Chapitre 1

3 0 0
                                    


Cette première année de fac s'annonce parfaite ! Il y a un très beau soleil que je vois à travers mes rideaux blancs. Ma chambre de de couleur grise est elle aussi inondée de lumière. Dans ma chambre il n'y a aucune affiche, aucunes photos, rien qui montre qu'une personne de 19 ans y habite. Il n'y a qu'un lit, un petit bureau impeccablement rangé, une armoire basique en bois claire. Il y a aussi une étagère, toute basique en bois clair rempli de livres de toute sorte mais avec mes auteurs préférer : Anna Todd avec After, Samantha Bailly avec nos âmes jumelles, Simone Elkeles avec la saga irrésistible, Jennifer L. Armentrout, avec Lux, et encore plein d'autre.

Cette chambre n'est pas du tout comme le reste de la somptueuse maison de Los Angeles. Car dans cette maison infernale tout est rangé pour paraître parfait. Les meubles d'un rouge impeccable, aucuns magazines éparpillés partout mais bien rangé en une pile bien droite. Les escaliers d'un blanc étincellent. Cette maison à l'apparence parfaite me répugne, c'est pour ça que je vais dans une université à environ neuf mille kilomètre de chez moi à Caen.

L'université, tout le monde dit que ce sont les meilleures années de notre vie après le lycée. Mais quand je vois cette université, je ne crois pas. D'accord, elle est grande, imposante, et surtout remplie du monde. Mais quand même elle n'est pas très moderne. Je m'attendais à quelque chose de notre époque.

« - Bouge de la rousse !

Je sors de ma contemplation, pour y voir, une fille avec des mèches blondes très mal faites soit dit en passant, élancée. Avec un haut au niveau de sa poitrine très décolleter, et un bas ras le bonbon ! Je n'aime pas les filles comme ça. Ces filles se croient parfaite, elles croient que tout leur est du tout ça parce qu'elles ont de l'argent.

Moi aussi j'ai de l'argent mais quand même ! Je n'ai pas de copain, je ne peux plus voir un seul de mes amis car ils sont tous resté dans l'université près de chez eux.

Moi je sais ce que je voulais, et je l'ai eu de toute façon, je ne laissais aucun choix à mes parents.

Début du flash-back

Ils étaient là pour une fois, sur le canapé, en train de zappé. J'ai donc décider de prendre mon courage à deux mains, et je suis allée me planter devant eux, pour qu'ils ne puissent pas regarder la télé. Et je leur ai dit :

- Papa, maman, je ne veux pas rester ici, je ne veux pas aller dans l'université du coin. J'ai trouvé une bonne université à Caen, de plus elle ne coûte pas si cher que cela.

- Lola ...

- De toute façon je ne vous laisse pas le choix, j'ai 18 ans depuis deux semaines et j'ai le droit de partir.

- Tu peux y aller, dit papa.

- Je veux...

- Attend, QUOI ?

- Je viens de te le dire, tu peux y aller, de toute façon comme tu nous l'as si bien dit : on ne peut pas te faire changer d'avis, ni te garder ici.

- Merci ! MERCI ! Et encore Merci !

Fin du flash-back

Voilà comment cela c'est passer. Et pour tout vous dire, je ne pensais pas qu'il aller accepter, si facilement. Si j'étais l'une de ces pimbêches égocentriques je me dirais : « Normal, mes arguments été tout bonnement parfait ». Mais comme je ne suis pas comme ces filles, je me suis demandée « Quand va être le piège ? »

You've reached the end of published parts.

⏰ Last updated: Dec 15, 2017 ⏰

Add this story to your Library to get notified about new parts!

Te détesterWhere stories live. Discover now