Chapitre I -

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Alors voilà.. Je me suis lancée dans une nouvelle histoire.
C'est un projet dans lequel je suis depuis pas mal de temps déjà. Je ne voulais pas la poster avant d'avoir écris au moins cinq chapitres, mais finalement, me voilà. La mettre sur wattpad est un peu comme un test pour moi, avant fanfiction.net. Celle-ci sera longue, vraiment. Enfin, je pense? Et c'est la première fois que je m'investis autant pour être honnête.
Je ne m'attends pas spécialement à avoir beaucoup de retour. Mais au moins quelques avis me permettrait de m'améliorer. cc: Surtout au niveau du style d'écriture et des personnages! Et des dialogues omg.

J'ai ma propre interprétation et manière d'écrire (je pense?) sur leurs personnalités, enfin pour certains, et franchement, fgtpgtktrd, écrire sur eux, c'est la totale éclate. Je m'amuse beaucoup pour Marcello par exemple.

Bref... Cette fois-ci, j'aimerais aborder des sujets qui me tiennent à cœur, assez sérieux je pense. Mais on m'a souvent dit que je n'étais pas douée pour écrire de manière sérieuse, hehe... et je m'en suis moi-même rendue compte. Alors mon écrit laissera souvent place à un style d'écriture non-sérieux, sans pour autant prendre les sujets dont je veux traiter à la dérision. Je veux critiquer, dénoncer, et ce à ma manière. Malgré le fait que je n'ai pas une plume assez bonne pour le faire de manière correcte.
Je veux surtout faire un écrit qui touche, avec un style d'écriture bien, m'améliorer, et que les lecteurs apprécient. Je vais mettre tout mon cœur dans cet écrit. C'est un test envers moi-même, d'une certaine manière!

...Ugh, j'aime vraiment trop le Spamano. Un jour, il mènera à ma perte.

Ah, et au cas où... Marcello = Seborga. :")

Enfin bon... Bonne lecture~!

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C'était une matinée d'automne comme beaucoup d'autres. Le vent faisait voleter les feuilles mortes échouées sur le sol, et le peu restant désespérément accroché aux arbres présents finissait par s'en détacher, avant de se déposer mollement quelques mètres plus loin.

Les nuages recouvraient le ciel d'une épaisse couche cotonneuse, empêchant les rayons du soleil de passer au travers. Si ce temps était habituel en Angleterre, Lovino aurait pourtant préféré un bien meilleur accueil.

Les mains enfouies dans les poches de son duffle coat et le visage à moitié caché par une épaisse écharpe de laine grise, Lovino soupira. Non seulement le temps était pourri -et il n'était pas vraiment habitué à ce genre de climat dans le pays d'où il venait-, mais en plus, cela faisait bien une demi-heure qu'il poirotait comme un idiot, planté dehors à côté de la sortie de l'aéroport. Au moins, il pouvait dire que le gris du ciel correspondait parfaitement à son humeur. Dieu, qu'est-ce qu'il détestait attendre. Surtout au milieu de tous ces étrangers, avec une langue qu'il n'était même pas sûr de maîtriser.

...Bon, d'accord. Il était clairement de mauvaise foi.

Il était capable de lire des œuvres littéraires complètes en anglais et avait vraiment travaillé dur pour ce jour -quoiqu'il était arrivé bien plus vite qu'il ne l'aurait cru. Ce qu'il ne comprenait pas, c'était ce foutu accent britannique. Sérieusement, il n'avait même pas envie d'essayer de comprendre un fichtre mot de ce brouhaha ambiant insupportable.

Claquant nerveusement son pied contre le sol, Lovino ne cessait de marmonner des phrases de menace incompréhensibles à l'oreille, indifférent à ce qu'il se passait autour.

"Fratello!"

Ce simple mot le sortit de sa rêverie et il releva les yeux, se retenant de lancer une réplique cinglante sur leur retard en guise de salutation.

Poco A PocoOù les histoires vivent. Découvrez maintenant