côté de la chambre de Liam, Niall était au deuxième à côté de celle de Paul et Louis et moi étions au troisième. Je pris les clef et pris mes quelques valises, puis monta les escaliers. À chaque étage, je souhaitait une bonne nuit aux garçons. J'arrivais au troisième étage, trouva ma chambre et commença à ouvrir la porte. Je me faufilais à l'intérieur quand je sentis quelqu'un me retenir le poignet et je sursauta. La main me lâcha, et je me retournais pour voir la personne.
